Le 09 juillet 2021 à 22:12:04 TerminatorC3PO3 a écrit :
C'est l’iceberg le plus pété que j'ai jamais vu.
Le 09 juillet 2021 à 19:53:13 MonsieurStaline a écrit :
c'est quoi cette grosse merde ?
Le 09 juillet 2021 à 16:13:21 ZtoZeMoon a écrit :
Les athées qui vont encore nierhttps://image.noelshack.com/fichiers/2019/48/3/1574859659-ronaldo-celestin.jpg
Le 09 juillet 2021 à 16:04:03 DucGuillaume_II a écrit :
Le 09 juillet 2021 à 16:01:30 Aviachinois9 a écrit :
Fils de happiste de Républiquains être pour la république c'est être pour le genocide et le malinLe pire c'est les « catholiques » républicains
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/04/2/1611672192-faceapp-1611672153739.jpg
- Tu es catho ?
- Oui, je cautionne le régime qui a ambitionné de détruire ma religion il y a 220 ans
-
Cardinal Poupard disait :
“La Révolution a objectivement persécuté l’Eglise jusqu’au martyre. Les historiens sérieux reconnaissent aujourd’hui que la Révolution a persécuté l’Eglise non pour des raisons politiques mais pour des raisons spirituelles. Le nouveau pouvoir issu de la Révolution s’est voulu non seulement politique mais global, total. Et il n’y a qu’un pas, vite franchi hélas, du total au totalitarisme. “
Tocqueville disait :
“Une des premières démarches de la Révolution française a été de s’attaquer à l’Eglise.”
La Révolution a fait croire (et fait toujours croire) aux gouvernés qu’ils sont devenus gouvernants. C’est la pseudo-politique. Les gouvernés n’ont jamais eu aucun pouvoir, hors celui permis par les loges maçonnique, mais on oblige tous ces gouvernés à s’exciter à longueur d’années sur une prise de pouvoir future ou sur une obligation de participer à la vie politique. Le seul acte qui leur est imposé, car il n’y en a pas d’autre, est celui de voter. Voter, non pas comme sous la chrétienté pour tel candidat très précis, mais aujourd’hui pour le candidat choisi par un parti.
Car les gouvernés ont été divisés en parties et les vrais gouvernants, qui sont inconnus et occultes, créent et tiennent chaque partie par des partis. Et les élus sont tenus. Ils obéissent, non pas à leurs électeurs, mais aux chefs de leur parti. S’ils désobéissent, ils n’ont plus l’investiture nécessaire lors de l’élection suivante. Les partis sont bien sûr dirigés par les financiers. Ce qui fait que depuis deux cents ans le vote ne sert à rien. Tout est mensonge. Le seul vrai pouvoir est celui des financiers. Le vote n’est qu’une communion au système démo(n)cratique.
https://lecatho.fr.fo/catholique/tu-es-catholique-oui-je-suis-republicain/
Le 09 juillet 2021 à 16:00:08 DucGuillaume_II a écrit :
Allons les armées catholiques !https://image.noelshack.com/fichiers/2018/15/4/1523525764-garde-francaise.png
Le 09 juillet 2021 à 15:58:18 Aviachinois9 a écrit :
Le 09 juillet 2021 à 15:39:00 :
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/08/5/1614324102-selectionreligieuse3.png Chaud, les républicains qui se font avoir par une fausse retraite et se font GB en embuscade
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/09/1/1614601576-selecciaanimee.gif Vive le Roi
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/27/5/1625837904-drapeau-armee-vendeenne-2.jpg 'Le dimanche 4 août 1799, le général Roulan, commandant les troupes républicaines de Vitré, fit une sortie dans les campagnes à la tête dʼune colonne de troupes de ligne et de la compagnie de la garde nationale mobile.
Arrivé au bourg dʼArgentré, le général plaça des postes et permit à ses hommes de se reposer. Au même instant le 2e bataillon des royalistes sʼapprocha du bourg, à lʼoccident, et un nommé Joseph Mercier, commandant la compagnie de
Pocé, vint attaquer les républicains. Le général Roulan fit battre le rappel et dirigea ses troupes vers le chemin dʼoù venait lʼattaque. Il les fit mettre par pelotons, en colonne serrée, de façon à remplir la largeur du chemin, puis ordonna une charge au pas de course à la baïonnette.Mercier et ses hommes battirent en retraite jusquʼau détour du chemin, et allèrent se cacher derrière un fossé avec toute la compagnie de Pocé, pendant que le surplus du bataillon royaliste tournait le bourg, vers le nord, sans être aperçu.
