Messages de Covid_21

Parce que un mec de la sécurité de la cgt a gazé un manifestant gilet jaune et qu'ils sont considérés comme des colabo du pouvoir

Tout ca , ce sont des dégénérés qui se battent entre eux

C'est vraiment un cauchemar cette vie, voilà a quoi la majorité aura droit, une grosse immonde et un pavillon dégueulasse.

Sans parler des chiard sorti du trou du cul de magalie et de la futur pension a verser tellement elles ne sont pas fiables et sans valeurs aujourd'hui, quand elle aura perdu tout ses kilos pour s'installer avec un plus jeune de 10 ans qu'elle

Mais il y a deja eu ou il y aura des formes de vies intelligentes.

Simplement il est peu probable dans une galaxie qu'elles le soient a le même époque

L'homosapien n existe que depuis 100 000 ans et les premières ondes radios depuis 1 siècle

Extrêmement court a l échelle de l'univers

Impossible de le savoir, les ondes radios et toutes formes d'ondes s'évanouissent au bout de 2 a 3 années lumières de distance

Et vu la connerie de notre civilisations avancées, progressisme, réseau sociaux, abetissement general, féminisme, progressisme, pression environnentale il est probable que cette connerie soit universelle et face s'effondrer les civilisations

188 cm 20 cm, 2k

Je fais partie de l élite

Les etudes de sociologie pour devenir sociologue :rire:

Les seules vrais femmes que les 2000 connaîtront c est leur mère et leur grand mère

Les geniteuses qu'ils connaîtront ne leur apporterons qu'un nid d'emmerdes, ils devront juste leur payer un pension a vie , elle et leur avorton fécondé on ne sais où

C'est les femmes d'aujourd'hui qui détestent les hommmes. Enfin les homme blancs car bizzarement avec d'autres communautés elles mettent sans problème leur pricipes feministes couillicides

Nos mères et nos grands mère ne semblent pas malheureuse de faire des plats et de cuisiner quand des invités sont là

Y'a vraiment que cette nouvelle génération d idiotes qui sont devenues incapable et qui ramène la cuisine a de la mysoginie

Elles ne s'occupent pkus non plus de leur maison, la seule chose qu'elles font bien.

Elles sont devenues juste des trous sans intérêt

En plus la plupart sont bêtes, on ne peut pas avoir de discussion politique ou sérieuses. Elles ont forcément raisons et croient tout connaître

La femme d'aujourd'hui est un enfer, elles meritent de finir seule a d'enlaidir avec leur môme qu'elles auront chier d'un énième plan cul

C'est la decadence du feminisme 2.0

Dans l'imaginaire de ces idiotes nées en l'an 2000, cuisiner est un signe de soumission

Elles ne savent rien faire a part se foutre a poil sur tik tok et se maquiller comme des catins.

L homme blanc est leur ennemi, elles cherchent uniquement a le castrer et le dévaloriser

Elles ne meritent que notre mépris et qu'on les prenne pour ce qu'elles sont devenu, des idiotes bêtes et méchantes

Rien ne s'effondre l'attardin, c'est juste qu'il y a des problème de remontées

Il y a toujours autant de cas, et la tension reste plus haute qu'au pic de novembre

Croire que ca s'améliore alors que c'est catastrophique

Hate de voir une flambé pour couper le claque merde des ouvertistes

Cet abruti a vraiment des arguments de merde

Il sait tres bien que le nombre de morts est largement sous estimé, que la dynamaique est incroyable dans ce pays avec des chambres funéraires débordées

Pourquoi meme la russie de Poutine envoie de l'aide à l'Inde en matiere d'oxygene, philippot est le pire yrr du pays, il est irresponsable il meriterais la cour Martiale

Magnifique dans engrenages aussi
Vous devez avoir un diabète de fou vu l'indice glicemique de la bière
Le Bresil sous estime et cache la situation, Bolsonaro souhaitant envoyer l'armée dans les régions qui confinent

Pérou : la catastrophe du COVID-19 pèse sur les élections
Bill Van Auken
il y a 12 heures
Le Pérou se dirige vers un second tour opposant l’ancien leader de la grève des enseignants Pedro Castillo à Keiko Fujimori, leader de la droite péruvienne et fille de l’ex-autocrate emprisonné du même nom, alors que le pays subit les effets meurtriers de la dernière vague de la COVID-19.

