Le 31 juillet 2024 à 12:21:23 :
Le 31 juillet 2024 à 12:20:38 :
Le 31 juillet 2024 à 12:19:56 :
Le 31 juillet 2024 à 12:18:18 :
Le test de Rorschach
L'évaluation ne porte pas que sur le contenu, il y a beaucoup de choses qui sont évaluées.Quel que soit le résultat, rien ne sera fait contre toi khey. Comme tu dis, le but est de t'aider à mieux te comprendre pour t'aider.
Oui car je suis honnête e pour l'aide
Le 31 juillet 2024 à 12:18:56 :
Le 31 juillet 2024 à 12:15:28 :
> Le 31 juillet 2024 à 12:14:48 :
>> Le 31 juillet 2024 à 12:13:16 :
> >> Le 31 juillet 2024 à 12:12:25 :
> > >Félicitations khey, mais tu m'expliques un truc, le psychiatre lit dans les pensées.
https://image.noelshack.com/fichiers/2016/44/1478142991-risitas-question.png > > > Pourquoi ne pas avoir dit, je vois des fleurs et de beau paysage
https://image.noelshack.com/fichiers/2018/29/6/1532128784-risitas33.png > >
> > Car je veux retrouver une vie normale donc je dis ce que je bois
> >
> > Ça sert a quoi de go hp si c'est pour mentir
>
> Ca sert a quoi de quoi hp si c'est pour finir en légume.
https://image.noelshack.com/fichiers/2017/12/1490143934-saladerisitas.png Car y'a des pathologies ou t'es obligé le low
Tu sais pa sce que ça fait de souffrir mentalement
Khey, je ne te critique pas, je te dis ça parce que les cachetons de l'hôpital psy c'est un truc de zinzin, j'ai vu beaucoup trop de topic sur le sujet ca détruit des vies cette merde.
Fait attention a toi kheyT'es obligé d'en prendre si t'as une maladie
C'est tout à ton honneur d'avoir répondu honnêtement, de vouloir prendre soin de toi.
Merci khey t' s sympa pas comme les autres
Mais t'es sur que c'est pas toi la femme'psy qui m'a fait passer le test
Ahi non, je suis psychologue clinicienne mais ce n'est pas moi qui t'ai fait passer le test.
Le 31 juillet 2024 à 12:19:56 :
Le 31 juillet 2024 à 12:18:18 :
Le test de Rorschach
L'évaluation ne porte pas que sur le contenu, il y a beaucoup de choses qui sont évaluées.Quel que soit le résultat, rien ne sera fait contre toi khey. Comme tu dis, le but est de t'aider à mieux te comprendre pour t'aider.
Oui car je suis honnête e pour l'aide
Le 31 juillet 2024 à 12:18:56 :
Le 31 juillet 2024 à 12:15:28 :
Le 31 juillet 2024 à 12:14:48 :
Le 31 juillet 2024 à 12:13:16 :
> Le 31 juillet 2024 à 12:12:25 :
>Félicitations khey, mais tu m'expliques un truc, le psychiatre lit dans les pensées.
https://image.noelshack.com/fichiers/2016/44/1478142991-risitas-question.png > Pourquoi ne pas avoir dit, je vois des fleurs et de beau paysage
https://image.noelshack.com/fichiers/2018/29/6/1532128784-risitas33.png Car je veux retrouver une vie normale donc je dis ce que je bois
Ça sert a quoi de go hp si c'est pour mentir
Ca sert a quoi de quoi hp si c'est pour finir en légume.
https://image.noelshack.com/fichiers/2017/12/1490143934-saladerisitas.png Car y'a des pathologies ou t'es obligé le low
Tu sais pa sce que ça fait de souffrir mentalement
Khey, je ne te critique pas, je te dis ça parce que les cachetons de l'hôpital psy c'est un truc de zinzin, j'ai vu beaucoup trop de topic sur le sujet ca détruit des vies cette merde.
Fait attention a toi kheyT'es obligé d'en prendre si t'as une maladie
C'est tout à ton honneur d'avoir répondu honnêtement, de vouloir prendre soin de toi.
Le 31 juillet 2024 à 12:16:47 :
Le 31 juillet 2024 à 12:13:36 :
Le 31 juillet 2024 à 12:12:28 :
Le 31 juillet 2024 à 12:11:10 :
Le 31 juillet 2024 à 12:09:36 :
> Le 31 juillet 2024 à 11:52:51 :
>
https://image.noelshack.com/fichiers/2024/31/3/1722419566-rorschach-inkblots.jpg >
> C'est ça
1 je vois un tete loup à 4 yeux et 5 une mite, je risque quoi ? Le reste ne m'évoque rien du tout je pourrais pas décrire.
