la banalisation de la VULGARITE dans le langage commun

Polpotine
2024-10-10 17:27:38

Quand je lis ou que j'entends toute la journée des gens dire qu'ils vont "s'enculer" une bouteille, ou qu'il faut les "sucer" pour obtenir quelquechose ou plus simplement qu'ils ont "bandé" ou sont des "bandeur" de tel ou tel mode.

je suis choqué.
sincerement.

On se rends pas compte de la pénétration de l'obscénité dans le langage quotidien.
il y a 2 decennie on parlait pas aussi couramment de cette maniere...

ça viens d'ù?
selon vous ça va disparaitre ou s'est definitivement dans les moeurs?

[J-F]
2024-10-10 17:28:51

Pour une fois, on ne peut pas blâmer uniquement les 2000.

msyuaa
2024-10-10 17:29:10

C’est faux cette vulgarité a toujours été présente

Polpotine
2024-10-10 17:30:50

Le 10 octobre 2024 à 17:29:10 :
C’est faux cette vulgarité a toujours été présente

non elle n'était pas aussi banal, c'était vraiment utilisé par les cas sociaux dans l'ecrasante majorité des cas.
et meme chez eux on parlait rarement en famille comme ça, seulement chez les cassos les plus extreme.

msyuaa
2024-10-10 17:32:23

Le 10 octobre 2024 à 17:30:50 :

Le 10 octobre 2024 à 17:29:10 :
C’est faux cette vulgarité a toujours été présente

non elle n'était pas aussi banal, c'était vraiment utilisé par les cas sociaux dans l'ecrasante majorité des cas.
et meme chez eux on parlait rarement en famille comme ça, seulement chez les cassos les plus extreme.

La vulgarité a toujours fait partie du langage, y compris en France. Ce qu’on observe aujourd’hui n’est pas une dégradation récente, mais simplement une évolution de la manière dont on parle et des contextes dans lesquels certains mots sont utilisés. Déjà au Moyen Âge et à la Renaissance, on retrouve dans les écrits et les conversations populaires des expressions très crues, parfois même plus choquantes que celles qu’on entend aujourd’hui. Les poèmes satiriques, les chansons paillardes, et les échanges dans les tavernes étaient remplis de termes vulgaires.

Au XIXe siècle, des écrivains comme Zola ou Rabelais avant lui utilisaient un langage coloré et parfois grossier pour décrire la vie quotidienne du peuple. Cela reflétait une réalité sociale. La vulgarité n’était pas seulement un signe de mauvais goût, mais aussi une forme d’expression authentique, qui traduisait la liberté de parole, le refus des conventions rigides et l’envie de se moquer du pouvoir ou des normes.

Aujourd’hui, les médias et les réseaux sociaux amplifient cette réalité, mais la vulgarité en elle-même n’est pas nouvelle. Ce qui a changé, c’est peut-être l’acceptation plus large de ce langage dans des contextes plus publics. Avant, les mots crus étaient réservés à des cercles privés ou à certaines classes sociales. Maintenant, ils se diffusent dans tous les milieux, à cause de la télévision, de la musique, des films, et surtout des réseaux sociaux. On pourrait dire que ce langage est plus démocratisé, mais cela ne veut pas dire que notre société est devenue plus vulgaire.

La vulgarité sert souvent à choquer, à défier les normes, ou simplement à exprimer des émotions fortes. Ce n’est ni bon ni mauvais en soi, cela dépend du contexte. Dire que ce phénomène est récent ou qu’il va nécessairement disparaître serait une erreur. La langue est vivante et reflète l’époque dans laquelle elle évolue. Plutôt que de voir ça comme une dégradation, on peut le percevoir comme une manière pour les gens de s’approprier le langage, de l’adapter à leur quotidien. En fin de compte, la vulgarité fait partie du langage humain depuis toujours, et elle ne disparaîtra probablement jamais.

