Le 03 janvier 2022 à 06:34:30 :
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Le 03 janvier 2022 à 06:29:16 :
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Le 03 janvier 2022 à 06:22:59 :
Le 03 janvier 2022 à 06:18:01 :
Le 03 janvier 2022 à 06:11:38 :
On part déjà du principe que Dieu aurait envie d'avoir un autre que lui-même. Ensuite on part du principe qu'un autre que Dieu serait nécessairement imparfait. Pourquoi donc ? Dans pleins de religions, il existe plusieurs dieux et ils sont tous parfaits (dans la théologie) et le monde lui même peut être vu comme étant parfait. Dans le catholicisme il existe trois personnes dans la Trinité, qui sont distinctes et parfaites. L'homme est appelé à devenir parfait, sans pour autant se confondre avec Dieu. A la fin des temps, dans la Jérusalem Céleste tout sera parfait sans se confondre avec Dieu.
Redéfinir le mal comme étant l’absence de Bien ne change rien à la raison de cette absence.
Enfin, si Dieu a voulu le monde imparfait, on ne peut pas l'appeler "imparfait".Du moment que tu attribues la propriété de "volonté", propres aux entités finies, à Dieu, qui est défini avant tout comme la chose en soi, la substance unique, ce qui est en soi et pour soi ; tu es dans un non-sens.
C'est toi qui définis Dieu ainsi. Je ne fais que répondre. Tu peux interpréter le terme volonté comme tu veux.
Je ne vais pas parler du fait de considérer plusieurs "Dieu"x, qui serait comme considérer deux Totalité(s), ce qui n'a aucun sens puisque il y'a une Totalité contenant les deux "Totalité(s)" respectives, ce qui n'en fait pas des Totalités.
A nouveau, c'est une question de définition. Je ne les partage pas, c'est tout.
Le schéma et la personne à qui tu répondais entendait clairement une définition de Dieu comme chose en soi.
Non, très clairement on parle d'un Dieu, bon, distinct du monde qu'il engendre. On reste dans une conception chrétienne classique, où Dieu a une volonté.
Je n'ai pas dit le contraire.
D'où les contradictions que le schéma contient .Si la contradiction que le schéma contient c'est précisément le problème du mal alors oui c'est inéluctable. Mais j'aime ce schéma. Je me suis lassé de la non-dualité.
Et content de te revoir, Miralupa. J'avais justement beaucoup "croisé le fer" avec toi il y a quatre/cinq ans.
Je suis content aussi alors, mais le pseudo ne me dit rien.
Le problème le plus flagrant ici, c'est de présupposer à la fois Dieu comme unité (en tant qu'il est infini), mais aussi de lui attribuer explicitement des propriétés propres aux entités strictement contenues dans cette unité (en tant qu'elles sont finies).
Avant même qu'il y'ait problème du mal, il faudrait qu'il y'ait définition rigoureuse de la morale, du bien et du mal ; non pas imposition arbitraire d'un tel concept.
Généralement, le plus subtil quand on veut poser le problème du Mal, c'est qu'on reste soi-même très économe sur le plan axiologique et qu'on prenne appui sur la conception religieuse de la morale pour la ruiner de l'intérieur. Il s'agit moins de dire qu'on trouve Dieu mauvais, et plutôt de démontrer que Dieu est une mauvaise personne en ses propres termes. On se salit le moins possible dans ces histoires de définitions et de "transcendantalité"
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On part déjà du principe que Dieu aurait envie d'avoir un autre que lui-même. Ensuite on part du principe qu'un autre que Dieu serait nécessairement imparfait. Pourquoi donc ? Dans pleins de religions, il existe plusieurs dieux et ils sont tous parfaits (dans la théologie) et le monde lui même peut être vu comme étant parfait. Dans le catholicisme il existe trois personnes dans la Trinité, qui sont distinctes et parfaites. L'homme est appelé à devenir parfait, sans pour autant se confondre avec Dieu. A la fin des temps, dans la Jérusalem Céleste tout sera parfait sans se confondre avec Dieu.
Redéfinir le mal comme étant l’absence de Bien ne change rien à la raison de cette absence.
Enfin, si Dieu a voulu le monde imparfait, on ne peut pas l'appeler "imparfait".Du moment que tu attribues la propriété de "volonté", propres aux entités finies, à Dieu, qui est défini avant tout comme la chose en soi, la substance unique, ce qui est en soi et pour soi ; tu es dans un non-sens.
C'est toi qui définis Dieu ainsi. Je ne fais que répondre. Tu peux interpréter le terme volonté comme tu veux.
