Le 28 juin 2021 à 05:47:07 :
Les moustiques qui suckent les pieds en sah to sah sans vergogne
Le 28 juin 2021 à 05:36:45 :
Je taff la
Quel métier ?
Le 28 juin 2021 à 05:14:12 :
J’avais remarquéJe me fais toujours piquer au niveau des chevilles
Faut se laver de temps en temps
Le 28 juin 2021 à 05:10:17 :
Si ma mère me trouve trop proche de ses feets je lui dirai que j'ai la denguehttps://image.noelshack.com/fichiers/2021/23/6/1623449437-adobe-20210612-001001.png
Vire à droite gros taraient
Le 28 juin 2021 à 05:09:47 :
Par le CO2 bien ton article à la con ?
DDB pour ces injures
https://www.liberation.fr/sciences/1995/11/28/les-moustiques-preferent-les-pieds-qui-sentent_148625/
Vous vous êtes beaucoup faits piquer ?
L’ogre des prétoires, au visage dévoré par une barbe hirsute, venait de s’attabler à sa buvette préférée. Le maître d’hôtel l’accueillit sans délai dans un costume trois pièces impeccablement taillé, et s’enquit de la commande du ténor. Les prunelles du gros Moretti s’assombrirent bientôt devant la carte, et la raison en fut grave : le maître ne trouvait point le risotto e esparagi, le délicat mets qui obtenait d'ordinaire sa faveur. Il se leva d’un bond stupéfiant le chef, qui recula dans un éclair de panique, tandis qu’un premier soufflet administré par le ministre devait tomber sur ses pommettes. « Voulez-vous donc être rangé au rang des imprudents ? », s’écria Moretti avec un visage pourpre, « et rejoindre sur-le-champ la Bastille ? Je vous ferais mettre au fer tous ces vauriens incapables, pour le salut de la Vème. »
La gorge du chef se noua devant l’expédition de ces menaces républicaines, car il se fallut de peu que son équipe et lui séjournassent aux geôles, les poignets meurtris par les chaînes et le corps flétri de plaies. Il y eut dans la physionomie craintive de l’homme un ode à la compassion, si bien que le ministre, pris d’une tendre pitié, se résolut à commander un autre plat : Acquittator déjeunera des spaghettis alle vongole, lesquels lui rappelèrent, dans un fugace instant de nostalgie, les vacances d’enfance passées à Casalicchio, le village de ses aïeux maternels.
Le tenancier parut fort aise de cet heureux dénouement, mais il sembla, après que Moretti eut donné de franches lippées à sa ration, que le maître fût agacé par son repas. « Sont-ce des panopes avec mes spaghettis ? » s’écria-t-il, inquisiteur, à l’endroit de l’employé, qui lui répondit d’une voix tremblante : « Non, monsieur, le cuisinier me fait dire qu’il y a des praires dans votre assiette ». Une pareille confession enragea cet épicurien amateur de bonne chère, et ce fut Caporetto dans ses entrailles ; ce navire de gras se mit en mouvement contre le subalterne, auquel fut infligé les pires tourments, et celui-ci expia dans un dernier râle d’agonie, le crâne fendu par le talon des souliers en cuir de veau du maître.
Le fils du macchabée, alerté par ce grand tohu-bohu, se précipita sur le revolver 1874 Chamelot-Delvigne hérité de son arrière-grand-père poilu du 18e RI. Le Garde des Sceaux ne donna cependant pas le temps de la vengeance à l’effronté : il le désarma d’une taloche agile, saisit le calibre, puis vida son barillet sur les cheveux de l’enfant. « Tu es comme ta crapule de père, un fieffé incapable, et ainsi qu’il vécut, ton existence sera misère, puces et vagabondage ». Sur ces mots, Moretti disparut au portillon du restaurant, et un effroi muet s’empara du lieu.
L’ogre des prétoires, au visage dévoré par une barbe hirsute, venait de s’attabler à sa buvette préférée. Le maître d’hôtel l’accueillit sans délai dans un costume trois pièces impeccablement taillé, et s’enquit de la commande du ténor. Les prunelles du gros Moretti s’assombrirent bientôt devant la carte, et la raison en fut grave : le maître ne trouvait point le risotto e esparagi, le délicat mets qui obtint habituellement sa faveur. Il se leva d’un bond stupéfiant le chef, qui recula dans un éclair de panique, tandis qu’un premier soufflet administré par le ministre devait tomber sur ses pommettes. « Voulez-vous donc être rangé au rang des imprudents ? », s’écria Moretti avec un visage pourpre, « et rejoindre sur-le-champ la Bastille ? Je vous ferais mettre au fer tous ces vauriens incapables, pour le salut de la Vème. »
La gorge du chef se noua devant l’expédition de ces menaces républicaines, car il se fallut de peu que son équipe et lui séjournassent aux geôles, les poignets meurtris par les chaînes et le corps flétri de plaies. Il y eut dans la physionomie craintive de l’homme un ode à la compassion, si bien que le ministre, pris d’une tendre pitié, se résolut à commander un autre plat : Acquittator déjeunera des spaghettis alle vongole, lesquels lui rappelèrent, dans un fugace instant de nostalgie, les vacances d’enfance passées à Casalicchio, le village de ses aïeux maternels.
