Le 25 juin 2021 à 17:37:13 :
Je ne veux pas défendre cette femme, mais quand elle dit que "l'islam est compatible avec la république", elle a raison, on ne peut pas l'attaquer là-dessus.
Il existe des républiques islamiques
On parle de la République française là, pas des califat qui se font appeler république
La source :
Marine Le Pen avait fait un pari, celui que les régionales de 2021 parachèvent la dédiabolisation, voire la normalisation de sa formation politique, dans l'optique de la présidentielle de 2022. Problème : le Rassemblement national (RN) serait-il déjà devenu aussi banal qu'un parti de gouvernement, incapable d'attirer ses électeurs ? D'après Ipsos, il s'agit du mouvement politique ayant connu le 20 juin la plus forte abstention. La candidate avait aussi une conviction : gagner une région ne lui ouvrirait pas automatiquement les portes de l'Elysée. A contrario, disait-elle, les piteux scores de LREM n'empêcheraient pas Emmanuel Macron d'accéder au second tour de la présidentielle. Mais ce scrutin devait être un tremplin, il est devenu un boulet. Ce n'était pas prévu. Marine Le Pen est maintenant obligée d'éviter que cet échec, établi en ce qui concerne le premier tour (le RN, en tête dans six régions en 2015, ayant alors récolté près de 28 % des suffrages, ne l'est plus que dans une seule six ans plus tard, avec un peu moins de 20 %), ne constitue un handicap.
C'est une règle imparable de la politique : dans la bourrasque, le danger vient moins des adversaires que des concurrents. Déjà Eric Zemmour accélère la cadence au rythme d'une vidéo quotidienne qui le voit abandonner ses habits d'éditorialiste pour ceux de candidat. Le polémiste avait prévenu ses proches : il attendait les résultats des régionales (et de meilleurs sondages le concernant) pour décider s'il se lançait dans la course à la présidentielle, espérant secrètement qu'une fois encore Marine Le Pen échoue à conquérir un exécutif. Le signe, selon lui, d'une incapacité de la présidente du RN à accéder un jour à la fonction suprême, et donc la preuve qu'il existe bien un espace pour une candidature concurrente. "Si Nicolas Dupont-Aignan fait 4 % et qu'Eric Zemmour se lance et fait 2 %, on perd six points et on peut oublier la qualification au second tour", calcule avec inquiétude un lieutenant de la présidente du RN. En privé, celle-ci ne veut pas y croire, même si le polémiste multiplie les signes de sa détermination, allant jusqu'à amorcer un processus de recrutement pour sa future équipe de campagne. "Bien sûr qu'il y pense encore ! On lui répète toute la journée qu'il est le plus beau et le plus intelligent, alors il se prend pour Robert Redford. Mais il n'ira pas", a-t-elle encore assuré récemment.
Bousculée, Marine Le Pen l'est aussi parce que ses électeurs se sont démobilisés au moment précis où elle en cible d'autres. Or il faut toujours consolider sa base si on veut l'élargir - les fondamentaux ont la vie dure. "Dommage qu'il n'y ait eu personne au RN pour expliquer à Marine Le Pen [...] que c'est la clarté et la radicalité qui permettent de mobiliser, non la pasteurisation", a commenté avec sévérité l'ex-frontiste Jean-Yves Le Gallou après les résultats de dimanche. Ces derniers lui rappellent qu'avant de penser au second tour de la présidentielle il lui faut songer au premier...
Séduire l'électorat de droite, "mais je ne vais pas non plus me transformer en candidate LR"
Sauf que la candidate ne pense plus qu'au duel annoncé, depuis que les sondages lui promettent entre 45 et 48 % des intentions de vote au second tour face à Emmanuel Macron. Du jamais-vu, mais cela ne suffit pas. Alors, elle cherche à se dévêtir du costume de grand méchant loup de la vie politique française. Elle veut convaincre les récalcitrants, mais aussi ses adversaires, ces électeurs de gauche fatigués de faire barrage, qu'elle n'a ni les habits ni l'appétit d'un monstre des contes de Grimm. Elle veut parler aux catégories socioprofessionnelles supérieures, aux habitants des métropoles, aux personnes âgées, ces électeurs qui pour le moment ont toujours détourné le regard à son passage. Et si l'insécurité ou, pis, le délitement de la société incitaient ces publics à la voir différemment ? Marine Le Pen espère.
