Le 15 mars 2022 à 17:51:51 Trap2Poche a écrit :
Le 15 mars 2022 à 17:47:46 :
combien de temps tu as laissé le jeu tourner en espérant ne pas avoir à appuyer sur R1 à la fin ?https://image.noelshack.com/fichiers/2018/10/1/1520260980-risitas94.png Le bouton pour buter The Boss ? Elle m'a tellement gavé que j'ai enfoncé carré direct
avec la chanson putain
ça donne ensuite ce genre de craquage
La proposition de Macron sur le RSA qui va enflammer la présidentielle
Par Hervé Gattegno
LES CARNETS DU DIMANCHE. Entre deux appels à Poutine, le président candidat détaille ses propositions. À gauche, Hollande se souvient et Mélenchon engrange.
Vous vous demandiez comment le président candidat se débrouillerait pour être à la fois président et candidat ? Il a donné cette semaine un aperçu du mode d'emploi : la divulgation (dans Les Échos) de son projet de reporter à 65 ans l'âge légal de la retraite a déclenché aussitôt le débat, pendant que lui présidait un sommet européen sur l'Ukraine au château de Versailles. Ainsi, « le débat s'organise autour de ses idées, mais sans qu'il ait besoin de débattre lui-même avec ses concurrents », m'expliquait en souriant un des acteurs de sa campagne. La recette doit resservir plusieurs fois dans les quatre semaines qui nous séparent du premier tour, avant et après la divulgation de son programme complet, prévue pour le vendredi 18 mars sous la forme d'un cahier imprimé de 24 pages.
Parmi les mesures qui y figureront, l'une d'entre elles va certainement soulever des controverses : Macron compte proposer une réforme du RSA (revenu de solidarité active) qui en élargirait l'accès (actuellement limité aux chômeurs d'au moins 25 ans et aux jeunes inactifs sous conditions), mais en durcirait les conditions en augmentant le nombre d'heures d'activité exigées de chaque allocataire. En clair : les bénéficiaires du RSA devraient travailler ou se former davantage pour continuer à percevoir l'aide sociale. Avec cet engagement, le chef de l'État s'inscrit dans la cohérence de son annonce de candidature (« Il nous faudra travailler plus »), mais il chasse à nouveau sur les terres habituelles de la droite.
Sans aller jusqu'aux incantations malheureuses de Laurent Wauquiez contre « le cancer de l'assistanat », sa proposition évoque en effet les nombreuses offensives des Républicains pour imposer des conditions supplémentaires aux allocataires du RSA. En 2015, Nicolas Sarkozy souhaitait la création d'un « contrat d'insertion » de 7 heures de travail obligatoire par semaine pour compléter le dispositif. Dans la campagne de 2022, Valérie Pécresse a promis, quant à elle, de réserver le revenu minimum aux personnes qui « donneront chaque semaine quinze heures d'activité à la société ». Quel que soit le niveau de l'obligation prônée par Macron, on peut déjà parier que la candidate de LR va hurler au plagiat... mais les électeurs de droite beaucoup moins.
Poutine raconté par Hollande
Mon rappel, la semaine dernière, du portrait de Poutine brossé par Nicolas Sarkozy en 2020 m'a valu quelques messages de lecteurs amusés ou agacés. Pour être équitable, une exploration comparable m'a paru s'imposer dans les mots de François Hollande. En 2015, le président socialiste confiait sa vision du tyran de Moscou à ses exégètes préférés, Gérard Davet et Fabrice Lhomme, qui la rapportent ainsi dans leur fameux ouvrage Un président ne devrait pas dire ça (Stock, 2016), et qui vaut le détour. « Le régime Poutine, c'est un régime où l'ambition, c'est le redressement de la Russie coûte que coûte, quel que soit le prix à payer. On doit redresser la Russie, lui redonner une fierté, la remettre sur ses bases historiques. C'est la Russie éternelle. D'une certaine façon, c'est vrai, la Russie n'est pas une puissance agressive. C'est un pays qui est pour le statu quo, pour le maintien des régimes, y compris les plus dictatoriaux lorsque ça peut être un élément de stabilité, mais il ne menace pas notre propre sécurité. » Voilà qui rassure.
Les auteurs ayant souligné avec distance que les deux présidents avaient « en commun un fort pragmatisme », Hollande poursuit : « Poutine est accessible à la raison et aux rapports de force, on sait ce qu'il pense, il ne dissimule pas. » Il ajoute cette analyse de son cru, teintée d'avertissement : « Je pense que l'intérêt de Poutine serait d'être suffisamment clairvoyant, de calmer le jeu, d'empocher ce qu'il a déjà pris, la Crimée, et de ne pas en faire davantage. S'il en fait davantage, il aura davantage de sanctions, l'Ukraine va être armée et va entrer dans l'Otan [...] Poutine est toujours intéressant à entendre. Il ne me fait pas peur. Je sais jusqu'où il veut aller, jamais au-delà d'une certaine limite. » Le président russe a dû trembler. Avec des interlocuteurs occidentaux aussi clairvoyants, on comprend en tout cas que Poutine se soit senti libre de préparer tranquillement son coup.