Les soldats du général républicain, arrivés près du fossé où était embusquée la compagnie de Pocé, reçurent une décharge à bout portant qui en tua un certain nombre, et un feu bien nourri de la part des royalistes acheva de mettre le désordre dans leurs rangs.
Au même instant la seconde partie du bataillon des royalistes ayant traversé les jardins, au nord du bourg, vint les surprendre par derrière et achever leur déroute. Les malheureux soldats pris ainsi de tous côtés se réfugièrent dans
quelques maisons, et notamment dans celle de M. Rochelle où ils cherchèrent à se défendre par les croisées. Mais M. de la Nougaret, qui commandait le premier bataillon des royalistes, arriva par le chemin de la Fauconnerie, entra dans le haut du bourg et mit en déroute complète les soldats républicains qui se sauvèrent par les jardins du côté du midi.Le général Roulan, pour ne pas être fait prisonnier, se vit obligé dʼabandonner son cheval ainsi quʼun sac de cartouches les quelques cavaliers qui lui servaient dʼescorte firent comme lui et abandonnèrent leurs montures.
M. de la Nougaret voyant les républicains dispersés, lança ses hommes à leur poursuite pour les empêcher de se rallier. Il détacha aussi plusieurs compagnies vers le bourg dʼEstrelles et la route de la Guerche, afin de les empêcher de rentrer à Vitré.
Il faut ajouter à la louange de ce royaliste, quʼil défendit à ses hommes de tirer les fuyards, mais leur donna lʼordre de les désarmer. Très peu de soldats purent rentrer armés. Ceux qui furent découverts dans les maisons du bourg dʼArgentré rendirent leurs armes et sʼen allèrent tranquillement. Quant aux blessés, les royalistes allèrent les relever sur le champ de bataille, leur donnèrent les premiers soins, et un détachement, commandé par le lieutenant Lépinay, les conduisit dans des charrettes jusquʼà la barrière de la rue Hellerie à Vitré, où ils furent reçus par le commandant de la place.
Et dans l'autre sens c'était du pur génocide massacre gemme enfant prêtre, baignoire nationale noyade, habit en peau d'humain, chambre à gaz.
Les royalistes bien plus humains que cette saloperie républicaine
"Il n'y a point de prospérité à espérer tant que le dernier ennemi de la liberté respirera. Vous avez à punir non seulement les traîtres, mais les indifférents mêmes : vous avez à punir quiconque est passif dans la République et ne fait rien pour elle…", menace Saint-Just, l’un des membres les plus déterminés du Comité de Salut Public en octobre 1793."
8 mai 1793, Robespierre " J’ai dit ce matin à la Convention que les patriotes de Paris iraient au-devant des scélérats de la Vendée, qu’ils entraîneraient sur leur route tous leurs frères des départements, et qu’ils les extermineraient tous... Oui, tous les rebelles à la fois. […] Patriotes, volez à la rencontre des brigands de la Vendée ".
Le 14 août 1793, Saint-Just détaille des atrocités à la "Commission des Moyens extra-ordinaires", page 175 :
"On tanne à Meudon la peau humaine. La peau qui provient d'hommes est d'une consistance et d'une bonté supérieures à celle des chamois. Celle des sujets féminins est plus souple, mais elle présente moins de solidité...
A Clisson encore, le 5 avril 1794, des soldats du général Crouzat brûlent 150 femmes pour en extraire de la graisse : "Nous faisions des trous de terre, témoigne l'un d'eux, pour placer des chaudières afin de recevoir ce qui tombait ; nous avions mis des barres de fer dessus et placé les femmes dessus, (...) puis au-dessus encore était le feu (...). Deux de mes camarades étaient avec moi pour cette affaire. J'en envoyai 10 barils à Nantes. C'était comme de la graisse de momie : elle servait pour les hôpitaux".
De plus, à ce stade une précision importante s'impose dans le cadre de ce Génocide, il s'agit de
l'idéologie consistant à PURIFIER la Vendée en exterminant avant tout : les femmes "sillons reproducteurs" ainsi que les enfants "futurs brigands".
Reynald Secher présente, entre autres, un témoignage décrivant l'horrible récit des exactions contre les enfants et les femmes, page 164 :
"J'ai vu brûler vifs des femmes et des hommes, écrit le chirurgien Thomas. J'ai vu cent cinquante soldats maltraiter et violer des femmes, des filles de quatorze et quinze ans, les massacrer ensuite et jeter de baïonnette en baïonnette de tendres enfants restés à côté de leurs mères étendues sur le carreau...".