J'ai vu que un ange a main nues avec des ailes
Monstre
Entité malsaine qui préparent un truc dans un chaudron
Entité caché derrière un faux raton laveur
Pays envahi par des cafards
La 10 on dirait un peu la gay pride au pied de la tour eifelle un peu
J'ai vu 4 crabes
Vous etes en train de troller
https://image.noelshack.com/fichiers/2018/29/6/1532128784-risitas33.png
Comment vous faite pour voir autant de truc, je ne vois strictement rien d'autre que des forme impossible a interpréterhttps://image.noelshack.com/fichiers/2018/29/6/1532128784-risitas33.png
C'est justement le but du test, d'évaluer la perception de la personne.
Y'a des réponses dites banales, c'est-à-dire qui sont vues par la majorité de la population, mais d'autres qui ne le sont pas du tout, et c'est normal.
La perception va justement en dire un peu du fonctionnement de la personne, y'a aucun troll à voir des choses différentes.
Le test de Rorschach
L'évaluation ne porte pas que sur le contenu, il y a beaucoup de choses qui sont évaluées.
Quel que soit le résultat, rien ne sera fait contre toi khey. Comme tu dis, le but est de t'aider à mieux te comprendre pour t'aider.
Le 26 juillet 2024 à 20:08:37 :
Le 26 juillet 2024 à 20:06:17 :
Le 26 juillet 2024 à 20:01:38 :
Le 26 juillet 2024 à 19:59:41 :
Le 26 juillet 2024 à 19:55:11 :
> Le 26 juillet 2024 à 19:52:53 Makarov010 a écrit :
>Beaucoup de schizophrènes maîtrisent les perceptions extrasensorielles en phase décompensatoire c'est comme un héros de Marvel submergé par un super-pouvoir qu'il n'arrive pas à contrôler
A part agresser des vieilles et boucler dans le métro en se parlant tout seul, j'aimerais bien savoir à quoi il leur sert leur "super-pouvoir"
https://image.noelshack.com/fichiers/2017/39/3/1506524542-ruth-perplexev2.png Il y a que ceux qui ont vécu une psychose de haute intensité qui pourraient comprendre ce que je dis, et non ils agressent pas des vieilles, pleins de gens dits normaux font des crimes crapuleux mais ça marque juste beaucoup plus quand cela vient d'un schizophrène, y'a 600 000 schizophrènes diagnostiqués en France donc si c'était tous des foux dangereux tueurs sanguinaires t'imagines bien qu'à 600 000 potentiels tueurs ils aurait déjà retourné tout le pays.
Pratique. Il n'y a que ceux qui ont connu une psychose qui peuvent en parler. Pratique
Sauf que les psychoses sont parfaitement documentés scientifiquement. Auriez vous une quelconque preuve de la présence d'un esprit ? J'imagine qu'il faut le voir pour le croire ça aussi
La preuve que l'esprit que l'on voit physiquement existe réellement non pas de preuve, mais certains voient des entités monstrueuses dignes des plus grand films d'épouvante comme toi tu verrais ton maître Kebabier juste en face de toi... et c'est le plus effrayant comme hallucination quand tu le VIS en première personne peut si cela existe ou que cela provienne d'une anomalie du cerveau
Je n'ai aucun doute de l'impression de réalité qui se dégage d'hallucinations psychotiques. Et je donne tout mon soutien a ceux qui le vivent ou l'ont vécu.
Mais le fait qu'elle paraissent réelles n'impliquent pas quelles le soient. J'ai même envie de dire c'est tout le problème de la psychose
Oui mais ça soulève aussi la question de la perception : à partir de quand peut-on juger si une perception est bonne ou mauvaise ?
Au final, dans le cerveau du psychotique, les zones cérébrales sont activées comme s'ils voyaient ou entendaient réellement. Les explications sont multiples, mais dans un monde où par exemple il y aurait plus de psychotiques que de névrosés, faudrait-il toujours prendre en compte que la paranoïa est justifiée, que les voix qui ne découlent pas directement d'une personne nous adresse la parole en direct, sont de l'ordre de la création pure ?
D'ailleurs les psychiatres et psychologues n'ont pas pour but (selon l'orientation...) de déconstruire l'existence de ces hallus et perceptions sensorielles. Parfois le but est même d'encourager le délire, tant que celui-ci peut être autothérapeutique pour le patient.