En janvier 2020, L'Express constatait la fin du plafond de verre. A l'entrée de la dernière ligne droite, celle qui sépare le second tour des régionales du premier de la présidentielle, la candidate cherche à séduire ces Français pour rendre possible ce qui longtemps ne l'était pas : l'accession à l'Elysée. Depuis 2017, la députée du Pas-de-Calais effectue des corrections programmatiques au gré des enquêtes d'opinion. La sortie de l'euro faisait trop peur aux épargnants ? Elle promet désormais de changer l'Union européenne de l'intérieur, sans toucher à la monnaie unique. L'électorat LR est évidemment dans sa ligne de mire : il ne lui a pas échappé que cette question constituait un vrai obstacle pour sa stratégie de séduction. "Mais je ne vais pas non plus me transformer en candidate LR", assure-t-elle pour justifier de ne pas évoluer sur le dossier emblématique des retraites. Les régionales soulignent la difficulté de la manoeuvre : ces électeurs de droite restent attachés à leur parti et, si celui-ci trouve l'intelligence de s'organiser, sans doute le seront-ils aussi au candidat désigné.
Ses déclarations tonitruantes contre les banques, "le système" et l'oligarchie lui donnaient des airs de populiste d'extrême gauche ? Marine Le Pen s'engage désormais à rembourser la dette française "coûte que coûte" et ne se présente plus comme "antisystème", à la manière d'un Alexis Tsipras ou d'un Beppe Grillo. Celle qui ambitionnait de jeter les accords de Schengen à la poubelle promet aujourd'hui d'y regarder de plus près, en gardant par exemple la libre circulation des citoyens à l'intérieur de l'UE. Idem sur la Cour européenne des droits de l'homme. En janvier 2019, elle dénonçait cette "camisole", "impossible à faire évoluer". Désormais, l'instance est présentée comme "un gardien du droit", dont il faut simplement corriger "une dérive de la jurisprudence". "Nous nous sommes débarrassés des éléments de langage qui étaient le propre d'un parti groupusculaire", se félicite son conseiller et beau-frère Philippe Olivier. Et le député européen d'ajouter : "Désormais, le terme 'compromis' n'est plus un gros mot, nous offrons une démarche plus positive."
Si l'ensemble manque de cohérence idéologique, ce tête-à-queue a le mérite de servir sa stratégie de banalisation. A ce jeu-là, Marine Le Pen peut compter sur quelques idiots utiles. La droite traditionnelle, pour commencer, qui ne cesse de lui courir après, quitte à la dépasser dans la surenchère sécuritaire et identitaire. Le vice-président de LR, Guillaume Peltier, n'a-t-il pas proposé de renvoyer les individus radicalisés "sur la base de soupçons avérés" (sic) devant une "cour de sûreté de la République" ? "Chacun devient Monsieur Plus", se moque la présidente du RN, en prenant soin de préciser que, chez elle, "pas besoin d'inventer des mesures contraires aux droits de l'homme". Ce qui revient à oublier que le RN plaide, par exemple, en faveur de l'interdiction du port du voile dans tout l'espace public, contre le regroupement familial, ou souhaite instaurer la "priorité nationale" malgré le caractère anticonstitutionnel de cette mesure... Les déclarations du député (LR) Eric Ciotti (il a affirmé que ce qui différencie son parti du Rassemblement national était sa "capacité à gouverner") ou de Nadine Morano (elle juge simplement son programme "trop à gauche") ont fait rougir de plaisir les cadres lepénistes, qui ont vu dans ces appels du pied le signe d'une recomposition de l'échiquier politique plus rapide qu'ils ne l'avaient anticipé. "Sa stratégie de banalisation est bonne... Sur le terrain, de plus en plus d'électeurs sont sensibles à ces ajustements, même s'ils sont parfaitement opportunistes", regrette le sénateur LR Bruno Retailleau.