Puis, l'interminable litanie des ignominies, continue..., page 163 :
"Les officiers subalternes, souvent écœurés, témoignent eux aussi :
Amey, écrit l'officier de police Gannet dans un rapport, fait allumer les fours et lorsqu'ils sont bien chauffés, il y jette les femmes et les enfants. Nous lui avons fait des représentations ; il nous a répondu que c'était ainsi que la République voulait faire cuire son pain. D'abord on a condamné à ce genre de mort les femmes brigandes [vendéennes], et nous n'avons trop rien dit ; mais aujourd'hui les cris de ces misérables ont tant diverti les soldats et Turreau qu'ils ont voulu continuer ces plaisirs. Les femelles des royalistes manquant, ils s'adressent aux épouses des vrais patriotes. Déjà, à notre connaissance, vingt-trois ont subi cet horrible supplice et elles n'étaient coupables que d'adorer la nation (...) Nous avons voulu interposer notre autorité, les soldats nous ont menacés du même sort (...)".
Le 19 mars 1793, une colonne républicaine de 3000 hommes conduite par le général Marcé s'engage dans un défilé, au Pont-Charrault, près de Saint-Vincent. Attaqués depuis les hauteurs, les soldats se débandent et s'enfuient contre toute attente. Le même jour, la Convention prend un décret punissant de mort les personnes arborant la cocarde blanche du roi. Qu'à cela ne tienne, les Vendéens ont désormais le champ libre.
Le 23 mars, une bande de paysans tentent d'investir Pornic. Ils sont repoussés par les républicains qui font environ 300 prisonniers. Ces derniers sont exécutés sans façon. Apprenant cela, les insurgés de Machecoul commencent à tuer leurs propres prisonniers.
Le 27 mars, les Vendéens repartent à l'attaque de Pornic et l'emportent sous la conduite de Charette. Lorsque celui-ci revient à Machecoul avec 30 prisonniers, ces derniers passent devant un tribunal « royaliste » et sont condamnés à mort, ainsi que quelques dizaines de républicains locaux. Liés deux à deux par une corde, ils sont agenouillés près d'une fosse et fusillés. On parle à cette occasion des « chapelets de Machecoul » !
Le 22 avril, après la fuite de Charette et des insurgés, la ville est reconquise par les républicains, sous la conduite du général Beysser. Mais, entre-temps, la guerre civile s'est étendue à toute la région.
La guerre civile s'étend
Dans les villes de la région, à Beaupréau, à Vihiers, à Cholet le 17 mars, Chemillé le 11 avril, Bressuire le 12 mai, Thouars le 5, Fontenay le 25, Saumur le 9 juin, les insurgés trouvent les fusils et les canons qui leur manquent.
Prenant de l'assurance, ils constituent une « armée catholique et royale ». Cette armée est formée d'environ 40 000 hommes indisciplinés et sans expérience militaire à l'exception d'une dizaine de milliers d'anciens soldats. La plupart ne se privent pas de rentrer chez eux quand cela leur chante ou sitôt que le danger est passé. Cette armée va néanmoins aller de succès en succès jusqu'à conquérir Angers le 18 juin. Face à elle, les 40 000 à 70 000 Bleus n'ont dans l'ensemble guère plus d'expérience militaire. Ce sont pour la plupart des volontaires issus des différentes régions du pays.
Cathelineau, le général en chef vendéen, échoue devant Nantes le 29 juin. Blessé, il est transporté à Saint-Florent et y meurt le 14 juillet 1793. D'Elbée le remplace comme généralissime.
Le 1er août, un décret de la Convention ordonne la destruction et l'incendie de la Vendée en état d'insurrection. La mise en oeuvre de ce plan est confiée au général François Westermann.
La Convention décrète...
Article premier :
le ministre de la guerre donnera sur-le-champ les ordres nécessaire pour que la garnison de Mayence soit transportée en poste dans la Vendée ; Il sera envoyé par le ministre de la guerre des matières combustibles de toute espèce, pour incendier les bois, les taillis et les genêts... Les femmes, les enfants et les vieillards, seront conduits dans l'intérieur ; il sera pourvu à leur subsistance et à leur sûreté, avec tous les égards dus à l'humanité... Les biens des rebelles de la Vendée sont déclarés appartenir à la république.
(Extrait du décret de la convention nationale du 1er août 1793, A.D.V., 52J4).