Le 26 juillet 2024 à 20:08:35 :
Le 26 juillet 2024 à 19:59:41 :
Le 26 juillet 2024 à 19:55:11 :
Le 26 juillet 2024 à 19:52:53 Makarov010 a écrit :
Beaucoup de schizophrènes maîtrisent les perceptions extrasensorielles en phase décompensatoire c'est comme un héros de Marvel submergé par un super-pouvoir qu'il n'arrive pas à contrôlerA part agresser des vieilles et boucler dans le métro en se parlant tout seul, j'aimerais bien savoir à quoi il leur sert leur "super-pouvoir"
https://image.noelshack.com/fichiers/2017/39/3/1506524542-ruth-perplexev2.png Il y a que ceux qui ont vécu une psychose de haute intensité qui pourraient comprendre ce que je dis, et non ils agressent pas des vieilles, pleins de gens dits "normaux" font des crimes crapuleux tous les jours mais ça marque juste beaucoup plus quand cela vient d'un schizophrène, y'a 600 000 schizophrènes diagnostiqués en France donc si c'était tous des foux dangereux tueurs sanguinaires t'imagines bien qu'à 600 000 potentiels tueurs ils aurait déjà retourné tout le pays.
Je caricature, je sais qu'ils ne sont pas tous dangereux (du moins quand ils sont traités )
Mais ça répond pas à ma question, concrètement qu'est-ce que ça leur apporte de plus si ce n'est d'être inadaptés à la vie en société?https://image.noelshack.com/fichiers/2022/38/4/1663835507-fffull.png
C'est pas comme s'ils avaient le choix en comparant ce que la psychose apporte de plus ou non
Il y a des symptômes dits négatifs, avec une suppression ou diminution de ce qu'un non-psychotique devrait avoir (bien-être, cohérence langagière... ) et des symptômes positifs qui ajoutent quelque chose "en plus" (hallucinations, paranoïa...).
Certains choisissent de ne pas ou ne plus prendre de traitement car le traitement vient diminuer les symptômes positifs, mais peut retirer aussi un sentiment de continuité de soi. Ajoute à cela la paranoïa et la possibilité que les médicaments ou le corps médical / psycho puisse être pris pour une menace pour le sujet schizo, et paf...
La psychose n'est pas une maladie mais une spécificité du fonctionnement humain.
Par contre les phénomènes de psychose peuvent être pathologiques, même si certains vivent très bien avec une psychose, qu'elle soit non décompensée ou bien supplée par un délire ou un traitement.
Le taux de tentative de suicides chez des psychotiques est plus élevé que chez d'autres personnes, mais cela se stabilise si c'est traité correctement, qu'il y a un suivi médical et psychiatrique.
Après si le délire peut suffire à ne pas suffire, sans présence de médicaments... Tant mieux, du moment que la personne vit bien avec et ne cause de mal à personne. C'est du cas par cas.
Quant à savoir si les psychotiques sont plus sensibles que la moyenne ou juste en train de délirer... ça relève de la croyance, on a jamais de preuves pour tout
Le 25 juillet 2024 à 21:10:38 :
>Y'aura peu de réponses en psychiatrie, ce n'est pas recensé comme un trouble psychiatrique à part entière. Dans certaines disciplines (psychologie), cela n'est même pas reconnu. Les traitements sont encore assez expérimentaux. On a surtout des réponses sur les origines, plus que sur le "comment vivre avec".
Je ne souhaite pas qu'elle voit un psychiatre, j'ai vu que ce n'était pas reconnu.
Par contre, une psychothérapie semble pouvoir aider, et pour moi, c'est de cela dont elel a besoin. Son passé est hyper chargée, traumatique, je l'ai épaulé de longues années mais ce n'est plus mon taf de la sauver et faire le psy. Elle a besoin de sortir et "voir" , comprendre ce qu'il se passe. Parfois elle s'en rend compte. Majoritairement, c'est quand elle quitte cet état qu'elle est choquée elle-même, s'excuse, s'en veut et culpabilise. Mais sur l'isntant, comme présentement, je suis l'homme à abattre et elle n'a plus conscience de rien ou tout est très érronné et ambivalent.La psychothérapie ne viendra pas l'aider par rapport à cette facette que tu décris, mais comme tu le mentionnes, cela peut en effet avoir un impact sur le vécu qu'elle a par rapport à son passé.
Les origines de la personnalité dissociative s'ancrent dans des traumas.