De nouveaux variants plus contagieux du coronavirus ont entraîné une augmentation record des infections et des décès. Outre le variant P.1 du Brésil, un variant C.37 récemment identifié se propage rapidement au Pérou et au Chili.

Pedro Castillo et Keiko Fujimori (Crédit: Andina)
Le nombre moyen de décès par jour est passé à 378, un Péruvien mourant toutes les quatre minutes. Le Pérou ne se trouve devancé que par le Brésil pour le taux de mortalité par habitant en Amérique latine.

Cette vague a entraîné l’effondrement du système de soins de santé. De nombreux hôpitaux fonctionnent à 150 pour cent de leur capacité, les patients remplissant les cafétérias, les couloirs, les salles d’attente et les tentes installées sur les parkings. La semaine dernière, on a signalé qu’il ne restait plus que 64 lits de soins intensifs dans tout le pays. Le ministère de la Santé (MINSA) a indiqué que 2.524 Péruviens étaient sous ventilation mécanique, une augmentation de 63 pour cent par rapport à la première vague de la pandémie l’année dernière.

Outre les morts et les malades en masse, la pandémie a accéléré la descente du Pérou dans la crise économique. Alors qu’on lui attribuait auparavant la croissance économique la plus rapide d’Amérique latine, le Pérou a vu son économie chuter de plus de 11 pour cent l’an dernier. Le chômage et la pauvreté ont augmenté de façon spectaculaire, avec la perte de 2,2 millions d’emplois. Selon le Fonds monétaire international (FMI), 1,8 million de Péruviens sont tombés sous le seuil de pauvreté. Une croissance de la pauvreté que le FMI décrit comme «sans précédent». Au total, 27,5 pour cent de la population est désormais classée comme pauvre.

Moyenne mobile sur sept jours des décès liés au COVID-19, d’avril 2020 à avril 2021
La classe ouvrière a été la plus durement touchée par la pandémie, le gouvernement classe les entreprises minières et autres entreprises à profit comme «essentielles». L’effet dévastateur du virus dans les camps miniers surpeuplés a entraîné une vague de protestations et de grèves. Notamment, une grève illimitée des mineurs de la mine de Shougang Hierro Perú est en cours où 24 travailleurs sont morts du COVID-19.

Cette catastrophe sociale et économique provoquée par la politique du gouvernement péruvien, qui consiste à privilégier le profit sur la vie, s’inscrit dans le cadre d’une crise prolongée du pouvoir bourgeois au Pérou. Celui-ci a connu quatre présidents en un peu plus de quatre ans. Tous les ex-présidents en vie — et un, Alan Garcia, qui s’est suicidé plutôt que d’aller en prison — se trouvaient impliqués dans un vaste réseau de corruption, impliquant des pots-de-vin et des dessous-de-table versés par le géant brésilien de la construction Odebrecht et ses entrepreneurs locaux.

La colère populaire contre le pouvoir en place a éclaté en novembre dernier après que le Congrès – dont la moitié des membres étaient accusés de faits similaires – ait destitué le président de l’époque, Martin Vizcarra, sur la base d’allégations de corruption non prouvées ; beaucoup considérant cet acte comme un coup d’État de droite. Cela a provoqué les plus grandes manifestations que le Pérou ait connues depuis des décennies. Des dizaines de milliers de Péruviens, pour la plupart des étudiants et des jeunes, sont descendus dans les rues de Lima et d’autres grandes villes. Alors que les manifestations de masse chassaient le régime installé par le coup d’État du Congrès, un nouveau gouvernement était consolidé sous la direction de Francisco Sagasti, un ancien responsable de la Banque mondiale.

