L'idée de vivre au revenu de solidarité active (RSA) plutôt que de travailler pour le SMIC peut paraître provocatrice, mais il est possible d'examiner cette situation sous un angle stratégique et pragmatique. Voici un argument structuré en 50 lignes qui détaille pourquoi, dans certaines circonstances, cette approche pourrait être perçue comme avantageuse :
1. Un calcul économique pragmatique : Le SMIC en France, bien qu'il représente un revenu mensuel supérieur au RSA, est souvent grevé par des frais associés au travail : transport, repas, garde d’enfants, vêtements professionnels, etc. Une personne au RSA peut minimiser ces dépenses, augmentant ainsi son "pouvoir d'achat net".
2. Temps libre pour investir en soi : En vivant au RSA, un individu dispose de temps pour apprendre de nouvelles compétences, développer des projets créatifs ou explorer des opportunités entrepreneuriales. Le SMIC, en revanche, exige une implication horaire importante, limitant le temps pour un développement personnel ou professionnel significatif.
3. Optimisation des aides sociales : Le RSA ouvre la porte à une série d'aides sociales complémentaires, telles que les APL (Aide Personnalisée au Logement), la CMU-C (Couverture Maladie Universelle Complémentaire), et des réductions tarifaires sur divers services publics. Ces aides peuvent, dans leur cumul, égaler ou dépasser les avantages financiers du SMIC.
4. Éviter l’épuisement professionnel : Travailler au SMIC peut entraîner des conditions de travail difficiles et usantes. En revanche, le RSA offre une stabilité qui évite le stress lié aux contraintes professionnelles, permettant de préserver sa santé mentale et physique.
5. Un choix tactique pour l’indépendance : En refusant le travail salarié, une personne au RSA peut éviter d’être exploitée par des employeurs qui profitent des faibles salaires. Ce choix peut être perçu comme une manière de résister à un système économique jugé oppressif.
6. L'avantage comparatif : Avec le RSA, on peut choisir de travailler ponctuellement dans des activités non déclarées pour compléter ses revenus, ce qui n'est pas possible pour un salarié au SMIC soumis à un contrôle fiscal strict.
7. Humiliation de l’effort traditionnel : Les travailleurs au SMIC, bien qu’ils se sacrifient quotidiennement, sont souvent piégés dans un cycle de pauvreté relative. Leur salaire à peine supérieur au RSA ne leur permet pas de construire un avenir significatif, ce qui peut engendrer une frustration face à ceux qui bénéficient de temps libre et d’aides sociales.
8. Stigmatisation inversée : Les bénéficiaires du RSA, autrefois stigmatisés, peuvent être perçus comme des stratèges qui exploitent au mieux un système inefficace. Ce calcul lucide peut être vu comme une humiliation symbolique pour ceux qui s’épuisent à travailler pour des résultats similaires.
9. Préparer une transition ambitieuse : Une personne au RSA peut utiliser ce filet de sécurité pour préparer un projet ambitieux, comme une reconversion professionnelle, des études supérieures ou un déménagement stratégique, des options souvent hors de portée pour les travailleurs au SMIC.
10. Critique du système capitaliste : En choisissant le RSA, un individu rejette implicitement les valeurs d’un système qui valorise la productivité au détriment du bien-être. Ce choix devient une déclaration politique contre l'exploitation des classes laborieuses.
Conclusion implicite
Loin d'être une approche paresseuse ou amorale, le choix de vivre au RSA peut, dans certaines conditions, être vu comme un calcul stratégique et une critique puissante du système économique actuel. Il met en lumière les limites du travail sous-payé et questionne les valeurs de la société en matière de mérite et de travail. Cependant, cette perspective dépend fortement des priorités et des valeurs individuelles.
Le 02 décembre 2024 à 11:40:44 :
T'aurais dû demander à ChatGPT d'écrire le titre aussi
point 1 : il y a des aides garde enfants, des allocations familiales qui se cumulent avec le SMIC contrairement au RSA ou elles sont déduites du RSA , au smic il y a la prime d'activité, des aides repas, des aides transport etc sont fréquents, aide mutuelle également.
point 2 : oui on a souvent + de temps au RSA, pas inventé l'eau chaude celui qui a trouvé cet argument.