Je ne vais pas parler du fait de considérer plusieurs "Dieu"x, qui serait comme considérer deux Totalité(s), ce qui n'a aucun sens puisque il y'a une Totalité contenant les deux "Totalité(s)" respectives, ce qui n'en fait pas des Totalités.
A nouveau, c'est une question de définition. Je ne les partage pas, c'est tout.
Le schéma et la personne à qui tu répondais entendait clairement une définition de Dieu comme chose en soi.
Non, très clairement on parle d'un Dieu, bon, distinct du monde qu'il engendre. On reste dans une conception chrétienne classique, où Dieu a une volonté.
Je n'ai pas dit le contraire.
D'où les contradictions que le schéma contient .Si la contradiction que le schéma contient c'est précisément le problème du mal alors oui c'est inéluctable. Mais j'aime ce schéma. Je me suis lassé de la non-dualité.
Et content de te revoir, Miralupa. J'avais justement beaucoup "croisé le fer" avec toi il y a quatre/cinq ans.
Je suis content aussi alors, mais le pseudo ne me dit rien.
Je me suis entre autres appelé Shibboleth, Vanilla, AcidCookie, Griefs, Faucet. Je ne saurais plus dire lequel était mon principal ni même s'il y en avait vraiment qui le fût.
Le 03 janvier 2022 à 05:59:19 :
Par l'épanchement de son pouvoir créateur, Dieu doit répandre son Etre jusque dans le néant
Ce qui revient à recomposer la séparation entre le Principe et le Démiurge, dans la mesure où cette "nécessité" est la détermination d'une "volonté" elle-même surgie de l'Infini. Le "croyant ordinaire" sera ravi d'entendre que c'est non seulement orthodoxe au regard de sa scolastique mais que tout cela va de soi.
Après, je dois avouer que je prends parti contre les "preuves" parce que je sais non seulement que je n'ai rien à dire ou à dé-montrer qui aurait pu me sortir de mon état de "pétrification spirituelle" d'antan, mais que c'est précisément en m'épuisant dans ce genre de débats que j'essayais d'achever ce qu'il me restait de foi. C'est auprès de ceux qui n'avaient cure de convertir qui que ce soit que ma "cuirasse" rationaliste s'est amollie. Dans les circonstances actuelles, j'ai l'impression que la volonté de "fournir ces réponses" comme tu dis, surtout quand on tient compte de l'expression volontiers "mousquetaire" de l'apologétique, ne mène pas loin.
Et content de te revoir, Miralupa. J'avais justement beaucoup "croisé le fer" avec toi il y a quatre/cinq ans.
Le 03 janvier 2022 à 05:26:22 :
Après tout dépend comment tu définis un "problème". Là je répond à la question des croyants qui n'arrivent pas à comprendre pourquoi un Dieu PARFAIT MORALEMENT peut créer un monde qui ne l'est pas. Si tu t'acharnes à parler de Dieu comme d'une personne humaine qui "construirait un monde" tu tournes en rond oui.
C'est le nœud du problème. Si c'est à Dieu, qu'on ne parvient à "assimiler" que comme "composé logique" de notions secondaires, de comparaitre devant la notion de Bien. Alors, il y a lieu de dire que le dilemme d'Euthyphron, et toutes les variations que l'on fait dessus, est insoluble à partir de la logique seule.
C'est l'intuition de l'Absolu, qui est antérieure au discours et à toute "preuve" qui permet en quelque sorte que l'on parte de la métaphysique pour y revenir dans la foulée. Ce qui revient à dire : ou bien que la "logique" est ici impuissante ou bien qu'elle est superflue et dans un cas comme dans l'autre, que le problème n'en est pas un voire qu'il ne peut pas exister de problème tout court. Ceci dit, je prends la certitude radicale que la résolution du "problème" est évidente comme une marque de foi. Tout comme la preuve ontologique a quelque chose de tellement sincère qu'elle en est devenue risible aux yeux des philosophes.
Le 02 janvier 2022 à 13:05:43 :
La démographie mondiale est surtout issue de l’Afrique. Pourquoi ce continent est-il le moins vacciné si c’est dans un but de réduire la population mondiale ?
Et si c'était le virus, qu'on supposerait alors fabriqué en laboratoire à cette fin, qui devait à long terme produire cette espèce d'effets, et que la relative inefficacité du vaccin qu'on constate actuellement était en fait due à ce qu'il n'est conçu que pour empêcher l'action jusque-là discrète du poison, histoire que la frange la plus récalcitrante de la population soit éliminée ? Cela expliquerait, entre autres, certaines solidarités diplomatiques circonstancielles, ou le fait que les haut placés se vaccinent ou encore qu'on cible conformément aux vieilles déclarations des grands organismes sur le sujet le continent africain pour la baisse de la croissance démographique.
