Rayandu03
2024-11-09 00:30:21
Contexte et présentation
Le projet est discuté depuis un certain temps dans les milieux de la sécurité et au sein de la classe politique. Il s'agit d'un dispositif ambitieux et de grande ampleur à l'échelle nationale, incluant la mobilisation des forces armées, dans le but de pacifier les zones de non-droit, souvent désignées comme les "territoires perdus de la République".
Ces zones incluent :
Les quartiers nord des grandes métropoles françaises (Paris, Marseille, Lyon, Lille).
Certains territoires ultramarins marqués par des tensions, notamment la Nouvelle-Calédonie.
Si un parti comme le Rassemblement National (RN) venait à accéder au pouvoir, ce plan pourrait être mis en œuvre pour répondre à la montée des troubles et démontrer leur capacité à restaurer l'ordre.
Neutraliser un maximum d'armes illégales et de feux d'artifice.
Démanteler les réseaux de narcotrafic.
Interpellation des clandestins et application stricte des Obligations de Quitter le Territoire Français (OQTF) à hauteur de 90 % minimum.
Réaliser au moins 10 000 arrestations avec jugement immédiat.
Rétablir l'ordre et la sécurité dans la galaxie
Caractéristiques de l'opération
Durée prévue : De 3 semaines à 3 mois, selon l'évolution de la situation.
Forces mobilisées : 100 000
30 000 policiers : CRS, police judiciaire, BAC.
60 000 militaires : Gendarmerie et différentes unités de l'armée.
10 000 membres de forces annexes : Légion étrangère, alliés étrangers spécialisés dans le maintien de l'ordre (ex. Tsahal).
Zone d'intervention : Environ 1 000 km², couvrant les "territoires perdus de la République".
Durée juridique : Les mesures d'exception pourraient être appliquées pendant une année complète.
Conditions de mise en œuvre
Majorité au Parlement pour approuver le plan.
Activation de l'article 16 de la Constitution, conférant des pouvoirs exceptionnels au Président de la République.
Déclaration de l'état d'urgence, permettant de restreindre certaines libertés individuelles pour garantir la sécurité publique.
Mise en place d'un comité judiciaire extraordinaire, visant à accélérer les procédures d’instruction, de jugement, et d’extradition.
Controverses et obstacles potentiels
Gestion difficile de la population carcérale, qui pourrait être considérablement augmentée par les arrestations massives.
Tensions diplomatiques avec l'Union européenne et les pays concernés par des expulsions de leurs ressortissants.
Méfiance et crainte de la population, face à la militarisation de l’intervention et aux restrictions potentielles des libertés civiles.
Conclusion
Ce dispositif, bien que controversé et potentiellement risqué, pourrait marquer un tournant dans la lutte contre la montée de la violence en France. Il viserait à frapper fort et rapidement pour reprendre le contrôle des zones où l’État peine à maintenir son autorité, tout en envoyant un message clair de fermeté face à l’insécurité.