Messages de Free-1993

Le 09 mars 2022 à 11:25:42 :

Le 09 mars 2022 à 11:24:33 :
Un avis de mec en gros
Les mêmes qui se barrent lorsque la nana est enceinte, il y en a la pelle ..

Parce que le père est un lâche c'est le gamin qui doit payer ?

Je parle juste des mecs qui se barrent bien rapidement lorsque la nana est enceinte et qu'ils ont entre 15 et 20 ans ...
Bonjour la responsabilité

Un avis de mec en gros
Les mêmes qui se barrent lorsque la nana est enceinte, il y en a la pelle ..

Le 09 mars 2022 à 11:15:54 :
Une question délicate pour la plupart des cas je dirais que oui il faut l'interdire mais ça ce complique pour les cas de viols notamment sur mineures car certes l'enfant à naître n'est pas coupable du crime du père mais forcer la femme à donner naissance au fils de son violeur est inhumain et fera scandale. Un autre souci qui se pose est le risque de fausses accusations pour pouvoir avorter(même si faible on ne peut pas le nier) qui risque de détruire la vie de nombreux innocents donc dans l'ensemble la question de l'avortement va dépendre des cas on ne pas juger tout de la même manière.

Concernant les grossesses suite à un v***, il n'y a pas de "délai" (entre guillemets), la personne, notamment la mineure peut demander une IVG (et le fœtus est une "preuve" malheureusement, la brigade des mineurs est saisie et intervient dans ce cas, des prélèvements sont effectués notamment sur le fœtus)
Cependant, il faut que le v*** soit avéré pour faire le demande et là, ça se complique

Le 09 mars 2022 à 11:05:14 :
Faut-il interdire le meurtre?https://image.noelshack.com/fichiers/2018/25/2/1529422413-risitaszoom.png

Peut-on dire du fausse couche que le fœtus s'est suicidé ? sincèrement ?

Non, cependant, il faut revoir (à mon sens) le délai: les femmes peuvent avorter jusqu'à 12 semaines, c'est énorme quand on connait le développement du embryon et d'un fœtus

Ce n'est que mon avis bien entendu

"Si les informations médicales sont antérieures à 5 ans ou si la commission départementale des soins psychiatriques est saisie, le dossier doit vous être communiqué sous 2 mois."

J'ai lu ça sur un site, il y a donc peut-être pas de date limite
Je peux attendre 2 mois pour avoir mon dossier c'est pas un problème

J'ai lu également qu'on pouvait faire la demande par son médecin traitant, je sais pas si c'est la meilleure idée me concernant, il y a des élèments qu'elle ne connait pas de ma vie et si je passe par elle, elle aura accès à toutes les informations me concernant (notamment, le fait que j'ai été victime de v**** pendant 4 ans dans mon enfance, ni mon médecin traitant et encore moins ma famille le savent pour le moment)

Là, ou je me pose une autre question
J'ai déposé plainte en juillet 2021 pour les vi*** que j'ai subi
Je me demande si la justice peut demander le rapport d'hospitalisation

En faite, c'est sans doute pour ça que je souhaite l'avoir maintenant
Avec du recul finalement ...

Le 08 mars 2022 à 19:54:00 :
Je suppose que tu dois pouvoir, renseigne toi auprès de l'instance qui t'as pris en charge.

Je te remercie
Je sais qu'on peut, mais je sais pas si plus de 5 ans après c'est possible ou pas

Et j'avoue que la rapport des urgences et de l'unité psy ou j'ai été , je veux les avoir pour comprendre pourquoi j'ai fini en isolement les 2 premiers jours, alors que j'étais ni agressif, ni violent, ni rien du tout, juste K.O, mort à l'intérieur, shooter complétement, donc je comprends pas

J'ai dépassé cela, je ne suis plus en dépression
Je veux passer à autre chose

:up:
:up:
:up:

Le 08 mars 2022 à 18:52:30 :
Viens on se bathttps://image.noelshack.com/fichiers/2021/45/1/1636383039-chatlunettecouette.png

De quoi tu me parles toi ?

:up:

J'ai été hospitalisé il y a 5 ans en unité psy pour TS et dépression.
ça fait un peu plus de 5 ans, est-ce que je peux demander mon dossier d'hospi ?

J'aimerais y comprendre certaines choses

Est-ce que je peux demander aussi mon rapport de prise en charge des urgences ou j'ai été admis lors de ma TS

Le 06 mars 2022 à 20:11:58 :

Le 06 mars 2022 à 19:59:51 Free-1993 a écrit :

Le 06 mars 2022 à 19:44:02 :

Le 06 mars 2022 à 19:36:44 Free-1993 a écrit :

Le 06 mars 2022 à 19:30:43 :
C'est la procédure classique quand une information judiciaire pour v*ol est ouverte.

