Messages de DonaldTrump6
Le 22 décembre 2020 à 18:42:33 riotinto20 a écrit :
Désolé Billy
Stop de la mégenrer espèce de transphobe
Le 22 décembre 2020 à 18:39:45 loris51 a écrit :
Le 22 décembre 2020 à 18:38:51 kheydalto28 a écrit :
Le 22 décembre 2020 à 18:36:08 loris51 a écrit :
Le 22 décembre 2020 à 18:32:48 Zhelto a écrit :
Le 22 décembre 2020 à 18:31:20 loris51 a écrit :
La transsexualité dans le meilleur des cas devrait remettre en question l'hétéronormativité et le modèle féminin/masculin, je ne sais pas si c'est le cas.Ne penses-tu pas, khey, qu'au contraire elle le renforce ? Après tout, imagine une fille un peu garçon manqué un peu lesbienne. Aujourd'hui n'y aurait-il pas une injonction à ce qu'elle "devienne" un homme trans ? Et vice-versa pour les garçons efféminés ?
C'est une bonne question que tu poses, j'avais rencontré une fille transgenre qui me parlait justement des débats qui se tenaient dans les milieux trans concernant ce genre de questions, et la remise en question des modèles féminin/masculin, de mon point de vue j'ai vu qu'il en ressortait une pensée réactionnaire qui reprenait les modèles établis plutôt qu'une affirmation de la multiplicité
on s'en branle dans 5 ans elle est morte
Si oui, pourquoi selon toi ?
Maladie mentale
Le 22 décembre 2020 à 18:07:23 Gontran_775 a écrit :
https://www.instagram.com/persephanii/?hl=fr
Merci, de rien
Immonde
Le 22 décembre 2020 à 17:28:25 chanklagauloise a écrit :
Le 22 décembre 2020 à 17:27:54 baniador888 a écrit :
Aya BMG pourquoi les juifs c'est vide ? Et me dite pas car y'a moins de juifs dans le monde perso je vois qu'eux à la télévision
Le port du masque est une félonie politique 
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Pour appréhender les tenants de la configuration dans laquelle nous nous trouvons il faut tout d'abord penser la légitimité de la mesure instituant le port obligatoire du masque, mesure qui tend, depuis quelques semaines, à se généraliser (se répandre sur tout le territoire) et à s'intensifier (restrictions de plus en plus contraignantes comme le port en extérieur).
Les responsables, de même que les partisans du port du masque convoquent souvent dans l'analyse le principe de précaution.
Quand bien même on admet la légitimité du principe de précaution en soi, la mise en place de ce dernier suppose une PROPORTION entre les enjeux auxquels nous faisons face et les mesures adoptées. Dans la situation actuelle cela implique plusieurs interrogations :
- Le port du masque est-il efficace pour éviter la propagation ? Bien qu'ils ne soient pas une protection infaillible contre l'infection, il serait inconscient de nier qu'il contribue à endiguer la contamination. Mais dans quelles circonstances ?
- Le masque est-il utile dans les espaces restreints au sein desquels s'accumulent une population importante ? De toute évidence oui. Le porter dans ces espaces peut se justifier eu égard au haut potentiel de transmission dans ces zones.
- Le port du masque est-il utile "à l'air libre", c'est à dire en extérieur, dans des espaces dans lesquels l'air est constamment renouvelé. Non, il s'agit ici d'une réalité incontestable. Le masque en extérieur n'a qu'une utilité insignifiante.
Si l'on interprète de manière exclusive, et restrictive, le principe de précaution, ce dernier devient l'alpha et l'omega de toute politique puisque, comme l'a éminemment formalisé Ulrich Beck, nous évoluons tous dans une société du risque constant dans lequel le risque zéro n'existe pas. Si l'on applique la conception absolutiste du principe de précaution, nous devons admettre que toutes nos libertés devaient être supprimées, y compris les plus essentielles, et ce, afin de faire face à l'omniprésence du danger. Ainsi, le masque devrait être porté tout les hivers afin de faire face aux infections saisonnières, les transports en voiture devraient être prohibés, la plupart des activités, impliquant toutes une part de risque seraient ainsi formellement interdites. Il en va de même pour la consommation de substances psychotropes ou addictives légales (alcool, tabac, ...), ce qui nous conduirait inéluctablement à l'avènement d'une société de la surprotection, aseptisée dans laquelle toute prise risque serait considéré comme hérétique.
En soutenant le port systématique et contraint du masque, en toute circonstance, les partisans inconditionnels du port du masque permettent l'instauration d'un précédent, d'une sorte de jurisprudence dans l'interprétation du principe de précaution qui devient potentiellement liberticide et extrêmement délétère.
De fait, rien ne fonde, au delà d'une législation absolument illégitime et disproportionnée eu égard tant à l'infectiosité qu'à la létalité, les mesures restrictives prises par le gouvernement depuis trois mois. Les données statistiques sont univoques. Le COVID n'est rien de plus qu'une grippe légèrement plus virulente. Toutefois, la légère disparité qui la distingue de la grippe saisonnière n'est aucunement significative.
Pour pousser plus loin l'interprétation, il est possible d'affirmer qu'en adoptant une telle mesure, le pouvoir a en quelque sorte rompu le contrat social qui l'unissait à ces citoyens, il s'est parjuré et a choisi des mesures restrictives attentatoires aux libertés, ce qui, en soi, n'est pas nécessairement nocif ou injustifié, mais considérant la réalité de la situation sanitaire, est profondément illégitime. Plus rien n'empêche alors une désobéissance civile (toutes proportions gardées). Quand bien même la Constitution de 1793 n'a jamais été appliquée, sa philosophie vis à vis du rapport du citoyen au pouvoir peut nous inspirer en ces temps troublés
" Article 35. - Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l'insurrection est, pour le peuple et pour chaque portion du peuple, le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs ".
Dès lors, les partisans du port inconditionnel du masque sont les miséreux de la pensée. Leur absence totale de sens critique et de recul ne les honore aucunement. Leur tendance manifeste au mépris, à la condescendance est l'un des avatars de cette facette d'indigence spirituelle.
Leur docilité fait peine à voir.
La crise dans laquelle nous nous trouvons à l'heure actuelle n'a rien d'un état de siège sanitaire, il s'agit d'une crise de l'institutionnalisation de l'hypocondrie, conjuguée à un phénomène préoccupant de psychose paranoïaque des foules, des médias, et des responsables politiques qui l’auto-entretiennent, la renforcent se se terrifient mutuellement dans une relation tripartite d'influence (Voir Gustave le Bon auquel il faut adjoindre la notion d'agenda politico-médiatique en sciences politiques).
Le 22 décembre 2020 à 17:03:47 Letto2 a écrit :
Ça veut dire quoi Jewish?