Le 14 août, l'« armée catholique et royale » défait les républicains dans la plaine de Luçon. En deux jours, plus de cent villages de l'Ouest se rebellent. Dès la fin du mois, 20 000 insurgés se rendent maîtres de la région et en excluent ou massacrent les républicains. Ils menacent de marcher sur Paris.
Prenant la mesure du péril, la Convention envoie en Vendée 100 000 hommes, dont les invincibles « Mayençais », des soldats d'élite qui ont capitulé avec honneur à Mayence, sur le Rhin. Ils sont placés sous les ordres de Kléber et Haxo. Du 19 au 22 septembre, les royalistes remportent encore cinq victoires en cinq jours, à Torfou, le Pont-Barré, Montaigu, Clisson et Saint-Fulgent. Ils mettent les républicains en déroute.
Mais les chefs vendéens commencent à se disputer. C'est ainsi que, le 17 octobre 1793, ils éprouvent à Cholet leur premier revers grave.
Le 7 novembre 1793, par un trait d'humour singulier, les députés rebaptisent le département de la Vendée « Vengé » !
Ultimes soubresauts
Avec la chute de Robespierre et la fin de la menace extérieure, le gouvernement révolutionnaire se fait plus conciliant.
Lazare Hoche (25 ans) prend le commandement de l'armée républicaine de Vendée. Le général proscrit sévèrement les pillages et les vengeances. Il ordonne à ses troupes d'observer strictement les stipulations de la Jaunaye concernant la liberté religieuse, ce qui lui vaudra d'être surnommé le « pacificateur de la Vendée ».
Les paysans, constatant que le culte catholique n'est plus menacé, n'ont en général plus envie de se battre... Mais un ancien chef vendéen, le baron François Charette de la Contrie, projette pour des raisons mal élucidées de rallumer les hostilités.
Le 25 juin 1795, il conclut à Belleville une alliance avec des émigrés royalistes en vue d'un débarquement en Vendée. Les Anglais, engagés dans une guerre inexpiable avec le gouvernement de Paris, condescendent à lui apporter leur soutien. La tentative de débarquement, sur la presqu'île de Quiberon, se solde par un cruel échec. Charette se retrouve isolé dans le bocage avec une poignée de partisans.
Un peu plus tard, un autre chef vendéen, Stofflet, rentre en guerre en janvier 1796 sur ordre des princes émigrés. Mais il est capturé et fusillé à Angers le 25 février 1796. Quant à Charette, traqué comme une bête, il est pris le 23 mars à la Chaboterie de Saint-Sulpice-le-Verdon et fusillé le 29 mars 1796.
Les combats sont finis mais le souvenir des atrocités va alimenter les rancoeurs et les conspirations chez de nombreux Vendéens et Chouans. Le plus célèbre de ces derniers, Georges Cadoudal, entrera bien plus tard dans un ultime complot royaliste.
Le 09 juillet 2021 à 15:54:19 GrasDuCul a écrit :
Le 09 juillet 2021 à 15:53:44 :
Le 09 juillet 2021 à 15:53:01 GrasDuCul a écrit :
Au final ils se sont tous fait genocided par la Républiquehttps://image.noelshack.com/fichiers/2018/04/2/1516720242-soldat-rf2.png Cimer le Comité de Salut public
https://image.noelshack.com/fichiers/2018/04/2/1516720242-soldat-rf2.png
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/09/1/1614601576-selecciaanimee.gif exact sauf que l'un est au royaume de Dieu, les autres avec SatanOui je connais cette théorie
https://image.noelshack.com/fichiers/2018/04/2/1516720242-soldat-rf2.png
Le 09 juillet 2021 à 15:53:01 GrasDuCul a écrit :
Au final ils se sont tous fait genocided par la Républiquehttps://image.noelshack.com/fichiers/2018/04/2/1516720242-soldat-rf2.png Cimer le Comité de Salut public
https://image.noelshack.com/fichiers/2018/04/2/1516720242-soldat-rf2.png
Les royalistes s’emparent d’un fourgon de l’état contenant 500 000 francs
Au mois de juin 1799, M. de Nougaret ayant été informé quʼune somme considérable dʼargent, appartenant au gouvernement, était envoyée de Paris à Rennes, résolut de sʼen emparer.
Se cachant sous le nom dʼAchille le Brun, il recruta 30 à 40 royalistes des environs de Vitré et, tous bien armés, allèrent le 23 juin attendre le fourgon qui, leur avait-on dit, venait de dépasser Vitré. Ils se postèrent en embuscade dans une châtaigneraie située au nord de la route, près de la Besnardière, en deçà de Saint-Jean-sur-Vilaine.
