Le contrat social en 1960
La société, avec ses principes moraux encore bien ancrés dans la population, permettait :
- d'établir une famille nucléaire, ce qui implique un mariage sûr, puis la procréation
- d'élever sa descendance dans un foyer sain
L'homme, en échange de sa force de travail, pouvait :
- entretenir tout un foyer
- accéder facilement à la propriété immobilière par l'obtention d'un prêt aux échéances virtuellement nulles du fait de l'inflation
- laisser un legs à sa descendance
L'homme vivait alors :
- dans une société homogène, sûre et heureuse
- économiquement prospère
- qui avait foi dans l'avenir et le progrès
Le contrat social en 2021
La société, qui a abandonné sa morale traditionnelle, ne permet plus :
- de fonder une famille nucléaire, voire une famille quelle qu'elle soit
- d'avoir, pour les enfants, un foyer sûr et sain
- d'offrir des repères rassurants à ses membres
L'homme, malgré la location de sa force de travail, ne peut plus :
- accéder facilement à la propriété, qui n'est dès lors qu'accessible après conclusion d'un prêt coûteux
- subvenir seul aux besoins de son foyer, ce qui implique donc que la mère travaille, et entraîne par conséquent un environnement moins favorable aux enfants ainsi qu'à leur éducation
L'homme vit alors dans une société :
- hétérogène, qui se délite, et qui risque de disparaître
- à l'économie incertaine
- sans repère rassurant, ni capacité de résilience
Le 07 juillet 2021 à 20:06:46 :
profession surpayer comme agent immobilier qui sont là pour tendre les bras et dire voici la cuisine
Ils ont quand même bac+7 mais clairement surpayés
Le 06 juillet 2021 à 21:50:13 :
enthttps://image.noelshack.com/fichiers/2020/51/2/1607995092-ahicitron.png ent
Il te regarde comme ça :
Ta réaction ?
Le 06 juillet 2021 à 21:53:30 :
Docteur en physique
Docteur en mathématiqueSelon la loi, il faut un Doctorat.
Putain, l'auteur, ce sous éduqué
Non mais ils peuvent utiliser le titre de docteur comme civilité et en toute circonstance, alors que ce privilège n’appartenait autrefois qu’aux médecins l’ahurix