Le climat politico-médiatique, qui fait la part belle aux idées de la droite radicale, crée aussi un cadre, un contexte. "Vous pouvez constater que je ne suis pas sur la même ligne que CNews, qui professe toute la journée que nous sommes au bord de la guerre civile et que l'islam est incompatible avec la République", pointe Marine Le Pen, bien obligée de reconnaître par la même occasion que la chaîne de Vincent Bolloré installe un climat propice à ses idées. "Cette chaîne me recentre", sourit-elle. A côté d'un Eric Zemmour, qui a fait de son émission quotidienne Face à l'info un meeting cathodique et dénonce un soir sur deux le "grand remplacement" et l'effondrement du pays, d'un Philippe de Villiers qui assure que la pandémie de Covid-19 a été planifiée et souhaitée par les géants du numérique et les laboratoires pharmaceutiques, Marine Le Pen prendrait presque des airs de centriste bon teint avec ses appels aux compromis et à la retenue. "Vous avez vu qu'elle se présente comme la candidate de la paix civile ?" glisse le député européen Jérôme Rivière. Cet ancien député UMP a défendu auprès de la candidate cette stratégie "positive" contre ceux qui prônaient, en interne, un discours plus offensif. "Marine peut aller aussi loin qu'elle le souhaite dans la modération, elle s'appelle Le Pen !" s'esclaffe-t-il. Comprendre : ce patronyme porte en lui-même la charge de la radicalité, pas besoin d'en rajouter.
Quand les sondages de la présidentielle ont commencé à affoler les compteurs, Marine Le Pen a glissé à certains de ces adjoints : "Je voudrais que tu réfléchisses à ce que tu as envie de faire après..." Depuis, les ambitieux rêvent tout haut de maroquin ministériel. Certains cadres, sceptiques, rappellent cependant à micro fermé que la présidente a l'habitude de perdre des points en campagne plutôt que d'en gagner. Ce n'est pas la première fois qu'elle atteint un haut niveau dans les enquêtes d'opinion à un an de la présidentielle : en 2016, la candidate du FN était ainsi régulièrement annoncée en tête au premier tour, autour de 31 % des voix (elle fera dix points de moins) - un peu comme pour ce premier tour des régionales.
D'autant que le risque de voir resurgir les vieux démons de l'extrême droite n'est jamais loin. "Je voudrais vous appeler à la prudence", exhortait ainsi dès novembre 2020 Marine Le Pen, lors d'une réunion interne à destination des cadres locaux, au sujet des élections départementales et régionales de juin. "Les Français cherchent la paix et la sécurité : ils n'attendent pas de nous des solutions radicales qui mettent une allumette sur le feu", avait-elle recommandé. Une mise en garde qui n'a pas empêché les éternels "dérapages" de campagne, allusions racistes, sorties aux relents islamophobes et antisémites... Ici, c'est le RN de Gironde qui a dû suspendre une candidate après l'exhumation de propos antisémites par un opposant ; là, c'est le cinquième sur la liste en Ile-de-France, Gilles Naudet, accusé par les équipes de Valérie Pécresse d'avoir publié sur Twitter plusieurs messages racistes, antisémites et misogynes (l'intéressé conteste en être l'auteur).
Un livre d'entretiens à l'étude
Autre étiquette indélébile, celle de l'incompétence, qui colle à la peau d'un parti habitué à rester sur le banc des contestataires. "Les élus RN sont vraiment très faibles, certains chez moi lisent encore avec le doigt", confie un président de région. Pour pallier ce handicap, le RN compte beaucoup sur ses recrues. Propulsés têtes de liste aux régionales, ces nouveaux visages frontistes (Hervé Juvin, Jean-Paul Garraud, Andréa Kotarac) ont pourtant réalisé de sévères contre-performances au premier tour. Et seul l'ancien ministre sarkozyste Thierry Mariani, candidat en Paca, arrivé en tête dimanche mais avec quatre points de moins que Marion Maréchal en 2015, dispose d'une surface nationale. Pour compenser la faiblesse de ses cadres (en quantité comme en qualité), Marine Le Pen a décidé d'avancer quelques pions, en dévoilant par exemple le nom de deux futurs ministres : le chantre de l'écologie enracinée, Hervé Juvin, pour le portefeuille de l'environnement, et l'ex-magistrat de l'UMP Jean-Paul Garraud pour la justice. D'autres suivront, promet-elle, tout en insistant sur la nécessité de garder des sièges vides pour de possibles ralliés de la dernière heure.