Lorsque le fourgon arriva à leur portée, escorté par des gardes nationaux de Vitré et des gendarmes, le chef des royalistes ordonna à ses hommes de faire feu sur les chevaux conduisant le véhicule. Lʼescorte fut tellement surprise et effrayée de cette attaque soudaine, en temps de paix, quʼelle ne songea même pas à se défendre et prit la fuite.
M. de Nougaret nʼeut aucune peine à sʼemparer des 500 000 francs qui se trouvaient dans le fourgon et qui étaient en monnaie dʼargent nouvellement frappée. Aucun homme de lʼescorte ne fut blessé.
Le 09 juillet 2021 à 15:46:06 GillesMerguez13 a écrit :
En faite la révolution française c’est une putin de guerre civile qui aura duré 1 siècle pratiquement
https://lecatho.fr.fo/histoire/quelques-faits-historiques-sur-la-chouannerie-et-la-republique/
'Le dimanche 4 août 1799, le général Roulan, commandant les troupes républicaines de Vitré, fit une sortie dans les campagnes à la tête dʼune colonne de troupes de ligne et de la compagnie de la garde nationale mobile.
Arrivé au bourg dʼArgentré, le général plaça des postes et permit à ses hommes de se reposer. Au même instant le 2e bataillon des royalistes sʼapprocha du bourg, à lʼoccident, et un nommé Joseph Mercier, commandant la compagnie de
Pocé, vint attaquer les républicains. Le général Roulan fit battre le rappel et dirigea ses troupes vers le chemin dʼoù venait lʼattaque. Il les fit mettre par pelotons, en colonne serrée, de façon à remplir la largeur du chemin, puis ordonna une charge au pas de course à la baïonnette.
Mercier et ses hommes battirent en retraite jusquʼau détour du chemin, et allèrent se cacher derrière un fossé avec toute la compagnie de Pocé, pendant que le surplus du bataillon royaliste tournait le bourg, vers le nord, sans être aperçu.
Les soldats du général républicain, arrivés près du fossé où était embusquée la compagnie de Pocé, reçurent une décharge à bout portant qui en tua un certain nombre, et un feu bien nourri de la part des royalistes acheva de mettre le désordre dans leurs rangs.
Au même instant la seconde partie du bataillon des royalistes ayant traversé les jardins, au nord du bourg, vint les surprendre par derrière et achever leur déroute. Les malheureux soldats pris ainsi de tous côtés se réfugièrent dans
quelques maisons, et notamment dans celle de M. Rochelle où ils cherchèrent à se défendre par les croisées. Mais M. de la Nougaret, qui commandait le premier bataillon des royalistes, arriva par le chemin de la Fauconnerie, entra dans le haut du bourg et mit en déroute complète les soldats républicains qui se sauvèrent par les jardins du côté du midi.
Le général Roulan, pour ne pas être fait prisonnier, se vit obligé dʼabandonner son cheval ainsi quʼun sac de cartouches les quelques cavaliers qui lui servaient dʼescorte firent comme lui et abandonnèrent leurs montures.
M. de la Nougaret voyant les républicains dispersés, lança ses hommes à leur poursuite pour les empêcher de se rallier. Il détacha aussi plusieurs compagnies vers le bourg dʼEstrelles et la route de la Guerche, afin de les empêcher de rentrer à Vitré.
Il faut ajouter à la louange de ce royaliste, quʼil défendit à ses hommes de tirer les fuyards, mais leur donna lʼordre de les désarmer. Très peu de soldats purent rentrer armés. Ceux qui furent découverts dans les maisons du bourg dʼArgentré rendirent leurs armes et sʼen allèrent tranquillement. Quant aux blessés, les royalistes allèrent les relever sur le champ de bataille, leur donnèrent les premiers soins, et un détachement, commandé par le lieutenant Lépinay, les conduisit dans des charrettes jusquʼà la barrière de la rue Hellerie à Vitré, où ils furent reçus par le commandant de la place.
Le 08 juillet 2021 à 15:12:26 Pazificateur786 a écrit :
Le 08 juillet 2021 à 15:08:39 :
https://image.noelshack.com/fichiers/2019/03/4/1547723659-philip01.png https://lecatho.fr.fo/religion/guerre-a-satan-la-franc-maconnerie-voila-lennemi/
Ayaa c'est un khey qui l'a fait ?
https://image.noelshack.com/fichiers/2017/33/7/1503261217-risitas-fou.png
https://lecatho.fr.fo/religion/guerre-a-satan-la-franc-maconnerie-voila-lennemi/