Ce n'est pas dit qu'elle sorte de ce mode de fonctionnement, c'est un mode de fonctionnement défensif qui a été nécessaire pour la personne. On a peu de réponses à ce sujet, mais cela semble être comme pour la psychose, une fois que c'est déclenché, c'est à vie.Si elle veut travailler sur ses représentations, c'est un travail qu'elle fera seul. Sinon l'épauler, tu ne peux pas faire grand chose. N'attends pas de certitudes non plus que ça se résolve. Bon courage quel que soit ton choix.
Merci pour ton message. Pas facile mais tellement ce que je ressens et semblant ampli de vérités de fonds.
C'est évident qu'elle a crée une entité de défense reliée à des traumatismes que l'on sait récurrent dans ces associations ( perte traumatique du père à l'adolescence, viol, abus etc etc )On a déjà bien fouillé et développé mais à ce jour, ça n'a pas équilibré pour autant. Parfois j'y crois. Car c'est moins " violent ". Mais en réalité, tu sens qu'à n'importe quel instant, ça peut ressurgir et tout briser. Du coup, impossible pour moi d'avoir confiance en elle, ce qu'elle me reproche aussi. Mais cette non confiance est légitime. Je n'ai pas confiance en " l'autre elle ".
Il n'y a pas de dialogue possible avec "l'autre elle" ?
Je ne connais pas bien ce trouble, mais si elle-même n'est pas en accord ou en communication avec "l'autre elle", cela semble compliqué d'établir une relation à "3".Il n'y a pas de dialogue possible avec le "moi" enfant pour les mêmes raisons qu'un enfant capricieux est impossible à raisonner par la parole
Ce n'est pas juste une parole qui va calmer quiconque, on est d'accord. Mais l'op demande une aide semblant être sur le moyen terme, la stabilité renvoyée par un autre peut venir stabiliser ou rassurer quelqu'un.
Il me semble que dans le TDI, les personnalités sont diverses et variées, qu'il n'y a pas vraiment de profil type. Chaque individu est unique, et a ses propres défenses. Difficile en tous cas de venir juger d'une personnalité décrite par un proche en quelques lignes sur un forum en ligne.
Le 25 juillet 2024 à 21:24:35 :
Le 25 juillet 2024 à 21:10:38 :
>Y'aura peu de réponses en psychiatrie, ce n'est pas recensé comme un trouble psychiatrique à part entière. Dans certaines disciplines (psychologie), cela n'est même pas reconnu. Les traitements sont encore assez expérimentaux. On a surtout des réponses sur les origines, plus que sur le "comment vivre avec".
Je ne souhaite pas qu'elle voit un psychiatre, j'ai vu que ce n'était pas reconnu.
Par contre, une psychothérapie semble pouvoir aider, et pour moi, c'est de cela dont elel a besoin. Son passé est hyper chargée, traumatique, je l'ai épaulé de longues années mais ce n'est plus mon taf de la sauver et faire le psy. Elle a besoin de sortir et "voir" , comprendre ce qu'il se passe. Parfois elle s'en rend compte. Majoritairement, c'est quand elle quitte cet état qu'elle est choquée elle-même, s'excuse, s'en veut et culpabilise. Mais sur l'isntant, comme présentement, je suis l'homme à abattre et elle n'a plus conscience de rien ou tout est très érronné et ambivalent.La psychothérapie ne viendra pas l'aider par rapport à cette facette que tu décris, mais comme tu le mentionnes, cela peut en effet avoir un impact sur le vécu qu'elle a par rapport à son passé.
Les origines de la personnalité dissociative s'ancrent dans des traumas.
Ce n'est pas dit qu'elle sorte de ce mode de fonctionnement, c'est un mode de fonctionnement défensif qui a été nécessaire pour la personne. On a peu de réponses à ce sujet, mais cela semble être comme pour la psychose, une fois que c'est déclenché, c'est à vie.Si elle veut travailler sur ses représentations, c'est un travail qu'elle fera seul. Sinon l'épauler, tu ne peux pas faire grand chose. N'attends pas de certitudes non plus que ça se résolve. Bon courage quel que soit ton choix.
Merci pour ton message. Pas facile mais tellement ce que je ressens et semblant ampli de vérités de fonds.
C'est évident qu'elle a crée une entité de défense reliée à des traumatismes que l'on sait récurrent dans ces associations ( perte traumatique du père à l'adolescence, viol, abus etc etc )On a déjà bien fouillé et développé mais à ce jour, ça n'a pas équilibré pour autant. Parfois j'y crois. Car c'est moins " violent ". Mais en réalité, tu sens qu'à n'importe quel instant, ça peut ressurgir et tout briser. Du coup, impossible pour moi d'avoir confiance en elle, ce qu'elle me reproche aussi. Mais cette non confiance est légitime. Je n'ai pas confiance en " l'autre elle ".
