[VOCAROO] Je lis les PHRASES de votre CHOIX

Allez les clés.

PS : Pas de frite coincée dans l'anus juste

up

Le soleil se lève sur la ville est naturel et la sélection.

Le 12 octobre 2024 à 23:04:11 :
Le soleil se lève sur la ville est naturel et la sélection.

https://voca.ro/1hTWGnnUt44h

Le 12 octobre 2024 à 23:04:30 :

Le 12 octobre 2024 à 23:04:11 :
Le soleil se lève sur la ville est naturel et la sélection.

https://voca.ro/1hTWGnnUt44h

Bordel Kheys tu sur-joue trop c'est cringe de fou.
https://image.noelshack.com/fichiers/2024/10/5/1709918640-pfiou-la-vie-est-dure.png

Le 12 octobre 2024 à 23:05:41 :

Le 12 octobre 2024 à 23:04:30 :

Le 12 octobre 2024 à 23:04:11 :
Le soleil se lève sur la ville est naturel et la sélection.

https://voca.ro/1hTWGnnUt44h

Bordel Kheys tu sur-joue trop c'est cringe de fou.
https://image.noelshack.com/fichiers/2024/10/5/1709918640-pfiou-la-vie-est-dure.png

c'est fait exprès, tu peux préciser ce que tu veux comme intonation sinon

" Je wear ma chastity cage en attendant que ma domina me pegg violement "https://image.noelshack.com/fichiers/2021/15/7/1618708728-menhera19.png

Dans ce grand monde tout emmêlé,
Où parfois les gens sont hostiles,
Je lis des choses qui font pleurer,
Mais toi, tu as redonner un sourire a mon âme.

Je ne sais pas pourquoi ni comment,
Juste avec quelques mots,
Tu as effacé dans mon esprit
Tout ce qui me ronge et tout ce qui blesse.

Quand les vilains lancent des épines,
Tu arrives, tout doucement,
Comme un oiseau qui chante partout,
Avec des mots bienveillants.

Je ne te connais pas vraiment,
Mais tes phrases font fleurir mon couer,
Tu sais, c’est rare, ces moments
Où l’on oublie un peu la peur.

Le 12 octobre 2024 à 23:05:41 :

Le 12 octobre 2024 à 23:04:30 :

Le 12 octobre 2024 à 23:04:11 :
Le soleil se lève sur la ville est naturel et la sélection.

https://voca.ro/1hTWGnnUt44h

Bordel Kheys tu sur-joue trop c'est cringe de fou.
https://image.noelshack.com/fichiers/2024/10/5/1709918640-pfiou-la-vie-est-dure.png

cest pas lui cest la voix dun film

Le 12 octobre 2024 à 23:07:17 :
" Je wear ma chastity cage en attendant que ma domina me pegg violement "https://image.noelshack.com/fichiers/2021/15/7/1618708728-menhera19.png

https://voca.ro/1gYPBv1eL5UA

Le 12 octobre 2024 à 23:07:35 :
Dans ce grand monde tout emmêlé,
Où parfois les gens sont hostiles,
Je lis des choses qui font pleurer,
Mais toi, tu as redonner un sourire a mon âme.

Je ne sais pas pourquoi ni comment,
Juste avec quelques mots,
Tu as effacé dans mon esprit
Tout ce qui me ronge et tout ce qui blesse.

Quand les vilains lancent des épines,
Tu arrives, tout doucement,
Comme un oiseau qui chante partout,
Avec des mots bienveillants.

Je ne te connais pas vraiment,
Mais tes phrases font fleurir mon couer,
Tu sais, c’est rare, ces moments
Où l’on oublie un peu la peur.

https://voca.ro/184W4prCld5w

Mon Dieu, que je suis belle

English is a terrible language. As soon as I hear an English, an American or even a stranger trying to communicate with me in English I try my best not to laugh and hold my breath.
I mean listen to me, do I sound like a normal person, even a human being at all?
Seriously, I could jump in a duck breeding pen and start a conversation with my fellow cackling siblings right in, no one would find it out of place.

Qwack Qwack Qwack I'm out.

