Le bureau circulaire était plongé dans la pénombre, uniquement éclairé par la lueur argentée de la Pensine et les derniers rayons du soleil couchant. Harry, Ron et Hermione se tenaient côte à côte, leurs baguettes pointées vers une silhouette familière qu'ils n'auraient jamais dû revoir.
"C'est impossible..." murmura Harry, "Vous êtes mort."
Albus Dumbledore se tenait devant eux, plus vivant que jamais, un sourire énigmatique aux lèvres. Ses yeux bleus ne pétillaient plus derrière ses lunettes en demi-lune - ils brillaient d'une lueur glaciale.
"La mort, Harry... n'est qu'une illusion pour ceux qui savent la manipuler," répondit-il calmement.
Hermione serra sa baguette plus fort. "Comment...?"
"Miss Granger, toujours aussi perspicace. Comment, en effet..." Dumbledore fit quelques pas, caressant distraitement le perchoir vide de Fumseck. "Pendant des années, vous tous avez joué exactement les rôles que je vous avais assignés. Tom Elvis Jedusor n'était que mon plus beau tour de magie - une marionnette parfaite."
"Vous mentez!" cria Ron. "Voldemort a tué des centaines de personnes!"
"Pour le plus grand bien, Monsieur Weasley." Le sourire de Dumbledore s'élargit. "Il fallait un monstre, une menace si terrible que personne ne verrait l'architecte derrière le chaos. Pendant que tous les regards étaient tournés vers lui, je poursuivais ma véritable quête."
Harry sentit un frisson glacé parcourir son échine. "Les Reliques..."
"Enfin, tu comprends Harry. Les Reliques de la Mort... le véritable pouvoir." Dumbledore sortit la Baguette de Sureau. "J'ai passé ma vie à les réunir. Et maintenant, grâce à vous trois, je vais pouvoir accomplir ce que même Grindelwald n'avait pas osé imaginer."
"Vous êtes fou," souffla Hermione.
"Non, Miss Granger. Je suis le plus grand Mage Blanc que ce monde ait connu. Et avec les Reliques comme Horcruxes..." Ses yeux brillèrent d'une lueur démente. "Je deviendrai véritablement le Maître de la Mort."
Les trois amis levèrent leurs baguettes simultanément, mais Dumbledore était plus rapide. Beaucoup plus rapide.
"Je suis désolé, mes enfants. Vraiment désolé. Mais c'est pour le plus grand bien."
La lumière verte illumina le bureau. Dans leurs derniers instants, Harry, Ron et Hermione virent le masque bienveillant de leur ancien mentor se briser, révélant enfin son véritable visage - celui du plus grand manipulateur que le monde magique ait jamais connu.
"Avada Kedavra!"
Le sort frappa les trois amis en même temps, et leurs corps s'effondrèrent silencieusement sur le sol du bureau. Dumbledore observa la scène avec une expression indéchiffrable, puis se tourna vers les Reliques posées sur son bureau.
"Et maintenant," murmura-t-il, "commence mon véritable règne."
Les trois corps gisaient encore chauds sur le sol de pierre du bureau directorial. Dumbledore contempla un instant ses anciens élèves, une lueur de regret traversant furtivement son regard avant d'être remplacée par une détermination glaciale.
"Le sacrifice de trois âmes pures..." murmura-t-il en disposant les Reliques de la Mort en triangle autour des corps. "Un prix nécessaire pour l'immortalité."
La Baguette de Sureau fut placée près de Harry - celui qui l'avait possédée en dernier. La Cape d'Invisibilité, héritage des Potter, fut disposée aux pieds de Ron. Et enfin, la Pierre de Résurrection trouva sa place près d'Hermione.
Dumbledore commença à tracer des runes complexes sur le sol avec sa baguette, des symboles anciens et interdits qui n'avaient plus été utilisés depuis des siècles. Une lueur mauve malsaine émana des tracés, baignant la pièce d'une lumière spectrale.
"Moi qui ai trompé la mort tant de fois," entonna-t-il d'une voix grave, "je réclame maintenant son pouvoir."
Les portraits des anciens directeurs, témoins silencieux de cette abomination, tentèrent de quitter leurs cadres, mais Dumbledore les avait déjà ensorcelés. Ils étaient condamnés à observer.
"Par le sang des innocents et la puissance des Reliques..."
