Le 09 février 2021 à 12:48:26 Chofaent a écrit :
Pire école française avec les IEPhttps://image.noelshack.com/fichiers/2017/09/1488372360-7f95f2925afeac091c5f746acef4941f.jpg
Je fais partie d'un IEP et je compte bien partir grâce au concours ENS étudianthttps://image.noelshack.com/fichiers/2017/09/1488372360-7f95f2925afeac091c5f746acef4941f.jpg
ENS dans quel filière ? C'est pas un concours dans ton cas mais admission sur dossier, et selon ton projet de recherche
Le 09 février 2021 à 12:44:55 JamesLaQueuw a écrit :
Ma Copine veut rentrer à sciences po à le Havre,mais avec la réforme on sait pas si elle doit faire son écrit et oral en français,tu pourrais nous éclaircir ?
Je saurais pas du tout te dire malheureusement..
Le 09 février 2021 à 12:45:47 coincap75 a écrit :
Tu fais tes mails en écriture inclusive?
oui je suis obligé si je veux pas me faire cancel...
Le 09 février 2021 à 12:21:00 marocaingentil9 a écrit :
Le 03 février 2021 à 14:04:54 Velociraptores a écrit :
Des questions ?C'est quoi le pourcentage de twitterfags à science-po, sérieux j'ai l'impression que 95% des étudiants utilisent twitter?
C'est woke là-bas où les gens sont plutot normaux et modérés dans leurs propos et idées
Beaucoup de twitterfags en effet, et le wokisme est plutôt bien implanté mais on atteint quand même pas le niveau d'autres fac parisiennes comme Tolbiac ou Paris 8
Le 09 février 2021 à 12:05:57 Miralupa a écrit :
Le 09 février 2021 à 12:01:24 Velociraptores a écrit :
Le 09 février 2021 à 11:59:43 Miralupa a écrit :
Le 09 février 2021 à 11:38:23 Miralupa a écrit :
Tu peux faire une réflexion très profonde et très intéressante sur ce sujet.Bien sûr tu auras zéro pour hérésie mais que veux-tu, c'est pour la science.
Je connais aucun auteur en théorie du genre mais tu peux faire un plan comme ceci :
1) Le genre comme apparence :
"Avec les mots, avec le corps, le genre s'impose [...] nos moyens d’expression sont genrés"
Le genre se caractérise avant tout par sa représentation. Avant d'exister, le genre se montre et il existe en se montrant. Comprendre : le genre, c'est l'expression de genre. Il n'a pas d'existence autonome et distincte ; sa réalité se réduit à sa perception par autrui mais surtout par nous même (nous sommes le spectateur premier de notre propre corps et de nos propres mots, le genre est donc avant tout une histoire que l'on raconte à nous même)
2) Le genre comme substance :
"Nous élaborons un imaginaire de la différence sexuelle"
L'auteur ne dit évidemment pas que les différences sexuelles n'existent pas (ce serait phénoménalement con) mais qu'elles sont accompagnées d'un imaginaire, c'est à dire que ces différences sexuelles se drapent au-delà de leur réalité biologique d'une réalité psychologique : le genre. Le genre est donc l'imaginaire individuel (il n'existe que dans l'esprit) qui se déploie à partir du substrat biologique et qui drape cette biologie d'un sens nouveau. Le genre est donc fondamentalement un récit fantasmé mais puissant (comme tout les récits) qui décrit les dynamiques intérieures de l'être, sa relation à soi et la manière dont il perçoit son propre sexe en temps que sexe : le genre est l’interprète de la substance (le sexe).
3) Le genre comme transversalité :
"... stéréotypes..."
Mais ce récit n'est pas uniquement individuel, il est également collectif. Le genre s'incarne souvent par le biais de stéréotypes, c'est à dire de fictions interpersonnelles (des fictions qui existent dans plusieurs esprits, par exemple l'argent où l’État). Ainsi l'individu n'est pas pur créateur devant son genre (il est impossible d'être pur créateur de manière générale), il est tributaire de récits qui ont été forgés et transmis par son milieu socio-culturels. Il faut donc garder à l'es^prit qu'un genre n'est jamais anodin et qu'il s'inscrit dans une dynamique de groupe (je suis un homme = j'appartiens aux groupe des hommes, une collectivité d'individus qui ont chacun la fiction "homme" dans leur esprit). Ce n'est pas un mal cependant, c'est ce qui fait le ciment des relations sociales mais on sort là du sujet.
pas mal du tout ! Tu fais quoi comme études, philo ?
Ingé.
Le 09 février 2021 à 12:03:23 Tanganyika a écrit :
Le 09 février 2021 à 11:59:43 Miralupa a écrit :
Le 09 février 2021 à 11:38:23 Miralupa a écrit :
Tu peux faire une réflexion très profonde et très intéressante sur ce sujet.Bien sûr tu auras zéro pour hérésie mais que veux-tu, c'est pour la science.