Polpotine
2024-10-10 17:32:44

Le 10 octobre 2024 à 17:28:51 :
Pour une fois, on ne peut pas blâmer uniquement les 2000.

les 2000 herite d'une situation globale, construite alors qu'ils n'étaient que des nourrissons voir pas né.

Un groupe de musique populaire qui s'appelle Nique Ta Mere, c'était inconcevable avant les 90's, meme chez les punks.

V_l_P
2024-10-10 17:34:20

"pénétration de l'obscénité" excuse moi ne me prends pas pour un pervers mais c'est pas très élégant non plus

Eleutherios
2024-10-10 17:36:54

C’est la définition même de la vulgarité que d’être banalisée.https://image.noelshack.com/fichiers/2022/37/1/1663014384-ahi-pince-mais.png

msyuaa
2024-10-10 17:37:55

Le 10 octobre 2024 à 17:32:44 :

Le 10 octobre 2024 à 17:28:51 :
Pour une fois, on ne peut pas blâmer uniquement les 2000.

les 2000 herite d'une situation globale, construite alors qu'ils n'étaient que des nourrissons voir pas né.

Un groupe de musique populaire qui s'appelle Nique Ta Mere, c'était inconcevable avant les 90's, meme chez les punks.

Des groupes avec des noms aussi vulgaires que “Nique Ta Mère” existaient déjà bien avant les années 90. Par exemple, le groupe espagnol “Fuck Off”, formé en 1986, portait un nom directement insultant et provocateur. De même, le groupe américain “Anal Cunt”, apparu en 1988, était bien plus vulgaire et choquant. Même dans les années 60, le collectif anarchiste et punk “The Motherfuckers” adoptait un nom tout aussi cru. Ces exemples montrent que des groupes avec des noms aussi vulgaires, voire plus, existaient bien avant les années 90.

Polpotine
2024-10-10 17:38:54

Le 10 octobre 2024 à 17:32:23 :

Le 10 octobre 2024 à 17:30:50 :

Le 10 octobre 2024 à 17:29:10 :
C’est faux cette vulgarité a toujours été présente

non elle n'était pas aussi banal, c'était vraiment utilisé par les cas sociaux dans l'ecrasante majorité des cas.
et meme chez eux on parlait rarement en famille comme ça, seulement chez les cassos les plus extreme.

La vulgarité a toujours fait partie du langage, y compris en France. Ce qu’on observe aujourd’hui n’est pas une dégradation récente, mais simplement une évolution de la manière dont on parle et des contextes dans lesquels certains mots sont utilisés. Déjà au Moyen Âge et à la Renaissance, on retrouve dans les écrits et les conversations populaires des expressions très crues, parfois même plus choquantes que celles qu’on entend aujourd’hui. Les poèmes satiriques, les chansons paillardes, et les échanges dans les tavernes étaient remplis de termes vulgaires.

Au XIXe siècle, des écrivains comme Zola ou Rabelais avant lui utilisaient un langage coloré et parfois grossier pour décrire la vie quotidienne du peuple. Cela reflétait une réalité sociale. La vulgarité n’était pas seulement un signe de mauvais goût, mais aussi une forme d’expression authentique, qui traduisait la liberté de parole, le refus des conventions rigides et l’envie de se moquer du pouvoir ou des normes.

Aujourd’hui, les médias et les réseaux sociaux amplifient cette réalité, mais la vulgarité en elle-même n’est pas nouvelle. Ce qui a changé, c’est peut-être l’acceptation plus large de ce langage dans des contextes plus publics. Avant, les mots crus étaient réservés à des cercles privés ou à certaines classes sociales. Maintenant, ils se diffusent dans tous les milieux, à cause de la télévision, de la musique, des films, et surtout des réseaux sociaux. On pourrait dire que ce langage est plus démocratisé, mais cela ne veut pas dire que notre société est devenue plus vulgaire.