Une brume noirâtre commença à s'élever des corps, tournoyant comme un serpent de fumée autour des Reliques. Le vieux sorcier leva les bras, sa voix devenant plus forte, plus terrible :
"Que la Baguette de Sureau, forgée par la Mort elle-même, accueille le premier fragment de mon âme, nourri par le sacrifice du Survivant!"
Un hurlement strident emplit la pièce alors que la Baguette de Sureau absorbait une partie de la brume noire. L'artefact vibra violemment avant de luire d'une lumière verdâtre.
"Que la Cape d'Invisibilité, qui défie le regard de la Mort, abrite le second fragment, scellé par le sang du loyal!"
Ron sembla frémir une dernière fois alors que la Cape s'assombrissait, absorbant sa part de l'essence de Dumbledore.
"Et que la Pierre de Résurrection, qui transcende les frontières de la mort, devienne le réceptacle du dernier fragment, consacré par le sacrifice de la plus brillante!"
La Pierre tourna sur elle-même, absorbant la dernière partie de la brume noire. Les yeux de Dumbledore brillaient d'une lueur démente alors que le rituel s'achevait.
Les Reliques pulsaient maintenant d'une énergie malsaine, liées à jamais à l'âme fragmentée du plus grand manipulateur que le monde magique ait connu. Dumbledore s'approcha lentement, savourant sa victoire. Il ramassa chaque Relique avec révérence, les réunissant enfin entre ses mains.
"Enfin..." murmura-t-il, "je suis devenu ce que je devais être. Plus qu'un sorcier, plus qu'un maître... Je suis devenu la Mort elle-même."
Un rire froid résonna dans le bureau circulaire, alors que les dernières lueurs du jour s'éteignaient, comme si le soleil lui-même refusait d'éclairer ce qui venait de se produire. Dans leurs cadres, les anciens directeurs pleuraient en silence, témoins impuissants de la naissance du plus terrible Mage Blanc que le monde ait jamais connu.
Et quelque part, dans les limbes, trois amis se retrouvaient, ignorant que leurs morts venaient de permettre l'avènement d'une nouvelle ère de ténèbres, orchestrée non pas par un Mage Noir, mais par celui qui s'était toujours présenté comme le champion de la lumière.
La Grande Salle de Poudlard portait encore les cicatrices de la Bataille. Les survivants pansaient leurs plaies, pleuraient leurs morts, célébrant leur victoire contre Voldemort dans une atmosphère mêlant chagrin et soulagement. Mais leur répit fut de courte durée.
Un silence glacial s'abattit soudain sur l'assemblée. Les flammes des bougies vacillèrent, comme soufflées par un vent invisible. Au centre de la Grande Salle, une silhouette familière se matérialisa lentement.
"Impossible..." murmura McGonagall, sa baguette tremblant légèrement.
Albus Dumbledore se tenait devant eux, mais ce n'était plus le directeur bienveillant qu'ils avaient connu. Une aura de puissance terrifiante émanait de lui. Dans sa main droite, la Baguette de Sureau pulsait d'une lueur verdâtre malsaine. La Pierre de Résurrection ornait maintenant une bague à sa main gauche, et la Cape d'Invisibilité, transformée en une cape de cérémonie, flottait autour de lui comme des ombres vivantes.
"Mes chers amis," sa voix résonna dans la salle, "vous pensiez vraiment que tout était terminé?"
Neville fut le premier à se lever, l'épée de Gryffondor encore tachée du sang de Nagini dans ses mains. "Vous êtes mort! Nous avons tous vu votre tombe!"
"La mort n'est qu'un inconvénient mineur, Monsieur Londubat." Dumbledore sourit, mais ses yeux restaient froids. "Tout comme l'était Tom Jedusor - un simple pion dans mon grand projet."
"Où sont Harry, Ron et Hermione?" demanda Ginny, sa voix tremblant de colère.
Le sourire de Dumbledore s'élargit. "Ils ont contribué à une cause plus grande qu'eux-mêmes."
Cette simple phrase déclencha un mouvement de panique dans la salle. Les membres de l'Ordre du Phénix et de l'A.D. se mirent en position de combat.
"Aujourd'hui marque la naissance de l'Empire Sorcier," annonça Dumbledore, sa voix amplifiée magiquement. "Un monde où l'ordre règnera enfin. Où les sorciers guideront les Moldus vers une nouvelle ère. Pour le plus grand bien."
"Vous êtes devenu fou!" cria McGonagall, lançant le premier sort.
