Messages de Oeufdurmayo
), me spé en infirmière anesthésiste etc 
Le 19 janvier 2021 à 20:48:52 Nepetalactone3 a écrit :
Le 19 janvier 2021 à 20:47:48 Oeufdurmayo a écrit :
Je te conseillerais d'en parler au père. Ne serait-ce que pour le futur enfant, qu'il n'y ait pas d'embrouilles et que les choses soient claires...J'espère que ça ne va pas etre trop dure pour lui de ne pas avoir de figure paternelle....
Mais il en aura une de figure paternelle
Il aura un beau-père, qui peut aussi très bien s'en occuper effectivement; Mais toujours est-il que ce gamin va grandir sans son père, son véritable géniteur. Faut arreter de croire que les pères sont des etres interchangeables.
j'aime bien 
ça me rappelle des mélodies de professeur layton
L'op je fais des études d'Infirmière, donc équivalent d'une license.
Quelles sont mes chances pour l'avenir?
Le 18 janvier 2021 à 14:41:56 SpitSoup a écrit :
Jusqu’à présent ça me cassait pas les couilles mais je commence à saturer
idem, surtout avec les cours à distance.
Autant je serre les dents depuis des mois, autant ça commence à etre long là
+ la perspective d'avoir un diplome en mousse car on aura eu des cours éco+ à base de diaporama
Le 17 janvier 2021 à 08:46:03 ElagueurdeSapin a écrit :
Tu dois être probablement chiante et pas très belle.
effectivemment je dois me rapprocher du 6/10, mais chiante non ..
Le 17 janvier 2021 à 08:42:56 Kaaido a écrit :
T'es une meuf. Le premier gars qui passe tu peux le pécho. Kestu nous parles de solitude. Arrête de jouer a skyrim
Je m'y attendais à ce genre de réponses . Vous pouvez pas essayer de penser plus loin que ça?
Tout est dans le titre.
J 'ai l'impression qu'actuellement (et meme avant), pour avoir un cercle social, il faut se normiser.
Je prendrais un exemple observé : ma meilleure amie du collège, on se connait depuis la sixième.
En sixième, on partait du meme point : on était un peu à part, on avait nos délires, on était plutot discrètes. Au fil des années elle a commencé à changer, tandis que moi... non.
Quand on est rentrées au lycée puis au fil des ans la différence est devenue de plus en plus flagrante.
Elle organise des soirées chez elle, elle est sur les réseaux sociaux, elle s'expose (un peu en plus, meme pas beaucoup), elle prend soin de son apparence, etc... Pour le nouvel an de cette année, elle a fêté ça en comité restreint vu les limitations, et elle a fait ça avec ses amis plus récents qui datent du lycée.
Je suis ravie pour elle cependant, moi je suis heureuse qu'elle ait une vie sociale épanouie.
Mais je raconte ça pour vous dire qu'en comparatif, je suis restée la fille discrète avec des délires louches et qui parle pas/peu.
J'ai toujours fait des efforts pour sociabiliser, ce qui fait que je n'ais jamais (ou rarement) été totalement seule.
Mais quand je vois les autres jeunes de mon age ben... je me sens quand meme très seule. Vraiment TRES TRES seule. Et c'est un sentiment qui me poursuit depuis des années, ce n'est pas nouveau.
Mais j'arrive pas à comprendre ce qui cloche chez moi : je mords personne, je suis pas méchante.
Plus ça va, plus ça me pèse. Si au niveau amoureux je n'ais aucun problème, c'est au niveau social amical que le bas blesse. S sentir toujpurs à l'écart et rarement inclue à force devient lourd. Je ne sais pas trop quoi faire. J'en viens donc à me demander si la solution ce serait pas de me normiser comme 80% des filles de mon age, et de me forcer à etre le contraire de ce que je suis