On sort à peine des années de COVID-19 et du retour à la vie normale, et actuellement, en 2024, les gens semblent déjà ne plus vouloir qu'on les dérange avec une probable prochaine pandémie ; ils ont tourné la page COVID et veulent avancer. Pourtant, je pense que nous aurons malheureusement de grandes chances de connaître une pandémie bien plus grave de notre vivant. Cependant, en 2024, c'est bien le virus H5N1 (grippe aviaire) qui semble gagner du terrain en touchant de plus en plus de mammifères à travers le monde, et une propagation plus généralisée chez les mammifères augmente les risques de transmission à l'humain.
Depuis plusieurs jours, je m'informe sur le H5N1 après avoir lu que des cas sont apparus dans des élevages laitiers aux États-Unis, en Californie, touchant autant les vaches que les humains, ainsi que le premier cas humain au Canada, en Colombie-Britannique. Je n'ai pas la prétention d'être un expert dans ce domaine, bien au contraire. Je suis juste parti à la recherche d'information, en cherchant les données et les faits les mieux sourcés. Je vous propose donc un résumé de la situation actuelle concernant le H5N1. Je ne parlerai pas du H7N9, peut-être que nous pourrons en reparler plus tard si cela intéresse des gens.
Petit rappel sur l'origine du H5N1 :
Le virus H5N1, qui est une souche du virus de la grippe aviaire, a été identifié pour la première fois en 1996 en Chine. Cependant, c'est en 1997 que le virus a attiré l'attention internationale lorsqu'il a causé des infections chez des humains à Hong Kong. Depuis lors, le H5N1 a été surveillé de près en raison de son potentiel pandémique. Depuis 1997, on a enregistré plus de 900 cas humains à l'échelle mondiale, principalement en Asie et en Afrique, dont près de la moitié ont conduit à des décès, il y a donc taux de mortalité élevé.
Le sujet ici est donc la propagation récente du H5N1 aux États-Unis, dans les élevages de bovins et de volaille, et on parlera aussi du tout premier cas positif sur un porc. Il faut savoir que ce virus était pratiquement inexistant sur ce territoire il y a peu. En effet, bien que la grippe aviaire ait été présente depuis des décennies aux États-Unis, la souche spécifique H5N1 (clade 2.3.4.4b) n'a été détectée pour la première fois chez des oiseaux sauvages qu'en 2021, avec les premières infections humaines confirmées en 2022 et 2024. L'OMS (Organisation mondiale de la Santé) écrivait dans un article début avril 2024 que "l'infection par le virus de l'influenza A est exceptionnellement rare chez les espèces bovines". En ce moment, c'est bien ce virus qui touche de plus en plus les vaches, car c'est la première fois en 2024 aux États-Unis que des vaches laitières ont été contaminées et la première fois que le virus est passé de la vache à l'homme, avec des ouvriers agricoles ayant contracté de légers symptômes.
En mai 2024, l'USDA (département de l'agriculture des USA) met en place des mesures au niveau fédéral exigeant que le bétail soit testé avant tout déplacement entre États au sein du pays. Cela a permis de limiter la propagation du virus H5N1 dans de nouveaux États. Au 30 octobre 2024, l'USDA indique qu'au cours des 30 derniers jours, le nombre d'États où des cas de grippe aviaire détectés chez les troupeaux de vaches laitières est passé de 14 à 2.
Les personnes les plus exposées à la grippe aviaire H5N1 sont les travailleurs des secteurs laitier et des élevages de volailles susceptibles d'être en contact avec des animaux infectés. Cela peut se produire lorsqu'un ouvrier laitier trait une vache infectée et qu'il est aspergé de lait au visage, par exemple. Il y a beaucoup d'élevages où les ouvriers n'ont pas d'EPI adaptés (Équipements de Protection Individuelle) leur permettant de travailler dans des conditions sanitaires propres et adéquates.