Expertise psychiatrique puis viendra l'expertise psychologique.

Tu as déjà des auditions devant le juge d'instruction ?

À noter que tout ce qui sera retranscrit dans les rapports et PV d'audition sera utilisé par la partie adverse.

Oui, mon avocat m'informe et me prépare à chaque événement. J'avais beau savoir, c'est loin d'être évidant

Oui, prochaine expertise: expertise psychologique
Et dire que je suis suivi par une psychologue depuis quasi 8 ans.

Oui, 1 audition devant la juge
2 convocations à la gendarmerie
Et pas mal de rendez-vous avec mon avocat

Sans savoir si un condamnation aura lieu ...

Je sais bien et c'est bien ça qui me fait peur: c'est qu'ils utilisent (l'avocat du pauvre c***) mon passé pour "minimiser" l'impact des v**ls subi ....

Les instructions en matière criminelle c'est annoncé 18 mois. Le juge peut demander la clôture avant, mais c'est rare sauf si les faits sont évidents. Passé cette date l'avocat peut demander à ce que l'instruction soit clotuée.
Tu as 2 possibilités à la fin, soit le juge rend une ordonnance de non lieu, soit une ordonnance de mise en accusation, qu'il peut éventuellement contester. La procédure va un poil plus vite avec l'instauration des cours criminelles. Mais le maître mot ça reste la patience, et attendre que justice se fasse.

Pour les arguments adverses, c'est une défense que l'on retrouve. Ou alors le fait d'insister sur le caractère peu crédible et non circonstancié. Cela dépend de pas mal de facteurs, surtout pour des faits qui remontent à pas mal d'années vu que la matérialité des faits fait défaut, on se fonde sur les paroles de chacun et malheureusement le juge ne peut condamner sur une seule parole donnée. Est-ce que le type reconnaît les faits ? Au moins matériellement (même si ils les minimisent peut être ?)

C'est un long combat. Courage.

Oui, lors de ma première prise de contact avec mon avocat, il m'avait informé que, v**ls = crimes = assises
et que la procédure est longue
J'ai déposé plainte en pleine conscience que si procès il y a, ça sera pas avant la fin d'année 2022, voir début 2023.
Et entre la plainte et la condamnation si il y a: il y a une multitude d'épreuves.

Moralement, ce n'est pas simple, mais c'est nécessaire.
L'expertise psychiatrique a quand même démonté mon moral, oui, je prends des AD, anxio, somnifères depuis des années. L'impression d'être à nu face au psychiatre.
Les assises c'est encore plus violent donc bon ..

Alors, ce n'est pas totalement parole contre parole
En effet, pendant longtemps, j'ai refusé de déposer plainte car il y avait très peu de chance que ça aboutisse. (et aussi parce que déposer plainte = étaler sa vie au grand jour, notamment à ma famille qui ne savait rien ..)

En 2016, j'ai pas eu le choix que de le côtoyer à nouveau chaque jour pendant 2 mois.
Il a essayé de m'éloigner de certaines personnes, j'ai ressenti une crainte de sa part, sans doute, une crainte que je parle aux personnes, amis, qu'on avait en commun à ce moment là.

L'année dernière, j'en ai eu marre de devoir me taire et j'avais besoin d'avancer.
Oui, j'ai pris contact avec lui, j'avais un objectif: savoir si il avait gardé des photos. Lors des v*** je me rappelle, notamment lors des mes 12 ans, des photos qu'il avait pris et des menaces qu'il avait fait me concernant. Il voulait que je me taise, effectivement, pendant des années, ça a parfaitement fonctionné.
Jusqu'à l'année dernière, oui, j'ai été parfois brutal dans mes propos avec lui, sans être insultant ou menaçant.
Je voulais savoir si il avait encore les photos: c'était soit je gagnais, soit je perdais tout ...
J'ai du lui faire peur, car il m'a menacé de balancer les photos sur: "un site pédoporno pour que des vieux se branlent sur toi"
Bluff ou pas, j'ai déposé plainte par la suite
Ce n'est pas que parole contre parole, puisque j'ai appris fin novembre ou décembre, que oui, il y a des photos
et a la 2eme confrontations de décembre, il a avoué (enfin ... il a minimisé pour le coup ... il a oublié le jour ou il m'a enfermé 4h dans une pièce ... ou le jour ou 4 des ses potes sont venus ... bref, je passe les détails)

Je ne souhaitais pas porter plainte si c'était que parole contre parole, j'aurais tout perdu dans ce cas.