Il n'y a pas de dialogue possible avec "l'autre elle" ?
Je ne connais pas bien ce trouble, mais si elle-même n'est pas en accord ou en communication avec "l'autre elle", cela semble compliqué d'établir une relation à "3".Il n'y a pas de dialogue possible avec le "moi" enfant pour les mêmes raisons qu'un enfant capricieux est impossible à raisonner par la parole
Ce n'est pas juste une parole qui va calmer quiconque, on est d'accord. Mais l'op demande une aide semblant être sur le moyen terme, la stabilité renvoyée par un autre peut venir stabiliser ou rassurer quelqu'un.
Il me semble que dans le TDI, les personnalités sont diverses et variées, qu'il n'y a pas vraiment de profil type. Chaque individu est unique, et a ses propres défenses. Difficile en tous cas de venir juger d'une personnalité décrite par un proche en quelques lignes sur un forum en ligne.
Le 25 juillet 2024 à 21:19:10 :
Le 25 juillet 2024 à 21:16:19 :
Le 25 juillet 2024 à 21:13:11 :
Le 25 juillet 2024 à 21:10:38 :
> > >Y'aura peu de réponses en psychiatrie, ce n'est pas recensé comme un trouble psychiatrique à part entière. Dans certaines disciplines (psychologie), cela n'est même pas reconnu. Les traitements sont encore assez expérimentaux. On a surtout des réponses sur les origines, plus que sur le "comment vivre avec".
> >
> > Je ne souhaite pas qu'elle voit un psychiatre, j'ai vu que ce n'était pas reconnu.
> > Par contre, une psychothérapie semble pouvoir aider, et pour moi, c'est de cela dont elel a besoin. Son passé est hyper chargée, traumatique, je l'ai épaulé de longues années mais ce n'est plus mon taf de la sauver et faire le psy. Elle a besoin de sortir et "voir" , comprendre ce qu'il se passe. Parfois elle s'en rend compte. Majoritairement, c'est quand elle quitte cet état qu'elle est choquée elle-même, s'excuse, s'en veut et culpabilise. Mais sur l'isntant, comme présentement, je suis l'homme à abattre et elle n'a plus conscience de rien ou tout est très érronné et ambivalent.
>
> La psychothérapie ne viendra pas l'aider par rapport à cette facette que tu décris, mais comme tu le mentionnes, cela peut en effet avoir un impact sur le vécu qu'elle a par rapport à son passé.
> Les origines de la personnalité dissociative s'ancrent dans des traumas.
> Ce n'est pas dit qu'elle sorte de ce mode de fonctionnement, c'est un mode de fonctionnement défensif qui a été nécessaire pour la personne. On a peu de réponses à ce sujet, mais cela semble être comme pour la psychose, une fois que c'est déclenché, c'est à vie.
>
> Si elle veut travailler sur ses représentations, c'est un travail qu'elle fera seul. Sinon l'épauler, tu ne peux pas faire grand chose. N'attends pas de certitudes non plus que ça se résolve. Bon courage quel que soit ton choix.
Merci pour ton message. Pas facile mais tellement ce que je ressens et semblant ampli de vérités de fonds.
C'est évident qu'elle a crée une entité de défense reliée à des traumatismes que l'on sait récurrent dans ces associations ( perte traumatique du père à l'adolescence, viol, abus etc etc )On a déjà bien fouillé et développé mais à ce jour, ça n'a pas équilibré pour autant. Parfois j'y crois. Car c'est moins " violent ". Mais en réalité, tu sens qu'à n'importe quel instant, ça peut ressurgir et tout briser. Du coup, impossible pour moi d'avoir confiance en elle, ce qu'elle me reproche aussi. Mais cette non confiance est légitime. Je n'ai pas confiance en " l'autre elle ".
Il n'y a pas de dialogue possible avec "l'autre elle" ?
Je ne connais pas bien ce trouble, mais si elle-même n'est pas en accord ou en communication avec "l'autre elle", cela semble compliqué d'établir une relation à "3".Bah cet autre est très froide, manipulatrice, méprisante, voit le mal partout, se protège de tout, fuis. C'est un masque sombre, il n'y a pas vraiment de solution à part d'essayer d'y mettre un peu d'amour et que la réassurance fasse quelque chose. Mais l'ambiance, l'énergie de fond ne change pas en réalité. C'est plat, vide, comme sans vie ni émotions. Tu ne peux rien faire avec ça, c'est comme être avec une personne morte vivante à côté, c'est dur à décrire. C'est très oppressant et surtout, il n'y a aucune sécurité ni stabilité. Et cette forme est aussi très inconscience et effectivement, comme borderline. Toujours sur le quivive aussi, et prête à te détruire ou faire mal là ou elle sait que ça va faire mal. Dans le coeur. Le poignard. C'est très violent.