Le 02 janvier 2022 à 12:10:54 :
Le 02 janvier 2022 à 12:03:22 :
Le 02 janvier 2022 à 11:47:01 :
Le 02 janvier 2022 à 11:43:51 :
ce qui est important, c'est de voir le faux dilemme droitard apparaître : non, réfléchir n'est pas bourgeois de gauche.le droitard décide de mettre des barrières et des peurs partout et ce n'est pas le cas de tout le monde, forcement les gens inclusifs sont amenés à rencontrer plus de monde, à être confrontés à l’altérité plus souvent, à remettre en doute leur jugements plus souvent et la curiosité s’éveille ainsi. et bien sûr l’héritage culturel et très important. mais ne dit pas que cet héritage, c'est la bourgeoisie, autrement tu ignores complètement les mouvements ouvriéristes du 20ième siècle qui t'on peut-être formé sans que tu le saches
Énorme malaise
Le droitard ne fait que constater une chose : bien souvent, le gauchisme n’est qu’un cheval de Troie, fabriqué sur mesure pour pénétrer la citadelle de la bourgeoisie dite « intellectuelle »
Nous ne disons rien d’autre. Pour le reste, la gauche pense peut, elle ne fait que geindre. Pour rappel :
Saint-Simon Heidegger Nietzsche Hegel Rozenkranz Schopenhauer Rosenberg Weininger Salomon Ferguson Burke Adams Maistre Bonald Saint-Bonnet Cortès Ortega y Gasset Aron Sherringham Scruton Murray Peterson Compagnon Sainte-Beuve Gilson Taine Brague Carcopino Ranke Mommsen Moellendorff Fustel de Coulanges Dumézil Guarin Furet Burckhardt Wölfflin Hildebrand Chastel Bredekamp Gobineau Bainville La Rochefoucauld La Bruyère Pascal Novalis Goethe Hölderlin Chénier Valéry Lebrun-Pindare Claudel Lamartine Wagner Strauss Karajan Baudelaire Milton Byron Dali Speer Le Corbusier Cézanne Rodin Renoir Toulouse-Lautrec Degas Denis Boisguilbert Gournay Turgot Lemercier Legendre Huerta de Soto Hayek Mises Böhm-Bawerk Menger Schmitt Gehler Molinari Salin Nemo Weber Tönnies Heinich Acton Tocqueville Pareto Monnerot Rougemont Chesterton Theodoracopoulos Soljénitsyne Paul Buchanan Freund Huntington Fukuyama Bonnard Bloy Bardèche Barrés Rebatet Brasillach Céline Mishima Jünger Bernanos Mirbeau Hofmannsthal Kraus Spengler Engels Brunetière Camus Douguine Evola Malaparte Faye Marinetti Jünger Balzac Aurevilly Lorenz Carrel Lynn Woodley of Menie Duhem
Maintenant pleure
Le truc plutôt drôle, même si je ne cherche pas à m'impliquer dans ce tronçon particulier de la discussion, c'est qu'une grande partie des auteurs cités, surtout les gens de lettres (et tout homme de gauche pour peu qu'il soit raisonnable concèdera que la littérature est "particulièrement droitière" à cet égard) font une large partie de leur œuvre à discuter le fait que la gauche, et ce n'est pas pour lui rendre honneur, soit plus fertile intellectuellement.
Je ne pense pas
Cites-en dix ?
Je ne le ferai pas parce qu'on aurait alors à discuter en quoi chacun de mes choix est justifié, mais des grands vitalistes à la révolution conservatrice allemande en passant par l'école élitiste et ses quelques revivances dans la sociologie du XXème siècle, l'idée que "l'intelligence" de la gauche, pour ne pas mentionner de communauté en particulier, avait tout à voir avec la dégénérescence moderne est un topique assez bien établi pour que tu puisses trouver dix noms par toi-même. Dans certains cas, cela a même permis que la gauche d'avant-garde aille s'arracher la dépouille avec la droite qui la réclamait pour elle, afin de puiser ce qu'il y avait de puissance critique (du bolchévisme, de la démocratie parlementaire, de l'académisme, de la bourgeoisie catholique etc.)
D'ailleurs, jette un coup d'oeil aux lectures qu'il retient : Nietzsche, Bernanos, Ronsard..