Le 25 juin 2021 à 16:13:31 :
Mensonge.Nofake y'a 1 mois environ une fille au travail ma dit ça.
Je lui ai montré une photo de Pietro Boselli.
Sa réaction : "Ah oui mais c'est sur que là hihi" toute gênée
J'imagine tellement l'énorme puceau qui dégaine directement l'instagram de Pietro Boselli pour essayer de piéger la gente féminine sur son hypocrisie
Le 25 juin 2021 à 16:13:34 :
Ça me fait rire à chaque fois (alors que c'est honteux, je sais, mais mieux vaut en rire qu'en pleurer).À quel moment les mecs pensaient que ça aurait la moindre chance de passer ?
Ca te fait rire l'imaginaire colonialiste ? À genoux.
Le 25 juin 2021 à 16:06:34 :
Fallait pas coloniser
Fallait pas faire des razzias sur nos côtes
Le 25 juin 2021 à 15:46:25 :
Le 25 juin 2021 à 15:37:32 :
Le 25 juin 2021 à 15:34:24 :
Le 25 juin 2021 à 15:32:11 :
Le 25 juin 2021 à 15:29:36 :
Le 25 juin 2021 à 15:25:41 :
Le 25 juin 2021 à 15:23:05 :
Le 25 juin 2021 à 15:20:31 :
Le 25 juin 2021 à 14:33:07 :
C'est Rambo 5, pas RamboLe film est très mauvais, cela étant, et tous les mexicains du film (pas joués par des mexicains) sont des connards sadiques, sauf trois nanas
Et alors ? Tu veux imposer un traitement selon tes carcans ?
Comment tu sais que c'est pas réaliste ? Pourquoi la fiction devrait rendre compte de ta conception ?
Pourquoi l'artiste devrait se limiter à faire un truc qui te paraît convenable?Pourquoi obliger l'artiste à se dédouaner en disant "olol pas damalgames"?
Tu m'interdis de ne pas aimer un film ? Il faut absolument aller dans ton sens ? On n'a pas le droit de critiquer un film ?
Tu esquives les questions ? Tu fais la victime persécutée de manière instinctive pour échapper à la contradiction vu comme trumpiste ?
C'est toi qui condamne un film car tu fais des associations et des procès d'intention sur la base de tes croyances idéologiques.
Le même qui traite de fâcho, donc de monstre quiconque critique les productions dominantes qui diffusent bien plus de messages politisés de fâcon insidieuse.
Je n'esquive rien. Tu me reproches d'avoir un avis sur un film
Tu veux que je te réponde quoi à part que j'ai le droit d'en avoir un ?
Si tu ne supportes pas les avis divergents, libre à toi
Des procès d'intention ? Tu as vu le film ?
Non je reproche la construction de cet avis et ses fondements fallacieux, ce que ça suggère et d'où ça vient.
Inverse pas la charge, c'est pas moi qui condamne des artistes en exigeant qu'ils traitent certains sujets selon des clauses moralisatrices.
Je condamne pas l'artiste, je dis que le film est merdique, ce qui est un avis partagé par la majorité, et que tous les mexicains du film sont des connards sadiques sauf trois nanas (et quelques prostituées)
Montre-moi en quoi c'est faux au lieu d'exprimer ton refus des avis différents et d'essayer de répendre ton politiquement correct agressif
Mais c'est des putain de tueurs du cartel bordel
En fait il aurait fallu une scène ou un des tueurs se retrouve subitement avec un cas de conscience et décide de s'allier à Rambo pour éviter les amalgames sur les membres des cartels ? Mais vous êtes finis au doigt ou quoi ?Faire une scène avec des mexicains normaux, ouais, ç'aurait pas été mal, mais c'est loin d'être le principal problème du film
Le film montre une image déplorable du Mexique, fait de Rambo un pyschopathe sadique sans personnalité, chie tranquillou sur le 1 et le 4 qui racontaient l'histoire et la paix du personnage, donc oui, c'est un film merdique
Le 4 raconte la paix du personnage ?