C'est noble de ta part d'essayer d'y trouver des solutions, de proposer une approche sur l'amour et la réassurance. Avec ces personnalités, il y a une terrible faille au niveau de la confiance, une peur de l'abandon énorme. Ses deux personnalités s'en protègent sans doute à leur façon, l'une dans la demande et l'autre dans le refus par peur d'être blessée.
Comme dit par un autre khey au-dessus, il va être compliqué d'espérer pour toi une forme de stabilité si la stabilité est perçue comme dangereuse et pouvant être retirée à tout moment par ta copine.Rien n'est impossible après, mais il faut qu'elle fasse un travail personnel de son côté aussi.
Elle dit vouloir s'y engager. Mais il y a l'autre part qui peut tout détruire avant que ça n'arrive, ou qui fera peut être tout pour l'éviter ou la fuir, comme ça a toujours été. C'est inconstant, même si depuis plusieurs années désormais, c'est beaucoup moins " violent " sur la durée, car j'ai aussi mieux appris à cerner et gérer de mon côté. C'est à dire que je nourris moins et prends la distance nécessaire le temps que ça se calme. M'enfin, ça reste pas la vie qui me fait rêver, c'est sur.
Et évidemment, tout est relié à la peur de l'abandon, la perte de l'être-aimé. Donc on l'aime mais on le rejette ensuite, on le fuit, par peur qu'il nous détruise/quitte/meure. Elle est définitivement dans ce schéma.
Une psychothérapie peut l'aider, si elle a le courage et la volonté de l'entreprendre. Mais ça constitue un risque également, se soigner et lâcher un peu de son mode défensif, c'est très risqué.
De ton côté, la stabilité et la rassurance sont les meilleures choses que tu peux apporter. Mais sois aussi honnête avec toi-même et avec elle, une relation doit inclure le bien-être des deux partenaires, pas seulement d'un. Sois donc clair avec tes limites et tes besoins, ce que tu es prêt à donner mais aussi à recevoir
Pour différencier la personnalité borderline du TDI :
On parle de cycle (ou cyclothymie) dans la personnalité borderline. Ce ne sont pas de brefs instants, mais des périodes pouvant aller de quelques semaines à quelques mois, clairement pas quelque chose de fugace.
Dans le TDI, c'est un changement de personnalité brusque, il y a les switch que décrit l'OP.
Attention à ne pas poser non plus de diagnostic borderline sur tout, TDI et borderline sont utilisés à tort et à travers avec la médiatisation de la psychiatrie.
Le 25 juillet 2024 à 21:13:21 :
Le 25 juillet 2024 à 21:12:34 :
Le 25 juillet 2024 à 21:11:39 :
renseigne toi sur la perversion narcissiqueC'en est pas du tout pour le coup
Pas le même fonctionnement ni les mêmes particularités.en te lisant c'est au contraire exactement ça
Je suis psychologue clinicienne, je peux te garantir que ce n'est pas ça.
La dissociation n'intervient pas du tout dans la personnalité narcissique. Il y a une tentative de maîtrise de la situation qui peut mener la personne à manipuler, mais pas en ce sens, et pour venir combler des failles narcissiques. Dans le cas de la copine de l'OP, ça semble venir de carences et de traumatismes, la source n'est pas la même ni la façon de faire.
Après on est pas là pour poser de diagnostic, tout doute est permis.
Le 25 juillet 2024 à 21:13:11 :
Le 25 juillet 2024 à 21:10:38 :
>Y'aura peu de réponses en psychiatrie, ce n'est pas recensé comme un trouble psychiatrique à part entière. Dans certaines disciplines (psychologie), cela n'est même pas reconnu. Les traitements sont encore assez expérimentaux. On a surtout des réponses sur les origines, plus que sur le "comment vivre avec".
Je ne souhaite pas qu'elle voit un psychiatre, j'ai vu que ce n'était pas reconnu.
