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EnormeFou
2024-10-20 22:34:03

Salut à tous les amis, je me présente. Moi, c’est Khélyhahn MARSAKSSLOGS , et si je suis là, devant vous, prêt à ouvrir mon coeur en votre douce compagnie, c’est afin de vous tenir au jus quand à l’anecdote qui m’a conduit à être INTERNÉ de force en HOPITAL PSYCHIATRIQUE sous CAMISOLE DE FORCE.

Cette histoire débuta le lundi 17 novembre 2014 à précisément 21h29.

Je venais de…

À vous, on va voir si vous avez beaucoup d’imaginationhttps://image.noelshack.com/fichiers/2021/08/1/1613997318-zidane.png

lelitent
2024-10-20 22:36:24

Salut à tous les amis, je me présente. Moi, c’est Khélyhahn MARSAKSSLOGS, et si je suis là, devant vous, prêt à ouvrir mon cœur en votre douce compagnie, c’est afin de vous tenir au jus quant à l’anecdote qui m’a conduit à être INTERNÉ de force en HÔPITAL PSYCHIATRIQUE sous CAMISOLE DE FORCE.

Cette histoire débuta le lundi 17 novembre 2014 à précisément 21h29.

Je venais de rentrer chez moi après une longue journée de travail. Vous savez, cette routine infernale qui vous pousse à compter les minutes avant la fin de la journée, les secondes avant d’être enfin libre. Je m’étais préparé un café bien fort, histoire de rester éveillé, car j'avais prévu une soirée un peu particulière. Ce soir-là, j’avais décidé de me plonger dans un livre ésotérique que j'avais acheté par pure curiosité. "Les Arcanes de l'Inconnu", un vieux grimoire poussiéreux récupéré chez un bouquiniste étrange au fond d’une ruelle que personne ne semblait connaître. L’homme qui me l’avait vendu avait le regard fuyant, mais il m’avait averti d’un ton solennel : « Faites attention, ce livre ne révèle pas que des secrets… il peut aussi ouvrir des portes que vous ne pourrez pas refermer. »

J'avais haussé les épaules en pensant que ce n'était qu'une histoire de plus pour vendre un ouvrage cher et inutilisable. Mais au fond de moi, une petite voix chuchotait, un mélange de fascination et de doute.

Je m’installai dans mon fauteuil, prêt à découvrir ce que cet antique recueil avait à offrir. À peine le premier chapitre entamé, quelque chose d’étrange se produisit. Mon appartement, pourtant silencieux, sembla soudainement résonner d’un murmure lointain, un son presque imperceptible, comme si quelqu’un ou quelque chose me chuchotait à l’oreille.

Je m’efforçai de me concentrer sur le texte. Des pages entières étaient consacrées à des invocations anciennes, des formules qui prétendaient pouvoir communiquer avec « l’autre côté ». Sans vraiment y croire, mais par curiosité, j’en prononçai une, à mi-voix.

C’est là que tout a basculé.

Un vent glacé parcourut la pièce, bien que toutes les fenêtres fussent fermées. Les murs semblèrent vibrer, et une silhouette indistincte apparut dans un coin sombre de la pièce, grandissant à mesure que je la fixais. Au début, je crus à une hallucination, un simple jeu de lumière. Mais lorsque cette forme commença à se mouvoir, flottant lentement vers moi, la réalité me frappa de plein fouet : ce n’était pas une illusion.

La silhouette prit finalement une forme plus définie : un homme, grand, vêtu d’un manteau noir à capuche, avec des yeux d’un blanc laiteux, sans pupille, et une aura oppressante qui rendait l’air lourd. Mon cœur battait à tout rompre, et mon corps refusa de bouger, comme pétrifié par cette présence surnaturelle. L'être s’avança encore, tendit une main vers moi, et dans un murmure glacé, prononça des mots que je ne comprenais pas.

Soudain, tout devint noir.

