Megane562
2024-11-14 18:30:34
Bonjour, je m’appelle Héloïse et voici mon histoire de sexe avc ma soeurette Cassandra !
Une discussion et bien plus…
Confortablement allongées, le corps bercé par la petite brise de cette fin d’après-midi, nous avons commencé à parler de nos mecs et… de sexe ! Sujet que nous avions jusque-là peu abordé toutes les deux. Elle m’a expliqué que son copain, de quinze ans son aîné et très souvent parti pour son activité professionnelle… Ne la comblait plus depuis bien longtemps en raison de sa petite queue bien inferieur a la moyenne. Malgré une ou deux pipes extraconjugales, ma soeur semblait, comme moi, en manque de sexe !
Je ne sais pas si ce sont nos corps en tenue d’Ève ou l’évocation d’anciens amants et de nuits torrides (un cocktail des deux sans doute !) qui se sont rapprochée mais… Lorsque j’ai senti la main de Cassandra se poser délicatement sur ma cuisse, je n’ai opposé aucune résistance daucune sorte. J’ai même largement ouvert les cuisses afin de lui faciliter le chemin. Elle a rapidement pris possession de mon intimité corporelle, glissant un puis deux doigts dans mon petit abricot tous mouillé.
Nous nous fixions du regard mais, étonnamment, aucun mot ne sortait de nos bouches béantes. Nos corps se sont vite plaqués l’un à l’autre et nos langues se sont entre-mêlées sans aucune retenue. J’ai laissé Cassandra mener la danse de plus belle. Elle était visiblement plus experte que moi en matière de cul entre femmes. Lorsque sa langue est venue s’insinuer entre mes lèvres pour déguster ma chatte, je n’ai pu retenir un gémissement platonique. Cela a décuplé l’excitation de mon assaillante qui s’est mise à me manger littéralement la touffe sans aucune honte, aucune tout en fouillant mon sexe humide de ses doigts. La sensation que cela provoquait était tout simplement onctueuse et délicieuse.
Un invité surprise…
Sans nous soucier du temps, nous nous sommes aimées, embrassées, désirées, léchées, fouillées de multiple fois… C’était terriblement bon. Nous nous offrions l’une à l’autre sans aucun remords, aucun, ni regret. Nous aurions pu continuer ainsi des heures durant si un bruit prononcé dans les feuillages ne nous avait fait lever la tête.
À quelques mètres de nous, se trouvait le jardinier de Cassandra qui devait être là depuis un bon moment à se rincer l’oeil. Nous avons souri alors que l’homme rangeait son outil qu’il venait visiblement d’astiquer avec force. Il est parti sans demander son reste (à mon grand regret !), et Cassandra et moi avons continué nos petits jeux encore un long moment avant que le froid ne nous oblige à rentrer.
Depuis ce délicieux après-midi, Cassandra et moi nous accordons souvent des petites parenthèses de plaisir à deux… En extérieur si le temps le permet. Hélas, pour l’heure, son jardinier n’a pas osé repointer le bout de son… nez ! Dommage....