c'est quoi la morale du film La Haine ?

je viens de le voir et je comprends pas en quoi c'est un chef d'oeuvre ni le message du filmhttps://image.noelshack.com/fichiers/2018/27/4/1530827992-jesusreup.png

Les racailles sont des victimes, les juifs aussi, les blancs sont des méchants fachos

Le 25 octobre 2024 à 18:19:23 :
Les racailles sont des victimes, les juifs aussi, les blancs sont des méchants fachos

Pareil j'ai jamais compris la phrase "l'important c'est pas la chute c'est l'atterrissage " ça veut dire que l'important c'est pas le succès mais le chemin vers le succès ?

La haine est une impasse

Le 25 octobre 2024 à 18:19:23 :
Les racailles sont des victimes, les juifs aussi, les blancs sont des méchants fachos

je comprends pas, a quel moment dans le film on est censé être triste pour Cassel et sa bande ?https://image.noelshack.com/fichiers/2018/27/4/1530827992-jesusreup.png

qu'il faut arrêter d'avoir la haine car sinon on se fait buter (police comme racaille)

Jusqu'ici tout va bien.
Le plus important c'est pas la chute, c'est l'atterrissage.

Ca semble pourtant clair bizotinhttps://image.noelshack.com/fichiers/2018/27/4/1530827992-jesusreup.png

Le 25 octobre 2024 à 18:20:50 :

Le 25 octobre 2024 à 18:19:23 :
Les racailles sont des victimes, les juifs aussi, les blancs sont des méchants fachos

je comprends pas, a quel moment dans le film on est censé être triste pour Cassel et sa bande ?https://image.noelshack.com/fichiers/2018/27/4/1530827992-jesusreup.png

c'est a qui qui parle lui ?https://image.noelshack.com/fichiers/2018/22/2/1527544828-img-2244.png

La Haine, réalisé par Mathieu Kassovitz, explore les tensions sociales, la violence et l'exclusion dans les banlieues françaises, en se concentrant sur un groupe de trois amis : Vinz, Saïd et Hubert. Le film est souvent perçu comme un chef d'oeuvre parce qu'il capte de manière intense et réaliste la vie et la frustration de jeunes confrontés à la violence policière, à la discrimination et au manque d'opportunités.

La morale du film tourne autour de la boucle de violence et de haine dans laquelle ils sont coincés. La célèbre phrase du film - "C'est l'histoire d'un homme qui tombe d'un immeuble de cinquante étages... jusqu'ici tout va bien... mais l'important, c'est pas la chute, c'est l'atterrissage" - symbolise l'idée que la société, dans son inertie, se dirige vers une catastrophe si elle n'agit pas pour résoudre ces tensions.

Ce qui rend La Haine émouvant et percutant pour beaucoup, c'est l'exploration de l'aliénation sociale des personnages. Le film invite à voir au-delà des actes des protagonistes pour comprendre les conditions qui les y conduisent, cherchant à susciter l'empathie non pas pour ce qu'ils font, mais pour la situation oppressante qui les entoure.

Le 25 octobre 2024 à 18:20:47 :
La haine est une impasse

Exact
C’est selon qui regarde et se dira si c’est la police ou les jeunes qui ont la haine

Le 25 octobre 2024 à 18:20:14 :
Pareil j'ai jamais compris la phrase "l'important c'est pas la chute c'est l'atterrissage " ça veut dire que l'important c'est pas le succès mais le chemin vers le succès ?

Ben non c'est l'inverse

Qui tire à la fin?
Le flic ou Hubert?
Vous avez 4h

la haine c'est mal

Que le noir et blanc ne rend pas un film bon

l'important c'est pas la chute mais l'atterissage

Vite ma moralehttps://image.noelshack.com/fichiers/2018/41/7/1539530217-npc.png

la fin c'est tiré par les cheveux quand meme

le head shot qui sort de nul part et ca finit tir simultané ce qui est impossiblehttps://image.noelshack.com/fichiers/2018/26/7/1530476579-reupjesus.png

Les petits bourgeois sont d'énormes bandeurs de cités qui n'ont pas la moindre idée de la vie qui s'y déroule

Le 25 octobre 2024 à 18:20:14 :
Pareil j'ai jamais compris la phrase "l'important c'est pas la chute c'est l'atterrissage " ça veut dire que l'important c'est pas le succès mais le chemin vers le succès ?

Il s’agit d’un moyen d’atténuer le stress d’une condition extrême, de fermer les yeux face à un danger imminent. Néanmoins cette phrase évoque une situation particulière dans la bouche de Hubert, celle du devenir d’un banlieusard semblable à une tragédie grecque ou les personnages ne semblent pas maîtres de leurs destins et courent inexorablement à leur perte. Cette phrase revient à la toute fin du film, non plus comme une métaphore car le sujet décrit n’est plus un homme, mais une société.

Dans ce programme, l’histoire semble figée avant sa fin, le constat se répète mais la chute n’intervient jamais.

https://nicolas-lebrun.fr/fr/project/jusquici-tout-va-bien/