Par contre, une psychothérapie semble pouvoir aider, et pour moi, c'est de cela dont elel a besoin. Son passé est hyper chargée, traumatique, je l'ai épaulé de longues années mais ce n'est plus mon taf de la sauver et faire le psy. Elle a besoin de sortir et "voir" , comprendre ce qu'il se passe. Parfois elle s'en rend compte. Majoritairement, c'est quand elle quitte cet état qu'elle est choquée elle-même, s'excuse, s'en veut et culpabilise. Mais sur l'isntant, comme présentement, je suis l'homme à abattre et elle n'a plus conscience de rien ou tout est très érronné et ambivalent.La psychothérapie ne viendra pas l'aider par rapport à cette facette que tu décris, mais comme tu le mentionnes, cela peut en effet avoir un impact sur le vécu qu'elle a par rapport à son passé.
Les origines de la personnalité dissociative s'ancrent dans des traumas.
Ce n'est pas dit qu'elle sorte de ce mode de fonctionnement, c'est un mode de fonctionnement défensif qui a été nécessaire pour la personne. On a peu de réponses à ce sujet, mais cela semble être comme pour la psychose, une fois que c'est déclenché, c'est à vie.Si elle veut travailler sur ses représentations, c'est un travail qu'elle fera seul. Sinon l'épauler, tu ne peux pas faire grand chose. N'attends pas de certitudes non plus que ça se résolve. Bon courage quel que soit ton choix.
Merci pour ton message. Pas facile mais tellement ce que je ressens et semblant ampli de vérités de fonds.
C'est évident qu'elle a crée une entité de défense reliée à des traumatismes que l'on sait récurrent dans ces associations ( perte traumatique du père à l'adolescence, viol, abus etc etc )On a déjà bien fouillé et développé mais à ce jour, ça n'a pas équilibré pour autant. Parfois j'y crois. Car c'est moins " violent ". Mais en réalité, tu sens qu'à n'importe quel instant, ça peut ressurgir et tout briser. Du coup, impossible pour moi d'avoir confiance en elle, ce qu'elle me reproche aussi. Mais cette non confiance est légitime. Je n'ai pas confiance en " l'autre elle ".
Il n'y a pas de dialogue possible avec "l'autre elle" ?
Je ne connais pas bien ce trouble, mais si elle-même n'est pas en accord ou en communication avec "l'autre elle", cela semble compliqué d'établir une relation à "3".Bah cet autre est très froide, manipulatrice, méprisante, voit le mal partout, se protège de tout, fuis. C'est un masque sombre, il n'y a pas vraiment de solution à part d'essayer d'y mettre un peu d'amour et que la réassurance fasse quelque chose. Mais l'ambiance, l'énergie de fond ne change pas en réalité. C'est plat, vide, comme sans vie ni émotions. Tu ne peux rien faire avec ça, c'est comme être avec une personne morte vivante à côté, c'est dur à décrire. C'est très oppressant et surtout, il n'y a aucune sécurité ni stabilité. Et cette forme est aussi très inconscience et effectivement, comme borderline. Toujours sur le quivive aussi, et prête à te détruire ou faire mal là ou elle sait que ça va faire mal. Dans le coeur. Le poignard. C'est très violent.
C'est noble de ta part d'essayer d'y trouver des solutions, de proposer une approche sur l'amour et la réassurance. Avec ces personnalités, il y a une terrible faille au niveau de la confiance, une peur de l'abandon énorme. Ses deux personnalités s'en protègent sans doute à leur façon, l'une dans la demande et l'autre dans le refus par peur d'être blessée.
Comme dit par un autre khey au-dessus, il va être compliqué d'espérer pour toi une forme de stabilité si la stabilité est perçue comme dangereuse et pouvant être retirée à tout moment par ta copine.
Rien n'est impossible après, mais il faut qu'elle fasse un travail personnel de son côté aussi.
Le 25 juillet 2024 à 21:11:39 :
renseigne toi sur la perversion narcissique
C'en est pas du tout pour le coup
Pas le même fonctionnement ni les mêmes particularités.
Y'aura peu de réponses en psychiatrie, ce n'est pas recensé comme un trouble psychiatrique à part entière. Dans certaines disciplines (psychologie), cela n'est même pas reconnu. Les traitements sont encore assez expérimentaux. On a surtout des réponses sur les origines, plus que sur le "comment vivre avec".
Je ne souhaite pas qu'elle voit un psychiatre, j'ai vu que ce n'était pas reconnu.
Par contre, une psychothérapie semble pouvoir aider, et pour moi, c'est de cela dont elel a besoin. Son passé est hyper chargée, traumatique, je l'ai épaulé de longues années mais ce n'est plus mon taf de la sauver et faire le psy. Elle a besoin de sortir et "voir" , comprendre ce qu'il se passe. Parfois elle s'en rend compte. Majoritairement, c'est quand elle quitte cet état qu'elle est choquée elle-même, s'excuse, s'en veut et culpabilise. Mais sur l'isntant, comme présentement, je suis l'homme à abattre et elle n'a plus conscience de rien ou tout est très érronné et ambivalent.La psychothérapie ne viendra pas l'aider par rapport à cette facette que tu décris, mais comme tu le mentionnes, cela peut en effet avoir un impact sur le vécu qu'elle a par rapport à son passé.
