Le 23 janvier 2022 à 01:04:20 :
Ceux qui se servent d'un IPTV avec QHDTV, chez vous aussi RMC 2 ne marche pas ? Vous le regardez comment ?
Oui Lxtream avec subtv ca bug mais j'ai d'autre ip tv et PPV ESPN , sinon tu va sur reddit piracy megathread ou sur une autre chaine sur la liste https://www.ufc.com/news/how-watch-ufc-270-ngannou-vs-gane
Le 23 décembre 2021 à 11:42:43 :
[11:42:00] <Alkamil>
1) Skyrim
2) PES 2015
3) Dragon Age InquisitionInquisition c'est la gen PS4 mais Ok bon jeu
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/50/6/1639844592-pere-pfizer.png
Dragon Age Inquisition est sorti sur PS3 ...
https://www.jeuxvideo.com/jeux/ps3/jeu-40574/avis/
Du rêve au cauchemar: cruel scénario pour les Diables, renversés par la France
Au repos, le scénario était parfait. Presque idyllique. 45 minutes plus tard, le dénouement est cruel. Complètement acculés en deuxième période, les Diables ont plié, puis rompu avant de finalement craquer à la 90e minute. Un nouveau couac contre la France au stade des demi-finales. Plus que le résultat, c’est la mentalité et le niveau affichés lors du second acte qui pose question. Comment peut-on laisser filer un avantage de deux buts de cette façon? Une finale? Ce ne sera pas encore pour cette fois.
Cette fois, pas de discussion possible. La Belgique a perdu contre plus fort, tout simplement. La différence de niveau entre les Diables et les Bleus après le repos ne laisse même pas place à des “oui, mais si…”. Avant de pointer les nombreux et affligeants manquements constatés lors des 45 dernières (pénibles) minutes, on va cibler le positif. Il y en a eu. Dans une première période maîtrisée, les Diables sont parvenus à faire le break et à planter deux jolis buts dans un temps fort de cinq minutes. La marque des grandes équipes. Un scénario parfait. Voilà ce que l’on pouvait écrire vers 21h35.
Une heure plus tard, il convient de tirer un autre constat. Beaucoup plus amer. Le château de cartes s’est écroulé, littéralement. On s’attendait à ce que les Diables reculent, gèrent et spéculent sur les contre-attaques. Certes, ils ont évolué plus bas, mais parce que les Bleus les ont acculés...
Solitaire et taciturne, Valentin Marcone n’avait proféré aucune menace explicite avant son geste fatal, mais son comportement avait changé récemment vis-à-vis de son employeur. « Les relations s’étaient dégradées en raison d’heures supplémentaires qu’il estimait avoir accomplies et dont il réclamait le paiement, détaille Éric Maurel, procureur de Nîmes. Il y aurait eu une montée en tension, palpable depuis trois à quatre semaines. » En revanche, les témoignages faisant état de ce que Valentin Marcone serait venu travailler en gilet pare-balles, faisaient l’objet de vérifications vendredi.
Ce n’est en tout cas pas la première fois que le jeune homme était en délicatesse avec ses patrons. En juillet 2017, Valentin Marcone avait obtenu un contrat aidé d’un an aux Plantiers, prolongé d’un CDD jusqu’à la fin 2018. Mais celui-ci n’a pas été reconduit, ce que Valentin Marcone aurait vécu comme une trahison : le maire, assurera-t-il, lui aurait promis, lors de son mariage en 2018, de le titulariser.
Employé comme cantonnier du village, il s’était en réalité montré très procédurier, allant jusqu’à réclamer une inspection auprès des autorités de tutelle… qui lui donneront tort. Il avait ensuite engagé une action aux Prud’hommes, estimant son licenciement abusif et exigeant, déjà, le paiement d’heures supplémentaires pour un montant de… 71 euros. En mars 2020, il avait été entièrement débouté de ses demandes. L’origine d’une rumination sans fin et d’une série de plaintes, contre deux employés communaux, un gendarme local, et même un juge d’instruction du tribunal d’Alès… Le 28 avril 2021, il avait appris que sa plainte contre ce dernier avait été jugée irrecevable. Comme englué dans un délire de persécution, il avait même enregistré, puis diffusé des conversations avec ce même gendarme. Pour cela, Valentin Marcone aurait d’ailleurs dû être convoqué prochainement pour être jugé pour « atteinte à l’intimité de la vie privée ».
Dès son geste meurtrier, plusieurs habitants, dont l’ancien maire des Plantiers, avaient ainsi été mises à l’abri. Dans son ordinateur, les enquêteurs avaient retrouvé des clichés de plusieurs personnes, notamment Henri, un retraité des Plantiers. « Il avait pris des photos de moi à mon insu quand j’étais à la chasse et de ma voiture, garée sur le pont. Il estimait qu’elle n’aurait pas dû être là, que c’était un passe-droit puisque je fais partie de la famille de l’ancien maire… » s’étonne encore ce villageois, qui depuis était réfugié chez son neveu. « On vivait dans la peur depuis mardi, confie-t-il. C’est un immense soulagement, on va enfin pouvoir dormir tranquille. »