Le rayon rouge du Stupéfix fut absorbé par les ombres de la cape de Dumbledore comme s'il n'était rien.
"Minerva, toujours aussi impétueuse..."
Ce qui suivit fut un chaos total. Les survivants de la Bataille - membres de l'Ordre, professeurs, élèves - lancèrent sort après sort contre leur ancien mentor. Mais Dumbledore, maintenant lié aux Reliques transformées en Horcruxes, semblait invincible.
"Expelliarmus!" cria Luna.
"Confringo!" hurla George.
"Sectumsempra!" lança Drago.
Les sorts rebondissaient ou étaient absorbés. D'un simple geste de la Baguette de Sureau, Dumbledore envoya une onde de choc qui projeta ses adversaires contre les murs.
"Vous ne comprenez pas," dit-il calmement tout en parant les attaques. "Je suis devenu plus que ce que vous pouvez imaginer. La Mort elle-même me craint désormais."
Neville, soutenu par Ginny et Luna, tenta une dernière charge désespérée. "Poudlard ne tombera jamais!"
"Poudlard est déjà tombée," répondit Dumbledore. "Elle sera le centre de mon nouvel Empire."
Les survivants, malgré leur bravoure, réalisaient peu à peu l'horrible vérité : ils venaient de vaincre un Mage Noir pour en découvrir un bien plus terrible - un Mage Blanc dont la puissance dépassait l'entendement, protégé par les artefacts les plus puissants du monde magique, et dont la folie était d'autant plus dangereuse qu'elle se dissimulait derrière une façade de raison et de bien commun.
La nuit tombait sur Poudlard, et avec elle, les derniers espoirs du monde magique libre. L'ère de l'Empire Sorcier commençait, sous la direction de celui qui avait orchestré la plus grande manipulation de l'histoire : Albus Dumbledore, le Maître de la Mort, l'Empereur Blanc.
Le combat qui s'ensuivit fut aussi brutal qu'inégal. Les défenseurs de Poudlard, déjà épuisés par leur bataille contre Voldemort, faisaient face à une puissance qu'ils n'auraient jamais imaginée.
"Protego Maxima!" hurla McGonagall, créant une barrière massive devant les élèves les plus jeunes.
Dumbledore brisa le bouclier d'un simple geste. "Vos efforts sont admirables, Minerva, mais futiles."
Neville, l'épée de Gryffondor à la main, tenta une approche différente. "Les Horcruxes!" cria-t-il aux autres. "Il a transformé les Reliques en Horcruxes!"
"Perspicace, Monsieur Londubat," sourit Dumbledore, "mais contrairement aux fragments d'âme grossiers de Tom, les miens sont protégés par les artefacts les plus puissants jamais créés."
Pour le prouver, il utilisa la Pierre de Résurrection. Des spectres des victimes de la bataille - Fred, Tonks, Lupin - apparurent, forcés d'obéir à leur nouveau maître. George s'effondra en voyant le fantôme de son jumeau, tandis que d'autres reculaient d'horreur.
"Même vos morts me servent désormais."
Luna, son visage couvert de sang mais ses yeux toujours lucides, remarqua quelque chose. "Les Reliques... elles le changent. Regardez ses yeux!"
En effet, les yeux autrefois bleus de Dumbledore viraient progressivement au noir, comme si les ténèbres des Horcruxes le consumaient de l'intérieur. Mais cette corruption semblait seulement le rendre plus puissant.
Les membres survivants de l'Ordre du Phénix tentèrent une attaque coordonnée. Kingsley, McGonagall et Flitwick, trois des plus puissants sorciers présents, lancèrent simultanément leurs plus puissants sortilèges. La Cape d'Invisibilité transformée en cape de ténèbres absorba leurs sorts comme de l'eau dans du sable.
"Le pouvoir ultime a un prix," expliqua Dumbledore tout en ripostant. "Un prix que je suis prêt à payer."
Son contre-sort balaya la Grande Salle. Kingsley fut projeté contre un mur avec un craquement sinistre. Il ne se releva pas. Flitwick s'effondra, sa petite silhouette immobile sur les dalles de pierre.
"Stop!" cria Ginny, les larmes aux yeux. "Arrêtez!"
"Ma chère Miss Weasley," répondit Dumbledore avec une fausse douceur, "c'est vous qui devez arrêter. Votre frère et vos amis sont morts pour construire cet avenir. Ne rendez pas leur sacrifice vain."