Chronologie du H5N1 aux États-Unis en depuis 2022 et jusqu'à 2024 :
Je vais m'arrêter ici sans lister les nouveaux cas animaux ou humains en juillet/août/septembre. Ça commence à être long de tout lister, mais ce ne sont que des nouvelles découvertes chaque semaine depuis mars/avril, que ce soit dans les fermes laitières de plus en plus touchées à travers le pays, ou bien des cas détectés chez d'autres espèces de mammifères, ainsi que de nouveaux cas humains dans différents États. Les élevages de volailles sont aussi de plus en plus touchés.
Dans la plupart des cas humains testés positifs dans des élevages bovins ou de volailles, les personnes infectées ont présenté de légers symptômes, souvent une conjonctivite bénigne. Les personnes reçoivent un traitement antiviral et sont soignées rapidement. Il y a jusqu'à présent très peu de cas qui présentent des symptômes grippaux plus avancés, comme de la toux.
J'ai trouvé dans des articles que les premiers cas de H5N1 détectés chez des vaches entre mars et mai ne semblaient pas montrer beaucoup de cas mortels, alors que récemment, en Californie, on observe facilement un taux de mortalité qui semble plus élevé dans les élevages bovins de l'État, avec des cadavres de vaches déposés à la va-vite au bord des routes des fermes. Quand des vaches laitières meurent du H5N1, elle sont généralement entasser à la va vite dans des enclos ou à même le long d'une route près de l'exploitation, les mouches envahissent les cadavres en décomposition, les vaches vivantes et en bonne santé ne sont parfois qu'à quelques dizaines de mètres. Les fermes déposent les vaches ainsi pour que des camions viennent les ramasser et que le camion ne rentre pas dans la ferme.
La grippe aviaire H5N1 continue de circuler intensément parmi les populations d'oiseaux sauvages et domestiques à travers le monde, y compris en Europe et aux États-Unis. Des recherches récentes montrent que le virus H5N1 présente des signes d'adaptation aux mammifères, ce qui soulève des inquiétudes quant à son potentiel pandémique et laisse craindre qu'un jour il trouve un moyen de se transmettre plus facilement d'humain à humain.
Le cas de H5N1 chez un porc dans l'Oregon est particulièrement inquiétant pour les scientifiques, car les porcs partagent un système immunitaire semblable à celui de l'humain. Le virus pourrait donc muter dans un porc et trouver un chemin pour devenir le variant qui augmenterait la contamination entre humains.
Ce porc de l'Oregon ne provient pas d'un élevage industriel ou d'une ferme d'élevage. C'est une petite ferme où il y a des porcs et des poulets, mais rien n'est destiné à la vente commerciale.
Les scientifiques craignent aussi que si un humain infecté par la grippe saisonnière contracte également la grippe aviaire en même temps, que cela puisse aider le virus à muter.
Le virus a aussi été beaucoup détecté dans les eaux usées de plusieurs villes en Californie. Je n'ai pas encore beaucoup lu à ce sujet, mais d'après ce que j'ai compris, les scientifiques ne savent pas encore très bien s'il y a un risque de contamination par l'eau très élevé.
Voilà, si vous avez des questions ou si vous voulez plus d'informations sur des éléments que j'ai apportés, demandez-moi. C'est le fruit de plusieurs jours de recherches et de suivi des dernières informations publiées sur Internet, que ce soit sur des sites spécialisés ou sur X (Twitter)
J'écrirai peut-être d'autres choses par la suite, ou je partagerai des informations sur comment le H5N1 a été très présent en 2023 en Amérique du Sud et comment il a décimé certaines populations de mammifères.
Hier un nouveau cas humain de H5N1 a été détecté pour la première fois en Oregon, la personne a été infectée dans un élevage commercial de volailles.
Un autre cas grippe aviaire H5N1 a été découvert chez un humain dans le comté de Fresno en Californie, il était entré en contact avec des vaches infectées dans une ferme laitière.
Le total de cas humains aux États-Unis est donc de 55 jusqu'à présent dans 7 États :
La présence du virus H5N1 a été confirmée dans 508 élevages laitiers répartis sur 15 États
L'adolescent canadien positif au H5N1 est toujours dans un état critique.