Oui c'est pas évident pour les victimes de de devoir étaler en quelque sorte des choses très intimes et profonds sur la "place publique" surtout parce que la justice est en principe publique et que tu fais face à des gens dont l'objectif sera d'avoir l'intime conviction que ce que tu as traversé est vrai (les assises c'est une prestation orale, aucun écrit n'est montré aux jury, les seuls qui ont accès et lu le dossier, c'est le président, les avocats et le ministère public). Après fort heureusement dans ce genre d'affaires, tu as droit de demander le huis clos, réduisant donc le nombre d'individus présents pour écouter les débats.

Courage en tout cas pour la suite, ce n'est pas mince affaire que de faire le premier pas et les autres par la suite.

Dans une autre affaire j'avais eu un v*ol intrafamilial, le frère de 13 ans qui avait violé sa sœur de 9/10 ans qui s'en est rappelé qu'à ses 18 ans. Là encore pas de matérialité et tout reposait sur une mémoire post traumatique. Mais le frère avait reconnu les faits et ç'avait pu aller bcp plus vite.
Le fait qu'il reconnaisse est déjà un bon signe car même s'il se rétracte ça sera nécessairement utilisé.

C'est exactement ça, se dévoiler devant des inconnus, devant la justice mais aussi devant sa famille, ses proches ..
.... et la sa famille à lui.

Mon avocat (comme mes recherches d'ailleurs) me permettent de comprendre ce que les assises sont. Je sais à quoi m'attendre, c'est souvent un autre traumatisme, j'en ai conscience et j'ai déposé plainte en toute conscience de cela.

Il le faut, au delà de ma douleur, je suis prêt à l'affronter
Et il travaille en école maternelle et primaire depuis 2020, je pense que cela a "motivé" également ma plainte.

Lors de ma plainte, à la fin de mon récit et du dépôt de plainte, c'était bien la première question: "à qui je demande le huis clos ? "
Je sais depuis longtemps qu'on peut le demander, ça sera la cas. C'est déjà difficile de parler, alors devant de nombreux individus, impossible. Faire face aux différentes expertises à la barre ou ma vie est déballée, vraiment difficile
Mais, sa vie a lui aussi sera déballée.

Merci pour ton témoignage, malheureusement pour cette jeune fille.
Avouer aide, déjà à être reconnu comme "victime", même si je me considère pas ainsi
Et c'était parole contre parole dans l'affaire que tu cites, avec l'accusé qui a avoué
Là, c'est parole contre parole certes, mais aussi preuve par les photos (et j'avoue que ça me fait extrêmement mal de savoir que les instances judiciaires ont accès aux photos) et il a avoué (même si il a minimisé pas mal de chose)

C'est une pu**** d'épreuve là

:up:

Le 06 mars 2022 à 19:44:02 :

Le 06 mars 2022 à 19:36:44 Free-1993 a écrit :

Le 06 mars 2022 à 19:30:43 :
C'est la procédure classique quand une information judiciaire pour v*ol est ouverte.

Expertise psychiatrique puis viendra l'expertise psychologique.

Tu as déjà des auditions devant le juge d'instruction ?

À noter que tout ce qui sera retranscrit dans les rapports et PV d'audition sera utilisé par la partie adverse.

Oui, mon avocat m'informe et me prépare à chaque événement. J'avais beau savoir, c'est loin d'être évidant

Oui, prochaine expertise: expertise psychologique
Et dire que je suis suivi par une psychologue depuis quasi 8 ans.

Oui, 1 audition devant la juge
2 convocations à la gendarmerie
Et pas mal de rendez-vous avec mon avocat

Sans savoir si un condamnation aura lieu ...

Je sais bien et c'est bien ça qui me fait peur: c'est qu'ils utilisent (l'avocat du pauvre c***) mon passé pour "minimiser" l'impact des v**ls subi ....

Les instructions en matière criminelle c'est annoncé 18 mois. Le juge peut demander la clôture avant, mais c'est rare sauf si les faits sont évidents. Passé cette date l'avocat peut demander à ce que l'instruction soit clotuée.
Tu as 2 possibilités à la fin, soit le juge rend une ordonnance de non lieu, soit une ordonnance de mise en accusation, qu'il peut éventuellement contester. La procédure va un poil plus vite avec l'instauration des cours criminelles. Mais le maître mot ça reste la patience, et attendre que justice se fasse.