Les origines de la personnalité dissociative s'ancrent dans des traumas.
Ce n'est pas dit qu'elle sorte de ce mode de fonctionnement, c'est un mode de fonctionnement défensif qui a été nécessaire pour la personne. On a peu de réponses à ce sujet, mais cela semble être comme pour la psychose, une fois que c'est déclenché, c'est à vie.Si elle veut travailler sur ses représentations, c'est un travail qu'elle fera seul. Sinon l'épauler, tu ne peux pas faire grand chose. N'attends pas de certitudes non plus que ça se résolve. Bon courage quel que soit ton choix.
Merci pour ton message. Pas facile mais tellement ce que je ressens et semblant ampli de vérités de fonds.
C'est évident qu'elle a crée une entité de défense reliée à des traumatismes que l'on sait récurrent dans ces associations ( perte traumatique du père à l'adolescence, viol, abus etc etc )On a déjà bien fouillé et développé mais à ce jour, ça n'a pas équilibré pour autant. Parfois j'y crois. Car c'est moins " violent ". Mais en réalité, tu sens qu'à n'importe quel instant, ça peut ressurgir et tout briser. Du coup, impossible pour moi d'avoir confiance en elle, ce qu'elle me reproche aussi. Mais cette non confiance est légitime. Je n'ai pas confiance en " l'autre elle ".
Il n'y a pas de dialogue possible avec "l'autre elle" ?
Je ne connais pas bien ce trouble, mais si elle-même n'est pas en accord ou en communication avec "l'autre elle", cela semble compliqué d'établir une relation à "3".
Le 25 juillet 2024 à 21:01:04 :
Le 25 juillet 2024 à 20:55:35 :
Y'aura peu de réponses en psychiatrie, ce n'est pas recensé comme un trouble psychiatrique à part entière. Dans certaines disciplines (psychologie), cela n'est même pas reconnu. Les traitements sont encore assez expérimentaux. On a surtout des réponses sur les origines, plus que sur le "comment vivre avec".Je ne souhaite pas qu'elle voit un psychiatre, j'ai vu que ce n'était pas reconnu.
Par contre, une psychothérapie semble pouvoir aider, et pour moi, c'est de cela dont elel a besoin. Son passé est hyper chargée, traumatique, je l'ai épaulé de longues années mais ce n'est plus mon taf de la sauver et faire le psy. Elle a besoin de sortir et "voir" , comprendre ce qu'il se passe. Parfois elle s'en rend compte. Majoritairement, c'est quand elle quitte cet état qu'elle est choquée elle-même, s'excuse, s'en veut et culpabilise. Mais sur l'isntant, comme présentement, je suis l'homme à abattre et elle n'a plus conscience de rien ou tout est très érronné et ambivalent.
La psychothérapie ne viendra pas l'aider par rapport à cette facette que tu décris, mais comme tu le mentionnes, cela peut en effet avoir un impact sur le vécu qu'elle a par rapport à son passé.
Les origines de la personnalité dissociative s'ancrent dans des traumas.
Ce n'est pas dit qu'elle sorte de ce mode de fonctionnement, c'est un mode de fonctionnement défensif qui a été nécessaire pour la personne. On a peu de réponses à ce sujet, mais cela semble être comme pour la psychose, une fois que c'est déclenché, c'est à vie.
Si elle veut travailler sur ses représentations, c'est un travail qu'elle fera seul. Sinon l'épauler, tu ne peux pas faire grand chose. N'attends pas de certitudes non plus que ça se résolve. Bon courage quel que soit ton choix.
C'est toi qui avais fait un topic pour demander comment était le CROUS car ta mère t'empêchait de vivre ?
Profite de tes années étudiantes peinard, même si ça a un coût, l'autonomie c'est une sacrée forme de liberté.
Le 25 juillet 2024 à 20:55:35 :
Y'aura peu de réponses en psychiatrie, ce n'est pas recensé comme un trouble psychiatrique à part entière. Dans certaines disciplines (psychologie), cela n'est même pas reconnu. Les traitements sont encore assez expérimentaux. On a surtout des réponses sur les origines, plus que sur le "comment vivre avec".
(si tu parles bien du trouble dissociatif de l'identité)