PorteMantax15
2024-10-10 20:02:01
Pointons-les du doigt, il est important de bien identifier son ennemi.
1/ La caste.
Le gratin.
Ceux qui se gavent.
Roulent en berline avec chauffeur, mangent dans des restos étoilés sans même s’en rendre compte, envoient leurs gosses dans de prestigieuses écoles privées, bénéficient de passe-droits, de contrats publics, d’emplois fictifs, de notes de frais à rallonge, de cadeaux en tout genre, d’informations sensibles, de l’effet Cantillon, d’emplois à vie, de retraites dorées, d’escortes policières, de palais ornés mis à disposition, de logements de fonction, de lois sur-mesure, de toute la puissance de l’État et ses ramifications.
Le top quoi.
Capitalistes de connivence, élus aux mandats qui s’enchainent, hauts-fonctionnaires qui passent d’un cabinet ministériel à la direction d’une agence nationale de mes couilles à un conseil d’administration d’entreprise publique monopolistique à un bureau à Bruxelles.
Une vie à pomper les faveurs de l’État, à sucer le contribuable jusqu’à le rendre anémique.
La caste a tout à perdre.
Elle ne voudra jamais réduire le poids de la poule aux œufs d’or, quitte à la rendre boulimique.
Qu’elle que soit la volonté du peuple, quel que soit le résultat des élections, quel que soit le désastre économique qu’affrontera le pays, la caste se battra bec et ongles pour l’État.
Quel chef rêve de réduire sa puissance ?
Quel fournisseur du roi appelle à ce qu’il baisse ses dépenses ?
La caste est forte, maligne, bien en place. Il va falloir aller la chercher !
2/ Les suppôts
La foule de petits adorateurs du pouvoir.
Au pied de la caste, les suppôts rêvent d’un jour lui arriver à la cheville.
Au mieux planqué, au pire aux dents longues, le suppôt vit de la manne infinie qui coule par tous les trous de la caisse étatique.
Ses vacances sont longues, ses journées de travail sont courtes, son salaire est garanti, sa retraite est grasse, sa place en crèche est réservée, son crédit aménagé, ses collègues sont paresseux mais toujours motivés pour une petite grève.
Fonctionnaires, élus locaux, agents territoriaux, municipaux, gratte-papiers, gérants de rien, contrôleurs de tout, les suppôts grignotent chaque jour les miettes que leur laisse la caste.
Tout heureux de faire partie de la grande famille étatique, ils bénéficient de ses largesses et en tirent une immense fierté.
Ils travaillent pour le bien commun. Ils sont utiles.
Faire le travail de 200 personnes quand on est 2000 dans un service, ce n’est pas si simple.
N’obtenir que 5% de budget supplémentaire chaque année pour effectuer les mêmes missions, c’est savoir se serrer la ceinture.
Les suppôts sont lâches, craintifs mais zélés.
Avant de leur ôter le sucre d’orge qu’ils tiennent fermement dans leurs mains épargnées par les sévices de l’effort, il va falloir renverser le bureau qui leur sert de bouclier.
3/ Les parasites.
Ceux qui se nourrissent de la valeur créée par les autres.
Anciens mendiants, ils n’ont même plus besoin de pleurer pour recevoir l’aumône. Les versements réguliers qu’ils reçoivent de l’État sont devenus un dû.
Ils n’ont plus aucun devoir.
Leur servilité s’achète sans promesse. Ils ont pris un abonnement à vie.
L’échange proposé par la caste est limpide : on vous donne un revenu de subsistance, vous votez pour nous. Et les parasites acceptent.
Droite, gauche, centre, le parasite mange à tous les râteliers tant qu’ils sont étatistes.
Assistés, perfusés, allocataires, bénéficiaires, réfugiés politiques, chômeurs opportunistes, étudiants en scénographie ou sociologie, dealers de weed, joueurs de cartes ou de Playstation, musiciens intermittents ou gratteurs de couilles professionnels, les parasites ne peuvent vivre sans les productifs.
Ils crient à l’injustice du monde, attaquent les terribles oppresseurs qui produisent la pitance que l’État, intermédiaire magnanime, jette dans leurs gamelles comme le Duc jette quelques sous dans la boue quand ils croisent ses gueux.
Les parasites savent que sans l’extorsion organisée à bout portant par leurs maîtres de la caste, ils ne pourraient pas survivre en restant partisans du moindre effort.
Ils sont donc partisans de l’État. Ils lutteront à ses côtés, défendant corps et âmes un système qui leur permet de vivre comme des cloportes grincheux et en réclamer toujours plus.
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Si vous ne faites pas partie d’une de ces trois catégories, il est grand temps pour vous de vous engager dans la Résistance.
La lutte contre le collectivisme vous attend.
Elle a besoin de vous.
Si vous ne montez pas au créneau pour défendre vos intérêts et votre liberté, qui le fera ?
La caste, ses suppôts et les parasites ne cesseront de grignoter le fruit de votre labeur.
Alors n’attendez pas, criez avec nous « La Liberté, bordel ! ».
https://x.com/Partimilieiste/status/1843218905659007073
Le mec a posé les termeshttps://image.noelshack.com/fichiers/2020/51/5/1608307307-risitas-moque-pnj.png