Pérou : la catastrophe du COVID-19 pèse sur les élections
Bill Van Auken
il y a 12 heures
Le Pérou se dirige vers un second tour opposant l’ancien leader de la grève des enseignants Pedro Castillo à Keiko Fujimori, leader de la droite péruvienne et fille de l’ex-autocrate emprisonné du même nom, alors que le pays subit les effets meurtriers de la dernière vague de la COVID-19.

De nouveaux variants plus contagieux du coronavirus ont entraîné une augmentation record des infections et des décès. Outre le variant P.1 du Brésil, un variant C.37 récemment identifié se propage rapidement au Pérou et au Chili.

Pedro Castillo et Keiko Fujimori (Crédit: Andina)
Le nombre moyen de décès par jour est passé à 378, un Péruvien mourant toutes les quatre minutes. Le Pérou ne se trouve devancé que par le Brésil pour le taux de mortalité par habitant en Amérique latine.

Cette vague a entraîné l’effondrement du système de soins de santé. De nombreux hôpitaux fonctionnent à 150 pour cent de leur capacité, les patients remplissant les cafétérias, les couloirs, les salles d’attente et les tentes installées sur les parkings. La semaine dernière, on a signalé qu’il ne restait plus que 64 lits de soins intensifs dans tout le pays. Le ministère de la Santé (MINSA) a indiqué que 2.524 Péruviens étaient sous ventilation mécanique, une augmentation de 63 pour cent par rapport à la première vague de la pandémie l’année dernière.

Outre les morts et les malades en masse, la pandémie a accéléré la descente du Pérou dans la crise économique. Alors qu’on lui attribuait auparavant la croissance économique la plus rapide d’Amérique latine, le Pérou a vu son économie chuter de plus de 11 pour cent l’an dernier. Le chômage et la pauvreté ont augmenté de façon spectaculaire, avec la perte de 2,2 millions d’emplois. Selon le Fonds monétaire international (FMI), 1,8 million de Péruviens sont tombés sous le seuil de pauvreté. Une croissance de la pauvreté que le FMI décrit comme «sans précédent». Au total, 27,5 pour cent de la population est désormais classée comme pauvre.

Moyenne mobile sur sept jours des décès liés au COVID-19, d’avril 2020 à avril 2021
La classe ouvrière a été la plus durement touchée par la pandémie, le gouvernement classe les entreprises minières et autres entreprises à profit comme «essentielles». L’effet dévastateur du virus dans les camps miniers surpeuplés a entraîné une vague de protestations et de grèves. Notamment, une grève illimitée des mineurs de la mine de Shougang Hierro Perú est en cours où 24 travailleurs sont morts du COVID-19.

Cette catastrophe sociale et économique provoquée par la politique du gouvernement péruvien, qui consiste à privilégier le profit sur la vie, s’inscrit dans le cadre d’une crise prolongée du pouvoir bourgeois au Pérou. Celui-ci a connu quatre présidents en un peu plus de quatre ans. Tous les ex-présidents en vie — et un, Alan Garcia, qui s’est suicidé plutôt que d’aller en prison — se trouvaient impliqués dans un vaste réseau de corruption, impliquant des pots-de-vin et des dessous-de-table versés par le géant brésilien de la construction Odebrecht et ses entrepreneurs locaux.

La colère populaire contre le pouvoir en place a éclaté en novembre dernier après que le Congrès – dont la moitié des membres étaient accusés de faits similaires – ait destitué le président de l’époque, Martin Vizcarra, sur la base d’allégations de corruption non prouvées ; beaucoup considérant cet acte comme un coup d’État de droite. Cela a provoqué les plus grandes manifestations que le Pérou ait connues depuis des décennies. Des dizaines de milliers de Péruviens, pour la plupart des étudiants et des jeunes, sont descendus dans les rues de Lima et d’autres grandes villes. Alors que les manifestations de masse chassaient le régime installé par le coup d’État du Congrès, un nouveau gouvernement était consolidé sous la direction de Francisco Sagasti, un ancien responsable de la Banque mondiale.

Pérou : la catastrophe du COVID-19 pèse sur les élections
Bill Van Auken
il y a 12 heures
Le Pérou se dirige vers un second tour opposant l’ancien leader de la grève des enseignants Pedro Castillo à Keiko Fujimori, leader de la droite péruvienne et fille de l’ex-autocrate emprisonné du même nom, alors que le pays subit les effets meurtriers de la dernière vague de la COVID-19.