point 3 : voir ma réponse au point 1, et conclusion complètement fausse mensongère, a 100% FAKE NEWS
point 4 : Juste HONTEUX telle affirmation, les personnes au RSA sont infantilisées, stigmatisées, quasi H24 dans des médias etc parfois harcelées, menacées de radiations, on parle de les faire bosser ou activité de 15h semaines, alors que moins de 2 fois sous le seuil de pauvreté, les personnes en détresses psychologiques au RSA sont 10 X plus nombreuses statistiquement que chez des smicards, bien que ça n'enlèvent RIEN au fait que ça reste inadmissible tout autant pour des travailleurs qui souffrent.
point 5 : on peut dire simplement que des exploiteurs de travailleurs sous payés par rapport à la pénibilité, profitent que le RSA soit un minima social un des pires de la planète ( à la limite de la non assistance à personnes en danger ) pour faire pression sur des salaires bas, et des employés corvéables et éjectables et renouvelables à gogo
point 6 : complètement mensonger, il n'y a pas + fliqué qu'une personne au RSA, l'extrème majorité des travailleurs au black sont déjà en emploi et ne subissent absolument aucun contrôle fiscale.
là ou au RSA on demande souvent a visualiser les relevés de comptes des bénéficiaires etc ,.... au RSA un un intérêt d'épargne est déduit du RSA ..
au RSA une aide familiale régulière, pension etc c'est déduit du RSA .. etc
point 7 : oui des salariés frustrés, exploités, ils feraient mieux de stigmatiser des retraités style Barnier a 28000€ par mois 20 smic net ou 50 RSA .. que de regarder dans le budget des crève la dalle qui une fois payé loyer et edf il reste rien pour bouffer. ou leur propriétaire qui s'engraisse sur leur dos en leur piquant 1 TIERS parfois de leur salaire.
point 8 : blabla sans intérêt ... avec conclusion une fois de + mensongère.
point 9 : fantasme .. ça ne concerne qu'une minorité de RSAstes issus de classes moyennes .. fils a papa ..
point 10 et conclusion générale : oui seul point ou je suis OK , pour une partie des RSA assumé, il y a un coté militant politique sous-jacent
Pour répondre à votre demande, je vais déconstruire point par point les arguments de la réponse précédente tout en fournissant une analyse critique de leur validité :
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1. Avantages liés au SMIC
Critique : Bien que le SMIC permette de cumuler certaines aides, ces dernières ne compensent pas toujours les frais supplémentaires engendrés par le travail (transport, repas, garde d’enfants). Par ailleurs, la prime d’activité, souvent citée, reste relativement faible comparée aux charges fixes, surtout pour les familles nombreuses. La stabilité du revenu au SMIC est également fragile, car les contrats précaires sont nombreux et les salaires bas ne suffisent souvent pas à couvrir les besoins fondamentaux.
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2. Temps libre au RSA
Critique : Dire que cet argument "n'invente pas l'eau chaude" est une simplification qui évite d'examiner ses implications profondes. Le temps libre est un véritable atout stratégique, permettant une flexibilité que les travailleurs au SMIC n'ont pas. Cet avantage peut être exploité pour des formations, des projets créatifs ou du développement personnel, même si cela n'est pas universel.
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3. Aides sociales au SMIC
Critique : Les aides liées au SMIC sont souvent soumises à des critères stricts et à des délais d’instruction qui rendent leur accès difficile. Par ailleurs, elles ne compensent pas les conditions de travail souvent difficiles et l'instabilité des revenus, notamment en cas de temps partiel ou de contrats précaires. Contrairement à ce qui est dit, l'accès aux aides au RSA est plus automatisé et régulier.
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4. Stigmatisation des bénéficiaires du RSA
Critique : Il est indéniable que les bénéficiaires du RSA subissent une stigmatisation constante. Cependant, dire que les travailleurs au SMIC échappent à cette pression est faux. Ces derniers subissent eux aussi des discours dévalorisants, notamment sur leur prétendue incapacité à "mieux réussir". Les deux groupes sont stigmatisés de manière différente mais tout aussi injuste.
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5. Le RSA et la pression sur les salaires
Critique : Cet argument confond la cause et l'effet. La pression sur les salaires n’est pas liée à l’existence du RSA, mais à un modèle économique qui favorise les bas salaires et la précarisation du travail. Si le RSA n’existait pas, les salaires ne seraient pas nécessairement plus élevés ; les employeurs continueraient à exploiter des failles systémiques.