Le 02 janvier 2022 à 11:47:01 :
Le 02 janvier 2022 à 11:43:51 :
ce qui est important, c'est de voir le faux dilemme droitard apparaître : non, réfléchir n'est pas bourgeois de gauche.le droitard décide de mettre des barrières et des peurs partout et ce n'est pas le cas de tout le monde, forcement les gens inclusifs sont amenés à rencontrer plus de monde, à être confrontés à l’altérité plus souvent, à remettre en doute leur jugements plus souvent et la curiosité s’éveille ainsi. et bien sûr l’héritage culturel et très important. mais ne dit pas que cet héritage, c'est la bourgeoisie, autrement tu ignores complètement les mouvements ouvriéristes du 20ième siècle qui t'on peut-être formé sans que tu le saches
Énorme malaise
Le droitard ne fait que constater une chose : bien souvent, le gauchisme n’est qu’un cheval de Troie, fabriqué sur mesure pour pénétrer la citadelle de la bourgeoisie dite « intellectuelle »
Nous ne disons rien d’autre. Pour le reste, la gauche pense peut, elle ne fait que geindre. Pour rappel :
Saint-Simon Heidegger Nietzsche Hegel Rozenkranz Schopenhauer Rosenberg Weininger Salomon Ferguson Burke Adams Maistre Bonald Saint-Bonnet Cortès Ortega y Gasset Aron Sherringham Scruton Murray Peterson Compagnon Sainte-Beuve Gilson Taine Brague Carcopino Ranke Mommsen Moellendorff Fustel de Coulanges Dumézil Guarin Furet Burckhardt Wölfflin Hildebrand Chastel Bredekamp Gobineau Bainville La Rochefoucauld La Bruyère Pascal Novalis Goethe Hölderlin Chénier Valéry Lebrun-Pindare Claudel Lamartine Wagner Strauss Karajan Baudelaire Milton Byron Dali Speer Le Corbusier Cézanne Rodin Renoir Toulouse-Lautrec Degas Denis Boisguilbert Gournay Turgot Lemercier Legendre Huerta de Soto Hayek Mises Böhm-Bawerk Menger Schmitt Gehler Molinari Salin Nemo Weber Tönnies Heinich Acton Tocqueville Pareto Monnerot Rougemont Chesterton Theodoracopoulos Soljénitsyne Paul Buchanan Freund Huntington Fukuyama Bonnard Bloy Bardèche Barrés Rebatet Brasillach Céline Mishima Jünger Bernanos Mirbeau Hofmannsthal Kraus Spengler Engels Brunetière Camus Douguine Evola Malaparte Faye Marinetti Jünger Balzac Aurevilly Lorenz Carrel Lynn Woodley of Menie Duhem
Maintenant pleure
Le truc plutôt drôle, même si je ne cherche pas à m'impliquer dans ce tronçon particulier de la discussion, c'est qu'une grande partie des auteurs cités, surtout les gens de lettres (et tout homme de gauche pour peu qu'il soit raisonnable concèdera que la littérature est "particulièrement droitière" à cet égard) font une large partie de leur œuvre à discuter le fait que la gauche, et ce n'est pas pour lui rendre honneur, soit plus fertile intellectuellement.
C'est la petite bourgeoisie qui est plutôt de tendance conformiste et qu'il aime humilier (au sens de rendre "humble") en bon dandy dans la mesure où elle juge qu'elle n'a pas à éduquer son goût mais qu'elle est en droit de mépriser l'art quand non seulement il ne lui "parle" pas mais n'essaye plus de lui "parler" si ce n'est pour lui dire précisément qu'il sait qu'elle sait qu'il sait tout cela (et en fait, surtout en tant qu'elle n'a pas les moyens de dire la même chose en substance, mais dans le langage cuistre et référencé convenu par la critique)
C'est louable, même si le prix est parfois la solidarité du ridicule dans le ridicule.
Le 07 mars 2021 à 03:51:10 Mike-Tyron a écrit :
Le 07 mars 2021 à 03:50:19 Mikkel17 a écrit :
Ah non du coup
Ça fait
7 hommes + 7 femmes
Et les 7 enfants on CHACUNE 7 enfantsDonc 14 + 49 = 63
Non-plus, puisque la phrase "7 hommes ont 7 épouses" implique qu'ils ont 7 épouses chacun.
Tous ceux qui répondent autre chose que 399 sont de gros descos.
Marrant, parce que c'est juste que les accords sylleptiques sont peu lisibles et que les cours de quatrième sur les figures de style étaient censés t'apprendre à dépasser cette conception de la syntaxe.
Plus sérieusement, c'est aussi (voire surtout) parce qu'il mentionne bien "chacune" pour les enfants (et pas pour les épouses) que c'est le plus évident, et puis parce qu'on conçoit plus aisément des couples que de grands gynécées de sept femmes. Je me suis toujours aidé des éléments "méta" pour les problèmes de maths.