Pourquoi Mélenchon s'y voit
La campagne est une affaire de « pros ». Il suffisait de voir les cernes sous les yeux d'Éric Zemmour, jeudi soir sur TF1, le sourire narquois qui crispait ses lèvres et ses explications laborieuses (entre deux invectives) face à Valérie Pécresse (plus énergique, mais étonnamment agressive) pour le mesurer. Le candidat de Reconquête ! apparaît de moins en moins conquérant. Rien de tel chez Jean-Luc Mélenchon. Lui sait s'économiser, caser une petite sieste dans son emploi du temps, « ne pas se précipiter pour répondre à tout le monde, tout le temps », dixit son directeur de campagne, Manuel Bompard. Le leader de La France insoumise en est à sa troisième bataille présidentielle; il renifle les dynamiques électorales comme les chercheurs d'or sentent le filon. À l'approche du grand jour (on n'ose dire du « grand soir »), le septuagénaire retrouve de la vigueur. Les derniers sondages, qui lui attribuent entre 12 % et 13,5 % d'intentions de vote et le placent parfois en troisième position, lui permettent de rêver à nouveau d'une qualification au second tour.
« On est dans la feuille de route qu'on avait tracée, on prévoyait une montée en puissance et un début de cristallisation entre la mi-février et le début mars », m'a dit sans forfanterie Manuel Bompard, sur le ton du scientifique qui vient de vérifier ses données. C'est avec ce mathématicien taciturne de 35 ans que le tribun de la gauche radicale élabore ses calculs politiques depuis bientôt huit ans. À l'entendre, le candidat croit en sa « marge de progression » et mise sur une mobilisation croissante de l'électorat de gauche, « qui va se rendre compte qu'il y a un moyen de chasser l'extrême droite du second tour ». S'ensuivra un réflexe de « vote efficace », terme préféré à « vote utile » pour ne pas fâcher les sympathisants écologistes, socialistes ou communistes qui n'aimeraient pas qu'on juge leur vote inutile... Pour mémoire, à un mois du scrutin en 2017, Mélenchon évoluait autour de 14 % dans les sondages (il a finalement recueilli 19,6 % des voix); il a donc du retard, mais le seuil de qualification cette année semble nettement inférieur (Marine Le Pen s'était qualifiée avec 21,3 % des suffrages, 16 % à 17 % lui suffiraient aujourd'hui).
Preuve que Mélenchon a le vent dans le dos, le rappel de ses positions aimables vis-à-vis de la Russie de Poutine ne lui pas fait perdre un point depuis l'invasion de l'Ukraine, à l'inverse d'Éric Zemmour et de Marine Le Pen. Il est vrai que lui, en manoeuvrier chevronné, a pris le virage aussitôt pour dénoncer l'attaque russe et que sa revendication d'une France « non alignée » est moins acrobatique à défendre que les dithyrambes récents des deux candidats d'extrême droite envers le maître du kremlin. Bompard y ajoute cette explication : « Quand la campagne se déroule sur fond de crise, ça fait ressortir les statures. » Admettons. Dans la dernière ligne droite, Mélenchon est en tout cas prêt à accélérer. Après une marche pour la VIe République dimanche prochain à Paris, il tiendra un meeting à Toulouse le 17 et se dédoublera la dernière semaine, le 5 avril, dans une cascade de meetings simultanés en hologramme. Bompard le matheux lui aura certainement expliqué qu'il ne suffit pas de multiplier les apparitions pour multiplier les voix.
Le 15 mars 2022 à 15:50:41 Otaku a écrit :
En général les mods graphique couvrent pas les extensions, non ? Je voulais le refaire avec Honest Hearts mais sans mod c'est pas possible.
non, pas pour les dlc malheureusement
Le 15 mars 2022 à 15:36:15 Miscelio a écrit :
Vous avez une liste de mods indispensables pour jouer à ce chef d'oeuvre ?En vanilla ça crash pas mal et les graphismes commencent à sérieusement mal vieillir. Vous avez des vidéos, des tutos/pdf ?
Merci d'avance.
absolument indispensable : le mod pour sprinter
Façonné dans les usines de Tombouctou, le couteau a une vie simple et agréable. Il part tôt en Europe où il est acéré par ses parents qui lui donnent un aiguisage strict et sévère, mais toujours juste, lui permettant de s'intégrer aux mœurs locales. Faisant ses études dans les plus grandes écoles de cuisine, le couteau sortira diplômé de Ritz Escoffier où ses professeurs ne tariront pas d'éloges à son propos. "Jamais une viande ne fut si bien coupée", dit son professeur de gastronomie en vantant ses qualités.
C'est le début de la grande aventure pour le couteau, qui côtoiera tous les plus grands restaurateurs de notre temps. Les éloges pleuvent et le succès grandit. Tout ce qui passe sous ses dents est systématiquement scindé, propre et net.
Le drame survint lors d'un malencontreux accident. En balade au centre commercial, le couteau glisse et dérape, se plantant dans deux personnes, malheureuses victimes du hasard. La stupeur est générale, les proches du couteau ne comprennent pas.
« Il disait bonjour et découpait les poubelles », explique sa mère, en larmes.