Je connais aucun auteur en théorie du genre mais tu peux faire un plan comme ceci :
1) Le genre comme apparence :
"Avec les mots, avec le corps, le genre s'impose [...] nos moyens d’expression sont genrés"
Le genre se caractérise avant tout par sa représentation. Avant d'exister, le genre se montre et il existe en se montrant. Comprendre : le genre, c'est l'expression de genre. Il n'a pas d'existence autonome et distincte ; sa réalité se réduit à sa perception par autrui mais surtout par nous même (nous sommes le spectateur premier de notre propre corps et de nos propres mots, le genre est donc avant tout une histoire que l'on raconte à nous même)
2) Le genre comme substance :
"Nous élaborons un imaginaire de la différence sexuelle"
L'auteur ne dit évidemment pas que les différences sexuelles n'existent pas (ce serait phénoménalement con) mais qu'elles sont accompagnées d'un imaginaire, c'est à dire que ces différences sexuelles se drapent au-delà de leur réalité biologique d'une réalité psychologique : le genre. Le genre est donc l'imaginaire individuel (il n'existe que dans l'esprit) qui se déploie à partir du substrat biologique et qui drape cette biologie d'un sens nouveau. Le genre est donc fondamentalement un récit fantasmé mais puissant (comme tout les récits) qui décrit les dynamiques intérieures de l'être, sa relation à soi et la manière dont il perçoit son propre sexe en temps que sexe : le genre est l’interprète de la substance (le sexe).
3) Le genre comme transversalité :
"... stéréotypes..."
Mais ce récit n'est pas uniquement individuel, il est également collectif. Le genre s'incarne souvent par le biais de stéréotypes, c'est à dire de fictions interpersonnelles (des fictions qui existent dans plusieurs esprits, par exemple l'argent où l’État). Ainsi l'individu n'est pas pur créateur devant son genre (il est impossible d'être pur créateur de manière générale), il est tributaire de récits qui ont été forgés et transmis par son milieu socio-culturels. Il faut donc garder à l'es^prit qu'un genre n'est jamais anodin et qu'il s'inscrit dans une dynamique de groupe (je suis un homme = j'appartiens aux groupe des hommes, une collectivité d'individus qui ont chacun la fiction "homme" dans leur esprit). Ce n'est pas un mal cependant, c'est ce qui fait le ciment des relations sociales mais on sort là du sujet.
Ayaaaa merci khey tu viens de me mâcher totalement le travail. En plus c'est pas trop partisan dans l'un ou l'autre camp ton analyse, ça marche sur des oeufs.
Fais gaffe j'y connais rien en vrai (j'ai rien lu). Si ça se trouve je dis n'importe quoi et t'auras zéro.
https://image.noelshack.com/fichiers/2018/40/2/1538464049-ahibol.png
Ah ouais, bah tu gères
Tu lis de la philo, des sciences humaines de ton côté ?
Le 09 février 2021 à 11:59:43 Miralupa a écrit :
Le 09 février 2021 à 11:38:23 Miralupa a écrit :
Tu peux faire une réflexion très profonde et très intéressante sur ce sujet.Bien sûr tu auras zéro pour hérésie mais que veux-tu, c'est pour la science.
Je connais aucun auteur en théorie du genre mais tu peux faire un plan comme ceci :
1) Le genre comme apparence :
"Avec les mots, avec le corps, le genre s'impose [...] nos moyens d’expression sont genrés"
Le genre se caractérise avant tout par sa représentation. Avant d'exister, le genre se montre et il existe en se montrant. Comprendre : le genre, c'est l'expression de genre. Il n'a pas d'existence autonome et distincte ; sa réalité se réduit à sa perception par autrui mais surtout par nous même (nous sommes le spectateur premier de notre propre corps et de nos propres mots, le genre est donc avant tout une histoire que l'on raconte à nous même)
2) Le genre comme substance :
"Nous élaborons un imaginaire de la différence sexuelle"
L'auteur ne dit évidemment pas que les différences sexuelles n'existent pas (ce serait phénoménalement con) mais qu'elles sont accompagnées d'un imaginaire, c'est à dire que ces différences sexuelles se drapent au-delà de leur réalité biologique d'une réalité psychologique : le genre. Le genre est donc l'imaginaire individuel (il n'existe que dans l'esprit) qui se déploie à partir du substrat biologique et qui drape cette biologie d'un sens nouveau. Le genre est donc fondamentalement un récit fantasmé mais puissant (comme tout les récits) qui décrit les dynamiques intérieures de l'être, sa relation à soi et la manière dont il perçoit son propre sexe en temps que sexe : le genre est l’interprète de la substance (le sexe).
3) Le genre comme transversalité :
"... stéréotypes..."
