Le 26 décembre 2019 à 13:54:33 SwitchGirl a écrit :
"Vérone, le 1er frimaire, an VJe vais me coucher, ma petite Joséphine, le coeur plein de ton adorable image, et navré de rester tant de temps loin de toi ; mais j'espère que, dans quelques jours, je serai plus heureux et que je pourrai à mon aise te donner des preuves de l'amour ardent que tu m'as inspiré. Tu ne m'écris plus ; tu ne penses plus à ton bon ami, cruelle femme ! Ne sais-tu pas que sans toi, sans ton coeur, sans ton amour, il n'est pour ton mari ni bonheur, ni vie. Bon Dieu ! Que je serais heureux si je pouvais assister à l'aimable toilette, petite épaule, un petit sein blanc, élastique, bien ferme ; par-dessus cela, une petite mine avec le mouchoir à la créole, à croquer. Tu sais bien que je n'oublie pas les petites visites ; tu sais bien, la petite forêt noire. Je lui donne mille baisers et j'attends avec impatience le moment d'y être. Tout à toi, la vie, le bonheur, le plaisir ne sont que ce que tu les fais.
Vivre dans une Joséphine, c'est vivre dans l'Élysée. Baiser à la bouche, aux yeux, sur l'épaule, au sein, partout, partout !"Napoléon cet omega en privé
AYAAAAA, Napoléon, le fusil et la bite à la main
Le 23 décembre 2019 à 15:04:57 Esper-MTG a écrit :
Le 23 décembre 2019 à 14:57:03 PoeteGobelin a écrit :
Pas moi, mais mes sœurs, hélas, oui.Elles étaient petites, et cette nuit-là, mon père et ma mère sont allaient faire des courses, et moi j'étais encore bébé. Quelques minutes plus tard, elles voient une voiture se garer près de la maison. Ce n'est pas la première fois, cette voiture stationnait ÉTRANGEMENT souvent devant. Elles commencent à sentir que c'est louche. Mais elles vont pas plus loin. Puis une d'elles, qui avaient faim, décident de manger une pomme. Mais elle fait tomber la pomme au sol, et là... coup de téléphone, ce qui semble être un inconnu dit au bout de la ligne : "Ramasses la pomme ". Elles m'ont racontées qu'elles ont eut un énorme frisson, ont aurait dit un film d'horreur ! Heureusement, mes parents sont venus à temps, et évidemment, la voiture s'est barré quand elles ont vu la voiture. Donc c'était forcément quelqu'un qui nous connaissais.
Si mes parents ne seraient pas venus, le pire serait peut-être arrivé.
Oh nom de Dieu, si ça m'arriverais je me chierais dessus
Et tu sais toujours pas qui c'était ?
Non, toujours pas, et si on savait, on pourrait rien faire de toutes manières.
Et désolé des fautes, je m'en rend compte mais j'ai écrit ça à la va-vite.
Pas moi, mais mes sœurs, hélas, oui.
Elles étaient petites, et cette nuit-là, mon père et ma mère sont allaient faire des courses, et moi j'étais encore bébé. Quelques minutes plus tard, elles voient une voiture se garer près de la maison. Ce n'est pas la première fois, cette voiture stationnait ÉTRANGEMENT souvent devant. Elles commencent à sentir que c'est louche. Mais elles vont pas plus loin. Puis une d'elles, qui avaient faim, décident de manger une pomme. Mais elle fait tomber la pomme au sol, et là... coup de téléphone, ce qui semble être un inconnu dit au bout de la ligne : "Ramasses la pomme ". Elles m'ont racontées qu'elles ont eut un énorme frisson, ont aurait dit un film d'horreur ! Heureusement, mes parents sont venus à temps, et évidemment, la voiture s'est barré quand elles ont vu la voiture. Donc c'était forcément quelqu'un qui nous connaissais.
Si mes parents ne seraient pas venus, le pire serait peut-être arrivé.