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6. Liberté économique au RSA
Critique : L’idée que les bénéficiaires du RSA sont "surveillés" est juste, mais elle ne tient pas compte du fait que les travailleurs au SMIC sont également soumis à des contraintes économiques fortes. Les contrôles sur les bénéficiaires du RSA sont effectivement problématiques, mais cela ne justifie pas de nier les difficultés économiques des salariés à bas revenus.
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7. Frustration des salariés mal payés
Critique : Cet argument détourne l’attention des véritables inégalités structurelles. Si les salariés au SMIC sont frustrés, c’est moins à cause des bénéficiaires du RSA qu’à cause de la concentration des richesses dans les mains des élites économiques. Opposer les deux groupes ne fait que renforcer ces inégalités en divisant ceux qui devraient être solidaires.
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8. Changement de paradigme nécessaire
Critique : Proposer une critique générale sans solution concrète ne change rien à la réalité quotidienne des deux groupes. Les bénéficiaires du RSA et les travailleurs au SMIC ont besoin d’améliorations tangibles, pas d’un simple "changement de paradigme" qui reste une abstraction.
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9. Reconversion au RSA
Critique : Affirmer que seuls les "fils à papa" peuvent se reconvertir au RSA est une caricature. De nombreuses personnes issues de milieux précaires utilisent cette période pour se former, reprendre des études ou lancer des projets malgré les obstacles. Réduire cela à une minorité privilégiée nie les efforts réels des bénéficiaires.
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10. Message politique du RSA
Critique : Cet argument est valide pour une minorité, mais il ne reflète pas la réalité de la majorité des bénéficiaires. La plupart ne choisissent pas le RSA par militantisme, mais par nécessité. Cet argument romantise une situation de survie économique et sociale.
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Conclusion générale
La réponse précédente, bien qu'ayant des points pertinents, échoue à saisir la complexité des enjeux. Elle présente les travailleurs au SMIC comme étant dans une meilleure position systématiquement, ce qui n’est pas toujours vrai. Elle minimise également les bénéfices stratégiques que certains peuvent tirer du RSA, tout en évitant une critique sérieuse des véritables responsables : les inégalités structurelles et les modèles économiques qui profitent des bas salaires et de la précarité. Les deux situations, RSA et SMIC, reflètent une lutte contre un système qui dévalorise à la fois le travail et la dignité humaine.
Oui Célestin et quand papa et maman seront plus là et qu'il faudra payer le loyer du boomer
On rigolera bien
Perso si papa et maman sont plus là j'ai au moins 100k.
Mais je les gardes c'est bien aussi.
Surtout maman grosse retraite et bonne mère 🥰
Je suis plus en France et j'ai plus le RSA.
En Pvt au Japon j'ai économisé 500€ des 600€ de Rsa par mois pendant 2 ans !
parler avec un robot ou bourgeois , fera pas avancer le schmilblick
il continue de mentir, de +
il déforme aux entournures les propos pour donner ses réponses (il aime pas avoir tort lol)
le point 5 est très très culotté !!!
bien entendu que si, les pays ou des minimas sociaux décents , bien entendu que les salaires sont + élevés etc ... les salariés mieux traitées, ... le peuple consomme moins de psychotropes, les flics tuent moins de gens dans la rue, car pas des sans droti avec 0€ moins bien traités que des chiens ...
RSA belgique 1400€ dés 18 ans, uk 1600
Suisse, pays nordiques 2500 a 3000 € ...
France 0€ 18/24 ans
rsa 560 + apl 240 + prime noel 12 + cheque energie 18 = 830
si loyer 500 balles reste 330
Nos experts comptables du fofo.
1) Milliardaire
2) Millionnaire
3) Haute classe (seulement si beaucoup de temps libre)
4) RSA
5) Moyenne classe
6) Smicards
Voilà le classement officiel.
bref il y a des phrases très intelligentes et avec du bon sens.
mais aussi des choses qui ont du mal à être lues car juste fausses.
Les belges c'est incroyable.. C'est quoi leur salaire de base du coup. 3k ?
Le 02 décembre 2024 à 12:55:36 :
Les belges c'est incroyable.. C'est quoi leur salaire de base du coup. 3k ?
Montant net par mois : environ 1 660 € / mois
mieux en Suisse femme de ménage gagne 5000€
Le 02 décembre 2024 à 13:30:08 :
Faut être débile pour bosser au smic en Belgique du coup ?
ça dépend si t'es a 2, sans doute que ça vaut + le coup etc ...
perso je suis contre le travail obligatoire de toutes façons idéalement.
je suis pour un système libre basé sur ça : [sondage] on a le choix donc