Mais ce récit n'est pas uniquement individuel, il est également collectif. Le genre s'incarne souvent par le biais de stéréotypes, c'est à dire de fictions interpersonnelles (des fictions qui existent dans plusieurs esprits, par exemple l'argent où l’État). Ainsi l'individu n'est pas pur créateur devant son genre (il est impossible d'être pur créateur de manière générale), il est tributaire de récits qui ont été forgés et transmis par son milieu socio-culturels. Il faut donc garder à l'es^prit qu'un genre n'est jamais anodin et qu'il s'inscrit dans une dynamique de groupe (je suis un homme = j'appartiens aux groupe des hommes, une collectivité d'individus qui ont chacun la fiction "homme" dans leur esprit). Ce n'est pas un mal cependant, c'est ce qui fait le ciment des relations sociales mais on sort là du sujet.
pas mal du tout ! Tu fais quoi comme études, philo ?
Le 09 février 2021 à 11:28:24 MyocastorCopyus a écrit :
Le 09 février 2021 à 11:21:49 Velociraptores a écrit :
Le 09 février 2021 à 11:03:34 MyocastorCopyus a écrit :
Le 09 février 2021 à 10:50:53 Velociraptores a écrit :
Je te conseille le bouquin d'Alain de Benoist les démons du bien et cette vidéo de Jordan Peterson, ça te fait déjà une bonne base pour ta biblioCiter un psychologue complétement abruti et un vieux philosophe néconservateurs, tout deux reconnus par personne dans le champ académique (du moins en France), et n'ayant absolument pas une démarche ou un raisonnement sociologique
Se plaindre de la partialité
Toujours aussi intelligents les jean-anti-sjw de ce forumJordan Peterson est professeur a l'université de Toronto l'ahuri, l'une des fac les plus réputées au monde
C'est pas parcequ'on a un poste important dans une université que tout ce qui sort de notre bouche doit etre pris comme vérité vraie. On peut etre qualifié sur un sujet et absolument pété sur un autre Des tels arguments d'autorités c'est pas très la science quand meme
C'est toi qui m'a sorti l'argument d'autorité en premier l'ahuri, en me disant qu'il n'a aucune reconnaissance dans le champ académique, je viens de te démontrer le contraire
Le 09 février 2021 à 11:03:34 MyocastorCopyus a écrit :
Le 09 février 2021 à 10:50:53 Velociraptores a écrit :
Je te conseille le bouquin d'Alain de Benoist les démons du bien et cette vidéo de Jordan Peterson, ça te fait déjà une bonne base pour ta biblioCiter un psychologue complétement abruti et un vieux philosophe néconservateurs, tout deux reconnus par personne dans le champ académique (du moins en France), et n'ayant absolument pas une démarche ou un raisonnement sociologique
Se plaindre de la partialité
Toujours aussi intelligents les jean-anti-sjw de ce forum
C'est sûr que tes références sociologiques des gender studies américaines sont beaucoup plus sérieuses d'un point de vue scientifique
Le 09 février 2021 à 11:03:34 MyocastorCopyus a écrit :
Le 09 février 2021 à 10:50:53 Velociraptores a écrit :
Je te conseille le bouquin d'Alain de Benoist les démons du bien et cette vidéo de Jordan Peterson, ça te fait déjà une bonne base pour ta biblioCiter un psychologue complétement abruti et un vieux philosophe néconservateurs, tout deux reconnus par personne dans le champ académique (du moins en France), et n'ayant absolument pas une démarche ou un raisonnement sociologique
Se plaindre de la partialité
Toujours aussi intelligents les jean-anti-sjw de ce forum
Jordan Peterson est professeur a l'université de Toronto l'ahuri, l'une des fac les plus réputées au monde
Le 09 février 2021 à 10:56:03 Tanganyika a écrit :
Le 09 février 2021 à 10:54:28 Velociraptores a écrit :
La domination masculine n'existe pas de Peggy Sastre également, excellent livre qui regorge d'éléments scientifiques, ton prof ne pourra pas rejeter la scienceJ'ai peur de me faire cancelled par toute ma promo dont la moitié semble être des antifas SJW en puissance.
Licence de quoi?
Je te conseille le bouquin d'Alain de Benoist les démons du bien et cette vidéo de Jordan Peterson, ça te fait déjà une bonne base pour ta biblio
Le 07 février 2021 à 15:36:44 Sdtorx a écrit :
Le 03 février 2021 à 14:04:54 Velociraptores a écrit :
Des questions ?J'ai vomi.
de jalousie ?
Le 05 février 2021 à 22:05:35 Little_Everest a écrit :
Portes ouvertes demain, tu y seras ?
Non
Le 05 février 2021 à 16:55:38 ilame a écrit :
Jul eco+/10https://image.noelshack.com/fichiers/2018/24/3/1528898331-v.png
Le 05 février 2021 à 00:04:55 Kelly-Iou a écrit :
Oui up
question ?