"Moi, Giorno Giovanna j'ai un rêve..."

il été une fois un petit nuage tout blanc qui flotter dans le cel' il aimait rerarder la terre en desous de lui mais il se senter souvent seul' un jour, une plui douce commença a tomber et le petit nuage pleura de tristesse

soudain un manifique arche en ciel apparut à coté de lui "ne sois pas trise, petit nuage", dit l'arche en ciel "tes larmes permette aux fleurs de pousser et au arabres de grandir"

le petit nuage sourit et comprit qu'il n'etait jamais seul' yhaque fois qui pleurait, queque chose de beau naissait sur la terre

et depuis ce jour, yhaque fois qui pleut, un arche en ciel vient réconforter le petit nuage pour lui rappeler qu'il apporte de la vie au monde

fin

Coup de foudre - coup de foutre !

Le 12 octobre 2024 à 23:11:20 :
Mon Dieu, que je suis belle

https://voca.ro/1goBKOOa5ei7

Le 12 octobre 2024 à 23:10:39 :

Le 12 octobre 2024 à 23:07:35 :
Dans ce grand monde tout emmêlé,
Où parfois les gens sont hostiles,
Je lis des choses qui font pleurer,
Mais toi, tu as redonner un sourire a mon âme.

Je ne sais pas pourquoi ni comment,
Juste avec quelques mots,
Tu as effacé dans mon esprit
Tout ce qui me ronge et tout ce qui blesse.

Quand les vilains lancent des épines,
Tu arrives, tout doucement,
Comme un oiseau qui chante partout,
Avec des mots bienveillants.

Je ne te connais pas vraiment,
Mais tes phrases font fleurir mon couer,
Tu sais, c’est rare, ces moments
Où l’on oublie un peu la peur.

https://voca.ro/184W4prCld5w

Le 12 octobre 2024 à 23:11:51 :
English is a terrible language. As soon as I hear an English, an American or even a stranger trying to communicate with me in English I try my best not to laugh and hold my breath.
I mean listen to me, do I sound like a normal person, even a human being at all?
Seriously, I could jump in a duck breeding pen and start a conversation with my fellow cackling siblings right in, no one would find it out of place.

Qwack Qwack Qwack I'm out.

https://voca.ro/1mYUSJAma4J8

La tristesse du diable ;

Silencieux, les poings aux dents, le dos ployé,
Enveloppé du noir manteau de ses deux ailes,
Sur un pic hérissé de neiges éternelles,
Une nuit, s'arrêta l'antique Foudroyé.

La terre prolongeait en bas, immense et sombre.
Les continents battus par la houle des mers ;
Au-dessus flamboyait le ciel plein d'univers ;
Mais Lui ne regardait que l'abîme de l'ombre.

Il était là, dardant ses yeux ensanglantés
Dans ce gouffre où la vie amasse ses tempêtes,
Où le fourmillement des hommes et des bêtes
Pullule sous le vol des siècles irrités.

Il entendait monter les hosannas serviles,
Le cri des égorgeurs, les Te Deum des rois,
L'appel désespéré des nations en croix
Et des justes râlant sur le fumier des villes.

Ce lugubre concert du mal universel,
Aussi vieux que le monde et que la race humaine,
Plus fort, plus acharné, plus ardent que sa haine,
Tourbillonnait autour du sinistre Immortel.

Il remonta d'un bond vers les temps insondables
Où sa gloire allumait le céleste matin,
Et, devant la stupide horreur de son destin,
Un grand frisson courut dans ses reins formidables.

Et se tordant les bras, et crispant ses orteils,
Lui, le premier rêveur, la plus vieille victime,
Il cria par delà l'immensité sublime
Où déferle en brûlant l'écume des soleils :

- Les monotones jours, comme une horrible pluie,
S'amassent, sans l'emplir, dans mon éternité ;
Force, orgueil, désespoir, tout n'est que vanité ;
Et la fureur me pèse, et le combat m'ennuie.

Presque autant que l'amour la haine m'a menti :
J'ai bu toute la mer des larmes infécondes.
Tombez, écrasez-moi, foudres, monceaux des mondes !
Dans le sommeil sacré que je sois englouti !

Et les lâches heureux, et les races damnées,
Par l'espace éclatant qui n'a ni fond ni bord,
Entendront une Voix disant : Satan est mort !
Et ce sera ta fin, Oeuvre des six Journées !