De nouveaux variants plus contagieux du coronavirus ont entraîné une augmentation record des infections et des décès. Outre le variant P.1 du Brésil, un variant C.37 récemment identifié se propage rapidement au Pérou et au Chili.

Pedro Castillo et Keiko Fujimori (Crédit: Andina)
Le nombre moyen de décès par jour est passé à 378, un Péruvien mourant toutes les quatre minutes. Le Pérou ne se trouve devancé que par le Brésil pour le taux de mortalité par habitant en Amérique latine.

Cette vague a entraîné l’effondrement du système de soins de santé. De nombreux hôpitaux fonctionnent à 150 pour cent de leur capacité, les patients remplissant les cafétérias, les couloirs, les salles d’attente et les tentes installées sur les parkings. La semaine dernière, on a signalé qu’il ne restait plus que 64 lits de soins intensifs dans tout le pays. Le ministère de la Santé (MINSA) a indiqué que 2.524 Péruviens étaient sous ventilation mécanique, une augmentation de 63 pour cent par rapport à la première vague de la pandémie l’année dernière.

Outre les morts et les malades en masse, la pandémie a accéléré la descente du Pérou dans la crise économique. Alors qu’on lui attribuait auparavant la croissance économique la plus rapide d’Amérique latine, le Pérou a vu son économie chuter de plus de 11 pour cent l’an dernier. Le chômage et la pauvreté ont augmenté de façon spectaculaire, avec la perte de 2,2 millions d’emplois. Selon le Fonds monétaire international (FMI), 1,8 million de Péruviens sont tombés sous le seuil de pauvreté. Une croissance de la pauvreté que le FMI décrit comme «sans précédent». Au total, 27,5 pour cent de la population est désormais classée comme pauvre.

Moyenne mobile sur sept jours des décès liés au COVID-19, d’avril 2020 à avril 2021
La classe ouvrière a été la plus durement touchée par la pandémie, le gouvernement classe les entreprises minières et autres entreprises à profit comme «essentielles». L’effet dévastateur du virus dans les camps miniers surpeuplés a entraîné une vague de protestations et de grèves. Notamment, une grève illimitée des mineurs de la mine de Shougang Hierro Perú est en cours où 24 travailleurs sont morts du COVID-19.

Cette catastrophe sociale et économique provoquée par la politique du gouvernement péruvien, qui consiste à privilégier le profit sur la vie, s’inscrit dans le cadre d’une crise prolongée du pouvoir bourgeois au Pérou. Celui-ci a connu quatre présidents en un peu plus de quatre ans. Tous les ex-présidents en vie — et un, Alan Garcia, qui s’est suicidé plutôt que d’aller en prison — se trouvaient impliqués dans un vaste réseau de corruption, impliquant des pots-de-vin et des dessous-de-table versés par le géant brésilien de la construction Odebrecht et ses entrepreneurs locaux.

La colère populaire contre le pouvoir en place a éclaté en novembre dernier après que le Congrès – dont la moitié des membres étaient accusés de faits similaires – ait destitué le président de l’époque, Martin Vizcarra, sur la base d’allégations de corruption non prouvées ; beaucoup considérant cet acte comme un coup d’État de droite. Cela a provoqué les plus grandes manifestations que le Pérou ait connues depuis des décennies. Des dizaines de milliers de Péruviens, pour la plupart des étudiants et des jeunes, sont descendus dans les rues de Lima et d’autres grandes villes. Alors que les manifestations de masse chassaient le régime installé par le coup d’État du Congrès, un nouveau gouvernement était consolidé sous la direction de Francisco Sagasti, un ancien responsable de la Banque mondiale.

Y a un variant péruvien maintenant.

J'attend le covid 21 maintenant. Celui qui nous ramènera a l'age de pierre :ange:

Rouvrir alors qu'il faudrait fermer et enfermer tout le monde car la situation sanitaire est cataclysmique