Tu l'as vu ou pas ? C'est exactement la même chose que le 5 en plus exotique, y a encore moins de subtilités dans les personnages
Y a pas de scènes avec des mexicains normaux parce qu'on s'en branle de la petite bourgeoisie mexicaine, par contre effectivement y a plusieurs scènes ou certains aident John, ce qui est assez pour les humaniser, et bordel, la fille pour lequel il va se battre EST UNE MEXICAINE NORMALE
Le 25 juin 2021 à 15:34:24 :
Le 25 juin 2021 à 15:32:11 :
Le 25 juin 2021 à 15:29:36 :
Le 25 juin 2021 à 15:25:41 :
Le 25 juin 2021 à 15:23:05 :
Le 25 juin 2021 à 15:20:31 :
Le 25 juin 2021 à 14:33:07 :
C'est Rambo 5, pas RamboLe film est très mauvais, cela étant, et tous les mexicains du film (pas joués par des mexicains) sont des connards sadiques, sauf trois nanas
Et alors ? Tu veux imposer un traitement selon tes carcans ?
Comment tu sais que c'est pas réaliste ? Pourquoi la fiction devrait rendre compte de ta conception ?
Pourquoi l'artiste devrait se limiter à faire un truc qui te paraît convenable?Pourquoi obliger l'artiste à se dédouaner en disant "olol pas damalgames"?
Tu m'interdis de ne pas aimer un film ? Il faut absolument aller dans ton sens ? On n'a pas le droit de critiquer un film ?
Tu esquives les questions ? Tu fais la victime persécutée de manière instinctive pour échapper à la contradiction vu comme trumpiste ?
C'est toi qui condamne un film car tu fais des associations et des procès d'intention sur la base de tes croyances idéologiques.
Le même qui traite de fâcho, donc de monstre quiconque critique les productions dominantes qui diffusent bien plus de messages politisés de fâcon insidieuse.
Je n'esquive rien. Tu me reproches d'avoir un avis sur un film
Tu veux que je te réponde quoi à part que j'ai le droit d'en avoir un ?
Si tu ne supportes pas les avis divergents, libre à toi
Des procès d'intention ? Tu as vu le film ?
Non je reproche la construction de cet avis et ses fondements fallacieux, ce que ça suggère et d'où ça vient.
Inverse pas la charge, c'est pas moi qui condamne des artistes en exigeant qu'ils traitent certains sujets selon des clauses moralisatrices.
Je condamne pas l'artiste, je dis que le film est merdique, ce qui est un avis partagé par la majorité, et que tous les mexicains du film sont des connards sadiques sauf trois nanas (et quelques prostituées)
Montre-moi en quoi c'est faux au lieu d'exprimer ton refus des avis différents et d'essayer de répendre ton politiquement correct agressif
Mais c'est des putain de tueurs du cartel bordel
En fait il aurait fallu une scène ou un des tueurs se retrouve subitement avec un cas de conscience et décide de s'allier à Rambo pour éviter les amalgames sur les membres des cartels ? Mais vous êtes finis au doigt ou quoi ?
Le 25 juin 2021 à 15:29:21 :
Le film trumpiste donc mauvais, méchant, car les gaucho ne retrouve pas une représentation caution présentant un pendant aux cartels pour pas stigmatiser les gentils migrantsLes mecs qui condamnent une oeuvre car elle ne remplie pas les critères exigées par leur collège de commissaire politique qui exige au moins 2 gays forts, 3 femmes fortes, 2 noirs ingénieurs par films
Non mais y a une caution migrant en plus dans le film, il raconte de la merde
Le 25 juin 2021 à 15:29:38 :
Le 25 juin 2021 à 15:28:51 supergh0stlight a écrit :
les fameux athées contre le blasphème
les fameux catho qui prennent la defense de gens qui rejettent le sacrifice du christ ,ce qui est un .... blasphèmeC'est pas parce que t'es athée que tu peux pas avoir de respect pour les religions, cette psychologie de comptoir
Avoir du respect pour les religions c'est menacer de décapiter des mécréants maintenant ?