L'adolescent infecté par le H5N1 au Canada, qui est actuellement dans un état critique, est suivi de près, et chaque jour, nous en savons un peu plus, le virus chez cette personne présente potentiellement des mutations qui augmentent sa liaison aux récepteurs humains
Sources :
https://x.com/JPWeiland/status/1857830812198031782
https://x.com/outbreakupdates/status/1857845201420632308
Les dernières nouvelles ne sont pas bonnes et se répètent jour après jour.
Beaucoup d'équipements de protection individuelle commencent à être distribués aux ouvriers dans les fermes d'élevage laitier. On devrait donc logiquement commencer à voir une diminution de cas au fil du temps si les protocoles mis en place fonctionnent bien.
Un chien de la famille de l'adolescent infecté par le H5N1 au Canada a été euthanasié. On ne sait toujours pas comment cet adolescent a été infecté par le virus, mais le chien a été malade quelques jours avant que l'adolescent ne présente des symptômes. Le chien a été testé négatif au H5N1.
Il y a plus d'infos qui commencent à sortir sur l'épidémie massive de grippe aviaire H5N1 qui a tué plus de 17 000 éléphants de mer l'année dernière en Argentine. J'en reparlerai plus tard.
Sauf qu’il y a déjà un vaccin pour le H5N1 les kheys
Donc pas de confinement généralisé comme on a connu pour le Covid , hélas
C’est dommage j’ai une putain de nostalgie pour cette époque , peinard chez moi , ne plus voir la gueule des collègues et ce silence plus de bagnoles et d’avions avec ces abrutis qui polluent bêtement pour aller se bronzer la raie à l’autre bout du monde pour rien
Eh la SINJEPOX
Terriblement, on est inquiet. Et c'est a cause du réchauffement climatique qu'il y en a plus de virus
Le 19 novembre 2024 à 06:50:05 :
Sauf qu’il y a déjà un vaccin pour le H5N1 les kheysDonc pas de confinement généralisé comme on a connu pour le Covid , hélas
C’est dommage j’ai une putain de nostalgie pour cette époque , peinard chez moi , ne plus voir la gueule des collègues et ce silence plus de bagnoles et d’avions avec ces abrutis qui polluent bêtement pour aller se bronzer la raie à l’autre bout du monde pour rien
Il y a des vaccins pour les animaux, oui, mais plus le virus touche de nouveaux mammifères, plus les mutations vont s'adapter aux vaccins. Et ces vaccins ne sont pas encore suffisamment distribués massivement dans le monde aux élevages.
Quant aux humains, il n'y a pas encore de vaccin vraiment efficace, encore moins contre les nouvelles formes du virus à venir.
Je ne souhaite pas connaître de pandémie de grippe aviaire du genre de celle de 1918, mais on s'y dirige, car très peu de choses ont été mises en place pour freiner ou empêcher cela. Et c'est déjà assez catastrophique chez les animaux sauvages ou dans les élevages. Il y a plus de chances qu'un jour nous mangions moins de viande à cause des virus dans les élevages que grâce aux écologistes qui parviennent à convaincre les gens de manger vegan.
On va peut-être devoir porter le masque et prendre une nouvelle dose de vaccin si on veut aller au resto en terrasse.
Dans l'attente des ordres de BFMTV sur la conduite à tenir.
Le 19 novembre 2024 à 15:58:46 :
On va peut-être devoir porter le masque et prendre une nouvelle dose de vaccin si on veut aller au resto en terrasse.
Dans l'attente des ordres de BFMTV sur la conduite à tenir.
Dans ce genre de pandémie les golems de BFM seront les premiers à crever donc on aura pas à les écouter.
Ahi il a muté https://trustmyscience.com/le-canada-en-alerte-premier-cas-humain-de-grippe-aviaire-h5n1-confirme/
Quel hasard
Pile quand bill gates rachète massivement des domaine agricoles et nous parler de eats les bugz