Je me réveillai le lendemain matin, allongé sur le sol de mon salon. Le livre avait disparu, et l’appartement, qui me paraissait si familier, semblait empreint d’une atmosphère oppressante, comme si une présence invisible m’observait constamment. Mais ce n’était que le début de l’horreur. Les jours suivants, des événements inexplicables se multiplièrent : des objets se déplaçaient seuls, des voix s’élevaient dans le silence de la nuit, et toujours cette sensation d’être suivi, observé.

Mon entourage commençait à remarquer mon changement de comportement. Je n’arrivais plus à dormir, mes yeux étaient cernés, et mes paroles devenaient de plus en plus incohérentes. J’essayais d’expliquer ce que je vivais, mais personne ne voulait me croire. Ils pensaient que j’étais simplement stressé, fatigué. Mais je savais ce que j’avais vu.

C’est alors que je décidai de retourner voir le bouquiniste. Peut-être avait-il une explication, ou mieux encore, un moyen de faire cesser tout cela. Lorsque j’arrivai devant la petite boutique, je découvris avec stupeur qu’elle n’était plus là. À la place, un terrain vague, comme si le magasin n’avait jamais existé.

À ce moment précis, j’entendis à nouveau ce murmure glacé, cette voix qui semblait venir de nulle part : « Tu m’as appelé, tu m’appartiens maintenant. »

La panique monta en moi, et dans un élan de désespoir, je me mis à hurler dans la rue, suppliant qu’on me vienne en aide. Les passants s’écartèrent, me regardant avec inquiétude. Deux policiers finirent par intervenir. Incapable de donner une explication cohérente, j’étais pris pour un fou. On m’emmena d’urgence dans un hôpital où les médecins conclurent à une crise psychotique.

Et c’est ainsi que je me suis retrouvé là, interné de force en HÔPITAL PSYCHIATRIQUE, sous CAMISOLE DE FORCE. Mais je sais que je ne suis pas fou. Ce que j’ai vécu était réel. L’entité que j’ai appelée est toujours là, tapie dans l’ombre, attendant son heure.

Alors, mes amis, si vous croisez un vieux livre aux pages poussiéreuses, dans une boutique qui semble ne pas exister… tournez les talons et partez sans vous retourner. Ne faites jamais l’erreur que j’ai commise. Parce que certaines portes, une fois ouvertes, ne peuvent jamais être refermées.

EnormeFou
2024-10-20 22:37:00

Up

Mr-Mouche-DZ
2024-10-20 22:37:53

Salut à tous les amis, je me présente. Moi, c’est Khélyhahn MARSAKSSLOGS, et si je suis là, devant vous, prêt à ouvrir mon cœur en votre douce compagnie, c’est afin de vous tenir au jus quant à l’anecdote qui m’a conduit à être INTERNÉ de force en HÔPITAL PSYCHIATRIQUE sous CAMISOLE DE FORCE.

Cette histoire débuta le lundi 17 novembre 2014 à précisément 21h29.

Je venais de rentrer chez moi après une longue journée de travail. Vous savez, cette routine infernale qui vous pousse à compter les minutes avant la fin de la journée, les secondes avant d’être enfin libre. Je m’étais préparé un café bien fort, histoire de rester éveillé, car j'avais prévu une soirée un peu particulière. Ce soir-là, j’avais décidé de me plonger dans un livre ésotérique que j'avais acheté par pure curiosité. "Les Arcanes de l'Inconnu", un vieux grimoire poussiéreux récupéré chez un bouquiniste étrange au fond d’une ruelle que personne ne semblait connaître. L’homme qui me l’avait vendu avait le regard fuyant, mais il m’avait averti d’un ton solennel : « Faites attention, ce livre ne révèle pas que des secrets… il peut aussi ouvrir des portes que vous ne pourrez pas refermer. »

J'avais haussé les épaules en pensant que ce n'était qu'une histoire de plus pour vendre un ouvrage cher et inutilisable. Mais au fond de moi, une petite voix chuchotait, un mélange de fascination et de doute.