Le 25 juin 2021 à 15:19:48 :
Le 25 juin 2021 à 15:15:00 :
Le 25 juin 2021 à 15:04:28 :
C'est pas le 1 mais le 5. Qui est au passage produit par une compagnie iranienne déjà responsable de ces chefs-d'œuvre que sont le Hellboy de 2019 ou La Chute de la Maison BlancheEt l'article a raison, c'est vraiment une propagande limite trumpiste où tous les Mexicains sont présentés comme des criminels.
Si le film était sorti dans les années 80, il aurait été produit par la Cannon et Chuck Norris aurait été le héros.Le film est sans-frontiériste, t'as plein de passages avec les Mexicains qui essayent de passer la frontière tout en critiquant le mur etc... Putain mais t'as pas regardé le film en fait
Oui, les Mexicains qui sont présentés comme des sauvages à 90% justement
Le 25 juin 2021 à 15:16:11 :
Le 25 juin 2021 à 15:04:28 :
C'est pas le 1 mais le 5. Qui est au passage produit par une compagnie iranienne déjà responsable de ces chefs-d'œuvre que sont le Hellboy de 2019 ou La Chute de la Maison BlancheEt l'article a raison, c'est vraiment une propagande limite trumpiste où tous les Mexicains sont présentés comme des criminels.
Si le film était sorti dans les années 80, il aurait été produit par la Cannon et Chuck Norris aurait été le héros.Un film "de propagande limite trumpiste": Olala alerte
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/05/7/1612718256-soy-boy.png Des centaines de productions ouvertement militante, de propagande pro migrant, pro lgbt, feministe : génial
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/05/7/1612718256-soy-boy.png J'ai juste dit que c'était un film trumpiste et c'est le cas. Qu'est-ce tu viens m'emmerder avec tes histoires ?
T'as pas capté que la fille était mexicaine où t'es un bouffon ? Ce sont les cartels les méchants, pas les Mexicains. Fais la difft putain
Le 25 juin 2021 à 15:04:28 :
C'est pas le 1 mais le 5. Qui est au passage produit par une compagnie iranienne déjà responsable de ces chefs-d'œuvre que sont le Hellboy de 2019 ou La Chute de la Maison BlancheEt l'article a raison, c'est vraiment une propagande limite trumpiste où tous les Mexicains sont présentés comme des criminels.
Si le film était sorti dans les années 80, il aurait été produit par la Cannon et Chuck Norris aurait été le héros.
Le film est sans-frontiériste, t'as plein de passages avec les Mexicains qui essayent de passer la frontière tout en critiquant le mur etc... Putain mais t'as pas regardé le film en fait
Le 25 juin 2021 à 15:09:55 :
Le 25 juin 2021 à 15:08:34 :
Le 25 juin 2021 à 15:07:40 :
Le seul qui ait vraiment de l'intérêt c'est celui de la fille en prison.Étant donné qu'elle veut travailler dans la pub ça fait sens.
Le reste non
Ok le pédo mais qui t'as demandé ton avis ?
https://image.noelshack.com/fichiers/2019/39/4/1569522778-chirac-fume.png c'est dommage de perdre un compte aussi bêtement alors que ton message va être supprimé et que tu auras amusé personne...
Fin bref, j'ai arrêté d'essayer de comprendre les gens du 18-25
Il a raison, on s'en tape de l'avis d'un pédophile notoire
Conclusion : même si l’immigration du début des années 1960 est surtout celle de travailleurs masculins d’Afrique du Nord, la France de 1963 n’est pas forcément aussi blanche que Mixte nous la présente
J'suis mort de rire, la conclusion va pas du tout avec le reste de l'article qui explique que c'était surtout une immigration européenne à cette époque. C'est ce qu'on appelle de l'idéologie, tu utilises des arguments basés sur la raison, mais ta conclusion va à l'encontre de tes recherches