Pour les arguments adverses, c'est une défense que l'on retrouve. Ou alors le fait d'insister sur le caractère peu crédible et non circonstancié. Cela dépend de pas mal de facteurs, surtout pour des faits qui remontent à pas mal d'années vu que la matérialité des faits fait défaut, on se fonde sur les paroles de chacun et malheureusement le juge ne peut condamner sur une seule parole donnée. Est-ce que le type reconnaît les faits ? Au moins matériellement (même si ils les minimisent peut être ?)

C'est un long combat. Courage.

Oui, lors de ma première prise de contact avec mon avocat, il m'avait informé que, v**ls = crimes = assises
et que la procédure est longue
J'ai déposé plainte en pleine conscience que si procès il y a, ça sera pas avant la fin d'année 2022, voir début 2023.
Et entre la plainte et la condamnation si il y a: il y a une multitude d'épreuves.

Moralement, ce n'est pas simple, mais c'est nécessaire.
L'expertise psychiatrique a quand même démonté mon moral, oui, je prends des AD, anxio, somnifères depuis des années. L'impression d'être à nu face au psychiatre.
Les assises c'est encore plus violent donc bon ..

Alors, ce n'est pas totalement parole contre parole
En effet, pendant longtemps, j'ai refusé de déposer plainte car il y avait très peu de chance que ça aboutisse. (et aussi parce que déposer plainte = étaler sa vie au grand jour, notamment à ma famille qui ne savait rien ..)

En 2016, j'ai pas eu le choix que de le côtoyer à nouveau chaque jour pendant 2 mois.
Il a essayé de m'éloigner de certaines personnes, j'ai ressenti une crainte de sa part, sans doute, une crainte que je parle aux personnes, amis, qu'on avait en commun à ce moment là.

L'année dernière, j'en ai eu marre de devoir me taire et j'avais besoin d'avancer.
Oui, j'ai pris contact avec lui, j'avais un objectif: savoir si il avait gardé des photos. Lors des v*** je me rappelle, notamment lors des mes 12 ans, des photos qu'il avait pris et des menaces qu'il avait fait me concernant. Il voulait que je me taise, effectivement, pendant des années, ça a parfaitement fonctionné.
Jusqu'à l'année dernière, oui, j'ai été parfois brutal dans mes propos avec lui, sans être insultant ou menaçant.
Je voulais savoir si il avait encore les photos: c'était soit je gagnais, soit je perdais tout ...
J'ai du lui faire peur, car il m'a menacé de balancer les photos sur: "un site pédoporno pour que des vieux se branlent sur toi"
Bluff ou pas, j'ai déposé plainte par la suite
Ce n'est pas que parole contre parole, puisque j'ai appris fin novembre ou décembre, que oui, il y a des photos
et a la 2eme confrontations de décembre, il a avoué (enfin ... il a minimisé pour le coup ... il a oublié le jour ou il m'a enfermé 4h dans une pièce ... ou le jour ou 4 des ses potes sont venus ... bref, je passe les détails)

Je ne souhaitais pas porter plainte si c'était que parole contre parole, j'aurais tout perdu dans ce cas.

Est-ce que parmi vous certains ont déposé plainte pour v**ls ?
Est-ce que cela a abouti ? en combien de temps ? en combien d'épreuves ?

Le 06 mars 2022 à 19:30:43 :
C'est la procédure classique quand une information judiciaire pour v*ol est ouverte.

Expertise psychiatrique puis viendra l'expertise psychologique.

Tu as déjà des auditions devant le juge d'instruction ?

À noter que tout ce qui sera retranscrit dans les rapports et PV d'audition sera utilisé par la partie adverse.

Oui, mon avocat m'informe et me prépare à chaque événement. J'avais beau savoir, c'est loin d'être évidant

Oui, prochaine expertise: expertise psychologique
Et dire que je suis suivi par une psychologue depuis quasi 8 ans.

Oui, 1 audition devant la juge
2 convocations à la gendarmerie
Et pas mal de rendez-vous avec mon avocat

Sans savoir si un condamnation aura lieu ...

Je sais bien et c'est bien ça qui me fait peur: c'est qu'ils utilisent (l'avocat du pauvre c***) mon passé pour "minimiser" l'impact des v**ls subi ....

:up:

Il y a des questions qu'il m'a posé qu'il reste en tête, qui me font culpabiliser:
- pensez-vous que les violences physiques et psychologiques que vous avez vécu étant enfant ne vous ont pas permis de vous défendre
J'ai pas la formulation exacte, j'ai un espèce de trou noir, c'est assez violent comme question

En tout cas, j'ai eu l'impression, par moment, que j'avais provoqué ce que j'ai subi ...

A 8 ans ... Bah bien sur ..