Messages de Haimebitch
MDR 
C’est une histoire à dormir debout. Jeudi 25 mars, en plein après-midi, un individu est amené par les sapeurs-pompiers aux urgences de Lens. Blessé lors d’une rixe, l’homme est pris en charge dans un box. Plutôt que d’attendre calmement son tour, le Lensois de 49 ans décide de mettre le feu à un drap. Énerva, il pousse d’abord une infirmière, qui ne portera finalement pas plainte. Alertés, les soignants se ruent vers la chambre du patient. C’est à ce moment-là que l’ivrogne décide de déféquer dans sa main pour s’en servir comme projectile. Insultés et touchés, deux soldats du feu ont décidé de porter plainte.
Déjà connu des services de police
Une fois, l’homme calmé, les policiers l’ont interpellé pour le mettre en garde à vue. Au commissariat, le Pas-de-Calaisien, a été contrôlé à 2,16 grammes d’alcool dans le sang. S’il a reconnu les faits sans problème, il a tenté de les minimiser en « évoquant des souvenirs partiels ». Connu des services de police, l’homme était sous le coup d’une peine de huit mois de prison dont trois avec sursis. Il a été placé en détention dans le cadre de cette première condamnation. Il sera extrait de la maison d’arrêt pour le jugement de cette nouvelle affaire.
Le 15 mai 2021 à 21:10:58 :
Les victimes du taureau d'airain
On ne sait même pas si ça a réellement été utilisé justement
https://fr.wikipedia.org/wiki/Soleyman_el-Halaby
À l'âge de 23 ans, Soleyman al-Halabi assassine, en Égypte, le général de l'armée française Jean-Baptiste Kléber, qui venait de remplacer Napoléon à la tête de la courte aventure de conquête de l'Égypte. Al-Halabi s'est fait passé pour un mendiant pour pouvoir approcher Kléber et il lui a donné des coups de stylet.
En raison de cet acte, le conseil de guerre le condamne à mort, ainsi que ses complices, avec exécution le jour des obsèques de Kléber (17 juin). Les complices se font trancher la tête au cimeterre avant d'être empalés sous les yeux de Soleyman. Celui-ci est condamné au supplice du pal (conformément aux pratiques locales), dont l'exécution est décrite en ces termes par Claude Desprez :
« L'homme fut condamné, par le conseil de guerre français, à avoir les poings brûlés puis à être 'empalé vif. Le bourreau Barthèlemy coucha sur le ventre Soliman, tira un couteau de sa poche, lui fit au fondement une large incision, en approcha le bout de son pal et l'enfonça à coups de maillet. Puis il lia les bras et les jambes du patient, l'éleva en l'air et fixa le pal dans un trou préparé. Soliman vécut encore durant quatre heures, et il eût vécu plus si, durant l'absence de Barthèlemy un soldat ne lui eut donné à boire : à l'instant même il expira. »
Aujourd'hui, le crâne et le stylet de Soleyman al-Halabi sont exposés au Musée de l'Homme à Paris, sous le titre, "criminel".
https://fr.wikipedia.org/wiki/Supplice_du_pal
Que pense le 18-25 ? 
