Le 12 juillet 2020 à 09:28:41 Haumea10 a écrit :
2 moments:
Le 1er j'avais 14ans des mecs me faisaient chanter au collège car j'etais gay ils voulaient que je les sucent en échange de leur silence
Bref ils m'ont attaché dessapé et j'ai du renifler leur queue ils voulaient me sodo mais je me suis débattu jusqu'à que mon prof de sport arriveLe 2eme je bossais a Tijuana mon chauffeur m'emmène au travail comme tout les matins y'avait une déviation on est passé par un quartier de merde y'avait des mecs en AK sur les toits le chauffeur avec le flingue à la main les dealos qui regardaient super mal ma voiture
J'ai vraiment cru que j'allais crever
la première putain
Le 04 mai 2020 à 15:52:54 Motley a écrit :
Le 04 mai 2020 à 15:26:57 Hyenyl a écrit :
Je ne parlais bien evidemment pas de ce SALAUD de corps d'allemand mais bien du GENIAL cordialementMit freundlichen Grüßen
ayaaaaa
https://image.noelshack.com/fichiers/2020/17/2/1587500672-fullsizeoutput-702.jpeg
putain mais vous êtes cons je vais me pisser dessus
Le 04 mai 2020 à 15:23:30 -Eejil- a écrit :
Renvoie un mail :
« Il fallait évidement lire « Cordialement », l’erreur ne se reproduira plus.
Corps d’allemands »
j'ai explosé
Le 26 avril 2020 à 13:49:04 DepressKhey a écrit :
Elle n'est pas très jolie en tout cas.
ça va, c'est juste qu'elle prend pas du tout soin d'elle
Le 03 avril 2020 à 04:59:48 Sweger a écrit :
Pavé.Il y a quelques années je marchais le long d'une piste cyclable qui traversait un grand bois, accompagné de mon neveu qui, à l'époque, devait avoir près de 14 ans, j'en avais 17.
Plusieurs fois nous nous étions rendus dans ce même bois la nuit, sûrement en quête d'imprévus, de frayeurs, rien de surprenant pour des jeunes, pas plus que ça n'était prudent. Mais toujours est-il que ces virées nocturnes ont façonné l'image que nous nous faisions de ces bois en quelque chose de désagréablement mystérieux, à travers le regard de mon neveu comme du mien, il émanait de ce bois une aura inquiétante.
Ce jour-là donc il était près de 18h et l'on marchait le long de cette piste cyclable ; une imparfaite ligne droite nous donnant une vue dégagée sur tout ce qui s'y trouve. L'on remarque tous les deux un petit quelque chose au sol un peu plus loin, à mesure que l'on s'en approche on finit par reconnaître qu'il s'agit d'une tête de lapin. Pas un chat à l'horizon, végétation dense de part et d'autre de notre route, un silence oppressant. La tête est coupée nettement, la bête semble morte depuis peu, ses yeux sont encore grands ouverts et aucune trace de sang, ce n'est sûrement pas l'œuvre d'un prédateur.
Ça nous laisse pantois mon neveu et moi, lui est un brin impressionné et de peur que des enfants soient confrontés à cette même stupeur ; je prends une feuille, m'en sers pour attraper du bout des doigts l'extrémité d'une oreille et m'efforce de jetter au plus profond des bois la tête de lapin.
On décide de poursuivre la balade malgré tout, une demie-heure plus tard nous voilà arrivés au bout de la piste, nous faisons chemin inverse pour rentrer à la maison.Au moment où nous approchions de l'endroit où se trouvait la charogne, mon neveu et moi nous sommes tus, instinctivement et de la même manière qu'à l'allée mais avec bien plus d'angoisse et d'appréhension cette fois, nous avons remarqué au loin qu'à l'exact même endroit gisait un petit quelque chose au milieu de cette piste cyclable.
Vous le devinez aisément, c'était une tête de lapin, sans doute la même ; yeux grands ouverts, décapitée nettement, pas de trace de sang, pourtant la végétation dans laquelle je l'avais jetée était si dense que c'en était inaccessible. Ronces, arbustes, feuillages, orties et branchages bordaient chaque côté de la piste. Et toujours ce calme ambiant et olympien pour contraster avec cette macabre scène.
J'ai ordonné à mon neveu de realiser le meilleur sprint de sa vie, je le talonnais au plus près, on a fort heureusement pu rentrer à la maison sans encombres.Aujourd'hui encore on n'a toujours pas trouvé d'explications à ça, personnellement je reste persuadé que c'était là une intervention de l'Homme, peut-être une "simple" mais au combien mauvaise blague, mais l'idée de savoir qu'un type était suffisamment marbré pour en avoir l'idée, et qu'il était prêt à observer notre réaction caché là, près de nous quelque part dans ce bois sauvage et paumé, ça me glace le sang.
je trouve que tu écris bien