Le tenancier parut fort aise de cet heureux dénouement, mais il sembla, après que Moretti eût donné de franches lippées à sa ration, que le maître fût agacé par son repas. « Sont-ce des panopes avec mes spaghettis ? » s’écria-t-il, inquisiteur, à l’endroit de l’employé, qui lui répondit d’une voix tremblante : « Non, monsieur, le cuisinier me fait dire qu’il y a des praires dans votre assiette ». Une pareille confession enragea cet épicurien amateur de bonne chère, et ce fut Caporetto dans ses entrailles ; ce navire de gras se mit en mouvement contre le subalterne, auquel fut infligé les pires tourments, et celui-ci expia dans un dernier râle d’agonie, le crâne fendu par le talon des souliers en cuir de veau du maître.
Le fils du macchabée, alerté par ce grand tohu-bohu, se précipita sur le revolver 1874 Chamelot-Delvigne hérité de son arrière-grand-père poilu du 18e RI. Le Garde des Sceaux ne donna cependant pas le temps de la vengeance à l’effronté : il le désarma d’une taloche agile, saisit le calibre, puis vida son barillet sur les cheveux de l’enfant. « Tu es comme ta crapule de père, un fieffé incapable, et ainsi qu’il vécut, ton existence sera misère, puces et vagabondage ». Sur ces mots, Moretti disparut au portillon du restaurant, et un effroi muet s’empara du lieu.
Le 28 juin 2021 à 03:56:02 :
Le 28 juin 2021 à 03:54:41 :
Le mec croit qu'il passe le BAChttps://image.noelshack.com/fichiers/2021/23/6/1623449437-adobe-20210612-001001.png C'est pire que le bac version 2021 et c'est mieux que le bac. Car pour le coup le permis ça change ton style de vie
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/23/6/1623449437-adobe-20210612-001001.png
Sauf que c'est pas la véritable épreuve du permis que tu vas passer, l'ahuri, mais le code. Si tu l'as pas ce matin, tu peux limite le passer de nouveau l'après-midi
Le 28 juin 2021 à 03:47:35 :
Le 28 juin 2021 à 03:45:25 :
Le 28 juin 2021 à 03:44:18 :
Le 28 juin 2021 à 03:43:19 :
Je ne veux pas bachoter pendant 10 ans pour que mon avenir soit déterminé par des épreuves insipides et idiotes qui se résument à cocher les bonnes casesPuis soigner des personnes malades toute sa vie, les approcher, les déshabiller, les palper, pour 5k/mois, c'est insultant
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/23/6/1623449437-adobe-20210612-001001.png Tu choisis ta spécialité l'ahurax
https://image.noelshack.com/fichiers/2017/15/1492256576-jesus2.png Tu obtiens une spécialité selon tes résultats aux épreuves idiotes mentionnées ci-haut dans mon message l'ahuri, donc tu ne la choisis pas vraiment. La lecture n'est plus une compétence exigée en PACES ?
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/23/6/1623449437-adobe-20210612-001001.png Tu choisis en fonction des résultats=> Tu choisis quand même
Tu peux disposerhttps://image.noelshack.com/fichiers/2020/08/7/1582489466-maitre-yoda-choque1.png
Non, seuls les premiers choisissent, les autres subissent, c'est le principe d'un concours
Le 28 juin 2021 à 03:44:28 :
Le 28 juin 2021 à 03:43:19 :
Je ne veux pas bachoter pendant 10 ans pour que mon avenir soit déterminé par des épreuves insipides et idiotes qui se résument à cocher les bonnes casesPuis soigner des personnes malades toute sa vie, les approcher, les déshabiller, les palper, pour 5k/mois, c'est insultant
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/23/6/1623449437-adobe-20210612-001001.png Après on a un esprit académique où on ne l'a pas hein la sélection reste naturelle
C'est pas inintéressant non plus. Toute connaissance est bonne
Le cursus de médecine c'est l'antithèse de l'esprit académique hein, on te demande d'apprendre sans réfléchir, et il suffit, pour s'en convaincre, de lire quelques thèses d'exercice
Le 28 juin 2021 à 03:45:00 :
Le 28 juin 2021 à 03:43:19 :
Je ne veux pas bachoter pendant 10 ans pour que mon avenir soit déterminé par des épreuves insipides et idiotes qui se résument à cocher les bonnes casesPuis soigner des personnes malades toute sa vie, les approcher, les déshabiller, les palper, pour 5k/mois, c'est insultant
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/23/6/1623449437-adobe-20210612-001001.png Écoute le pas khey, Pharmacie > médecine
https://image.noelshack.com/fichiers/2017/44/3/1509495373-ege.png
Pharmacie c'est beaucoup des aspects négatifs de la médecine sans son meilleur aspect : le prestige associé au statut de médecin. C'est, en somme, le pire du pire