Je m’installai dans mon fauteuil, prêt à découvrir ce que cet antique recueil avait à offrir. À peine le premier chapitre entamé, quelque chose d’étrange se produisit. Mon appartement, pourtant silencieux, sembla soudainement résonner d’un murmure lointain, un son presque imperceptible, comme si quelqu’un ou quelque chose me chuchotait à l’oreille.

Je m’efforçai de me concentrer sur le texte. Des pages entières étaient consacrées à des invocations anciennes, des formules qui prétendaient pouvoir communiquer avec « l’autre côté ». Sans vraiment y croire, mais par curiosité, j’en prononçai une, à mi-voix.

C’est là que tout a basculé.

Un vent glacé parcourut la pièce, bien que toutes les fenêtres fussent fermées. Les murs semblèrent vibrer, et une silhouette indistincte apparut dans un coin sombre de la pièce, grandissant à mesure que je la fixais. Au début, je crus à une hallucination, un simple jeu de lumière. Mais lorsque cette forme commença à se mouvoir, flottant lentement vers moi, la réalité me frappa de plein fouet : ce n’était pas une illusion.

La silhouette prit finalement une forme plus définie : un homme, grand, vêtu d’un manteau noir à capuche, avec des yeux d’un blanc laiteux, sans pupille, et une aura oppressante qui rendait l’air lourd. Mon cœur battait à tout rompre, et mon corps refusa de bouger, comme pétrifié par cette présence surnaturelle. L'être s’avança encore, tendit une main vers moi, et dans un murmure glacé, prononça des mots que je ne comprenais pas.

Soudain, tout devint noir.

Je me réveillai le lendemain matin, allongé sur le sol de mon salon. Le livre avait disparu, et l’appartement, qui me paraissait si familier, semblait empreint d’une atmosphère oppressante, comme si une présence invisible m’observait constamment. Mais ce n’était que le début de l’horreur. Les jours suivants, des événements inexplicables se multiplièrent : des objets se déplaçaient seuls, des voix s’élevaient dans le silence de la nuit, et toujours cette sensation d’être suivi, observé.

Mon entourage commençait à remarquer mon changement de comportement. Je n’arrivais plus à dormir, mes yeux étaient cernés, et mes paroles devenaient de plus en plus incohérentes. J’essayais d’expliquer ce que je vivais, mais personne ne voulait me croire. Ils pensaient que j’étais simplement stressé, fatigué. Mais je savais ce que j’avais vu.

C’est alors que je décidai de retourner voir le bouquiniste. Peut-être avait-il une explication, ou mieux encore, un moyen de faire cesser tout cela. Lorsque j’arrivai devant la petite boutique, je découvris avec stupeur qu’elle n’était plus là. À la place, un terrain vague, comme si le magasin n’avait jamais existé.

À ce moment précis, j’entendis à nouveau ce murmure glacé, cette voix qui semblait venir de nulle part : « Tu m’as appelé, tu m’appartiens maintenant. »

La panique monta en moi, et dans un élan de désespoir, je me mis à hurler dans la rue, suppliant qu’on me vienne en aide. Les passants s’écartèrent, me regardant avec inquiétude. Deux policiers finirent par intervenir. Incapable de donner une explication cohérente, j’étais pris pour un fou. On m’emmena d’urgence dans un hôpital où les médecins conclurent à une crise psychotique.

Et c’est ainsi que je me suis retrouvé là, interné de force en HÔPITAL PSYCHIATRIQUE, sous CAMISOLE DE FORCE. Mais je sais que je ne suis pas fou. Ce que j’ai vécu était réel. L’entité que j’ai appelée est toujours là, tapie dans l’ombre, attendant son heure.

<spoil></spoil>Alors, mes amis, si vous croisez un vieux livre aux pages poussiéreuses, dans une boutique qui semble ne pas exister… tournez les talons et partez sans vous retourner. Ne faites jamais l’erreur que j’ai commise. Parce que certaines portes, une fois ouvertes, ne peuvent jamais être refermées.

EnormeFou
2024-10-20 22:38:54

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EnormeFou
2024-10-21 08:25:33

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EnormeFou
2024-10-21 08:52:06

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