Le 28 mai 2021 à 06:49:53 :
Surréaliste que quelqu'un qui n'a jamais apporté de valeur ajoutée à l'économie du pays nous ponde un pavé sur le monde du travail et l'économie
Accusation facile. Qu'en est-il des étudiants et leur filière bullshit "histoire de l'Espagne ancienne" qui chouinent car au chômage ? Leur valeur ajoutée ? Négative (ça coûte du fric car on les entretient avec toutes ces primes à la fénéantise) car non seulement ils n'ont pas pensé dès le début à l'utilité de leurs études mais même avec ça ils ne veulent pas se réinventer, il veulent rester pépères dans leur coin et profiter des autres.
Les petits commerçants (lol) et leurs idées moyen-âgeuses encrées agissant comme des parasites pour imposer au peuple leur fonctionnement à très faible rendement, heureusement que les start-up (genre amazon) débarquent pour montrer à ces chouineurs que les gens veulent de l'efficacité, de la rapidité et de la qualité. (Comme le coup du restaurateur "outré" de voir de la queue chez mc do mais personne chez lui, il n'a qu'à arrêter de servir des maigre portions en faisant attendre les gens 1h ou 2 car c'est la "culture" française. Les gens ne sont pas dupes et vont là où c'est mieux".
La pandémie de coronavirus a entraîné un sorte de chômage de masse, fruit des mesures et de la disruption du marché. Beaucoup de diplômés notamment.
ça + la réévaluation du chômage créé une opportunité inédite pour l'économie. Tout d'abord : la compétitivité. Fini les glandeurs, les incompétents et autres plaignants en faisant le moins possible, quelqu'un d'autre de plus motivé est prêt à les remplacer car la réforme du chômage permet de catalyser ce phénomène en incitant au retour rapide à l'emploi.
Ensuite, la responsabilisation et le retour à la réalité : "Ouin ouin ze ne trouve pas de travail avec mon diplôme de [insérez une formation inutile]". Ces gens là pensent que l'insertion va venir à eux et à leur savoir alors que ce sont eux qui doivent être proactifs dans leur insertion et montrer qu'ils ont quelque chose à apporter au monde du travail en se réinventant et comprendre que ce n'est pas la faute de la société. D'un autre côté, ça permet malgré tout d'avoir un vivier suffisant de métiers indispensables (caissier, éboueur, agent d'entretien)... Sinon, imaginez que toute la population soit des buisiness men, ça ne tiendrait même pas deux secondes.
Dans cette optique, pour booster la remise en question et la mise à jour en accord avec le marché actuel de chacun, la suppression progressive des différents "système sociaux" tels que le RSA, la "sécurité" sociale et les différentes primes à la paresse qui ne sont que nivellement vers le bas et spoliations des richesses de ceux qui ont réussi. Regardez en suisse, il n'y a pas de salaire minimal au niveau fédéral et c'est un des pays les plus prospère du monde.
Avec la dette et l'usage incessant de la planche à billet, il y a du travail, je vous le dis.