Cette mention de Ron, ainsi que d'Harry et Hermione, déclencha une dernière vague de résistance désespérée. Mais même la rage et le chagrin ne pouvaient rivaliser avec le pouvoir des Reliques corrompues.
Un par un, les défenseurs tombèrent. Certains morts, d'autres trop blessés pour continuer. McGonagall fut la dernière à tenir debout, son chignon défait, du sang coulant sur son visage.
"Albus," dit-elle doucement, "regardez ce que vous êtes devenu."
"Je suis devenu ce que je devais être, Minerva. Ce que le monde magique a toujours eu besoin que je sois."
Son dernier sort la frappa en pleine poitrine. Elle s'écroula comme une marionnette dont on aurait coupé les fils.
Le silence tomba sur la Grande Salle. Dumbledore, maintenant seul debout parmi les corps et les blessés, contempla son œuvre. Les ombres de sa cape dansaient autour de lui, la Baguette de Sureau pulsait de pouvoir, et la Pierre de Résurrection brillait d'une lueur malsaine à son doigt.
"Poudlard est tombée," déclara-t-il simplement.
À l'extérieur, l'aube se levait sur un nouveau monde. L'Empire Sorcier était né, bâti sur les ruines de l'ancienne société, fondé sur les cadavres de ceux qui avaient osé résister. Le plus grand Mage Blanc de l'histoire avait gagné, prouvant que la vraie obscurité ne vient pas toujours des ténèbres, mais parfois de la lumière elle-même, pervertie par l'ambition et le pouvoir.
Les survivants, ceux qui n'étaient pas morts ou trop gravement blessés, furent emprisonnés dans les donjons de leur propre école. Poudlard, autrefois havre de paix et d'apprentissage, devint la capitale d'un empire de terreur, dirigé par un tyran dont le pouvoir dépassait même celui de la Mort.
Et quelque part, dans l'au-delà, trois amis regardaient impuissants leur monde sombrer dans une nouvelle ère de ténèbres, sachant que leurs propres morts avaient permis son avènement.
L'histoire se souviendrait de ce jour comme celui où la lumière mourut, non pas étouffée par les ténèbres, mais corrompue par sa propre quête de perfection. Le règne de l'Empereur Blanc commençait, et avec lui, une nouvelle définition du "plus grand bien".
Le Ministère de la Magie était dans le chaos. Les pertes de la Bataille de Poudlard, la mort de Voldemort, l'absence de ministre... Les couloirs bruissaient de rumeurs et de panique. Les Aurors survivants tentaient de maintenir un semblant d'ordre, mais sans réelle direction.
L'Atrium était bondé de sorciers désorientés quand les flammes vertes des cheminées s'éteignirent toutes simultanément. La fontaine de la Fraternité Magique, déjà endommagée, se mit à vibrer.
"Quelque chose arrive..." murmura Gawain Robards, le chef des Aurors par intérim.
La voix de Dumbledore résonna dans tout le Ministère, amplifiée magiquement : "Le temps du changement est venu."
Il apparut au centre de l'Atrium, les Reliques de la Mort irradiant de puissance autour de lui. Sa cape d'ombre ondulait comme des tentacules de ténèbres, la Baguette de Sureau pulsait d'une énergie verdâtre, et la Pierre de Résurrection à son doigt projetait des ombres spectrales.
"Le Ministère de la Magie est dissout," déclara-t-il calmement. "L'Empire Sorcier prend désormais le contrôle."
Les Aurors présents formèrent immédiatement un cercle défensif. "Par ordre du Magenmagot, vous êtes en état d'arrestation!" cria Robards.
"Le Magenmagot?" Dumbledore eut un sourire triste. "Une relique d'un temps révolu."
D'un geste de la Baguette de Sureau, il projeta une onde de choc qui balaya le premier rang d'Aurors. Sa cape d'ombre s'étendit comme un nuage toxique, étouffant les sorts qui fusaient vers lui.
"Vos collègues à Poudlard ont déjà appris la futilité de la résistance," dit-il en avançant. "Ne répétez pas leur erreur."
Percy Weasley, qui avait survécu à la bataille précédente, tenta de coordonner une évacuation. "Tous les civils vers les sorties de secours!"
Mais Dumbledore utilisa la Pierre de Résurrection. Les spectres des Aurors morts pendant la guerre apparurent, bloquant les issues. Rufus Scrimgeour, Alastor Mooody, et d'autres légendes du Bureau des Aurors, maintenant forcés de servir leur nouveau maître.
"Même vos héros déchus me servent désormais."
Le combat qui suivit fut bref mais brutal. Les Aurors, déjà diminués par la guerre contre Voldemort, ne faisaient pas le poids. Les sortilèges les plus puissants étaient absorbés par la cape corrompue ou déviés par la Baguette de Sureau.
"Niveau par niveau," ordonna Dumbledore aux spectres, "sécurisez le Ministère."
Les fantômes se dispersèrent, semant la terreur dans les départements. Au Département des Mystères, les Langues-de-plomb tentèrent de sceller leurs secrets, mais les ombres de la cape de Dumbledore s'infiltrèrent partout, déverrouillant chaque porte, exposant chaque mystère.
Dans la salle des prophéties, les derniers résistants menés par Robards firent leur ultime stand.
"Vous ne pouvez pas contrôler tous les secrets de la magie!" cria le chef des Aurors.
"Je ne compte pas les contrôler," répondit Dumbledore. "Je compte les révéler. Le savoir ne doit plus être caché. Sous mon règne, la magie sera libre."
D'un geste, il brisa les protections millénaires du Département. Les prophéties se mirent à résonner toutes en même temps, leurs voix formant une cacophonie assourdissante.
"Le temps des secrets est révolu," déclara-t-il alors que les derniers défenseurs tombaient.
En moins d'une heure, le Ministère était tombé. Les employés furent rassemblés dans l'Atrium, entourés par les spectres des morts. Dumbledore, debout sur les ruines de la fontaine, s'adressa à eux :
"L'ancien ordre est mort. Un nouveau système prend sa place. Ceux qui accepteront de servir l'Empire Sorcier seront pardonnés. Les autres rejoindront les prisonniers de Poudlard."
Dans les étages supérieurs, les mémos interdépartementaux voletaient encore, portant les derniers ordres d'un ministère qui n'existait plus. Dans les niveaux inférieurs, les secrets les mieux gardés du monde magique étaient maintenant entre les mains d'un seul homme.
Percy Weasley, blessé mais vivant, regardait la scène avec horreur. Le mentor qu'il avait tant admiré venait de détruire en quelques heures des siècles de tradition et d'ordre. Et le pire était que certains employés commençaient déjà à s'incliner, convaincus par la promesse d'un monde nouveau où la magie ne serait plus contrainte.
L'Empire Sorcier avait maintenant sa capitale. Poudlard serait son cœur, le Ministère son bras armé. Et Dumbledore, le Maître de la Mort, l'Empereur Blanc, régnait sur les deux.
La révolution était terminée avant même que le monde magique ne réalise qu'elle avait commencé. Et quelque part, dans les profondeurs du Département des Mystères, une nouvelle prophétie se formait, parlant peut-être d'espoir... ou de ténèbres éternelles.
CEPENDANT
Le 01 novembre 2024 à 00:51:53 :
CEPENDANThttps://image.noelshack.com/fichiers/2018/02/6/1515829449-dumbledore.jpg
Cependant t’en penses quoi… ?
Le 01 novembre 2024 à 00:56:25 :
Ah oui c'est bien de la merde
Pourtant c’est cohérent, à une époque Dumbledore était obsédé par les Horcruxes et voulait dominer le monde des sorciers avec, mais il a renié tout ça… dans mon scénario c’est rester une idée qu’il défend
Dans mon scénario Dumbledore a fait semblant de renier ça, pour continuer son plan dans l’ombre…
Peu après la sortie de l'ordre du phénix, j'avais lu une fanfic où Hermione était enceinte de Voldemort et donnait les détails de la conception à Harry
Bah ta fanfic est 100x fois
non en vrai y a de l'idée c'est sympa
Car aussi dans mon scénario, Dumbledore a théorisé le fait qu’il ne suffit pas de posséder les trois Reliques de la Mort pour devenir le Maître de la Mort, mais qu’il faut les transformer en Horcruxes…
Le 01 novembre 2024 à 01:01:48 :
Peu après la sortie de l'ordre du phénix, j'avais lu une fanfic où Hermione était enceinte de Voldemort et donnait les détails de la conception à Harry
Bah ta fanfic est 100x foisnon en vrai y a de l'idée c'est sympa
Après ça se base pas sur rien, ça se base sur une vraie idée de jeunesse de Dumbledore
Franchement c est pas mal
Écris la sweet maintenant