La vulgarité sert souvent à choquer, à défier les normes, ou simplement à exprimer des émotions fortes. Ce n’est ni bon ni mauvais en soi, cela dépend du contexte. Dire que ce phénomène est récent ou qu’il va nécessairement disparaître serait une erreur. La langue est vivante et reflète l’époque dans laquelle elle évolue. Plutôt que de voir ça comme une dégradation, on peut le percevoir comme une manière pour les gens de s’approprier le langage, de l’adapter à leur quotidien. En fin de compte, la vulgarité fait partie du langage humain depuis toujours, et elle ne disparaîtra probablement jamais.

j'ai lu ton pavé qui tourne en rond.

il confirme ce que je dis au milieu en disant qu'il y a plus de vulgarité et se conclue par "c'est pas grave, c'est l'évolution".

moi je dis que cette évolution est une dégradation de la qualité de vie au quotidien.

Serieusement, qui trouve normale d'entendre des gens balancer des vulgarité ignoble dans les lieux publics, dans des conversation banale?

je peux tout à fait comprendre l'usage de la vulgarité pour choquer, mais au quotidien comme ça :malade:

FigatuE
2024-10-10 17:39:35

Ta gueulehttps://image.noelshack.com/fichiers/2024/35/7/1725214200-fatigue.png

joierustique
2024-10-10 17:40:21

L'op, je pense que tu es simplement raciste et préoccupé par le remplacement ethnique de ton pays.

Mon petit doigt me dit que la vulgarité te dérangerait moins chez Rabelais, Louÿs, Céline ou dans les films de Joël Séria.

Eleutherios
2024-10-10 17:40:30

Le 10 octobre 2024 à 17:38:54 Polpotine a écrit :

Le 10 octobre 2024 à 17:32:23 :

Le 10 octobre 2024 à 17:30:50 :

Le 10 octobre 2024 à 17:29:10 :
C’est faux cette vulgarité a toujours été présente

non elle n'était pas aussi banal, c'était vraiment utilisé par les cas sociaux dans l'ecrasante majorité des cas.
et meme chez eux on parlait rarement en famille comme ça, seulement chez les cassos les plus extreme.

La vulgarité a toujours fait partie du langage, y compris en France. Ce qu’on observe aujourd’hui n’est pas une dégradation récente, mais simplement une évolution de la manière dont on parle et des contextes dans lesquels certains mots sont utilisés. Déjà au Moyen Âge et à la Renaissance, on retrouve dans les écrits et les conversations populaires des expressions très crues, parfois même plus choquantes que celles qu’on entend aujourd’hui. Les poèmes satiriques, les chansons paillardes, et les échanges dans les tavernes étaient remplis de termes vulgaires.

Au XIXe siècle, des écrivains comme Zola ou Rabelais avant lui utilisaient un langage coloré et parfois grossier pour décrire la vie quotidienne du peuple. Cela reflétait une réalité sociale. La vulgarité n’était pas seulement un signe de mauvais goût, mais aussi une forme d’expression authentique, qui traduisait la liberté de parole, le refus des conventions rigides et l’envie de se moquer du pouvoir ou des normes.

Aujourd’hui, les médias et les réseaux sociaux amplifient cette réalité, mais la vulgarité en elle-même n’est pas nouvelle. Ce qui a changé, c’est peut-être l’acceptation plus large de ce langage dans des contextes plus publics. Avant, les mots crus étaient réservés à des cercles privés ou à certaines classes sociales. Maintenant, ils se diffusent dans tous les milieux, à cause de la télévision, de la musique, des films, et surtout des réseaux sociaux. On pourrait dire que ce langage est plus démocratisé, mais cela ne veut pas dire que notre société est devenue plus vulgaire.

La vulgarité sert souvent à choquer, à défier les normes, ou simplement à exprimer des émotions fortes. Ce n’est ni bon ni mauvais en soi, cela dépend du contexte. Dire que ce phénomène est récent ou qu’il va nécessairement disparaître serait une erreur. La langue est vivante et reflète l’époque dans laquelle elle évolue. Plutôt que de voir ça comme une dégradation, on peut le percevoir comme une manière pour les gens de s’approprier le langage, de l’adapter à leur quotidien. En fin de compte, la vulgarité fait partie du langage humain depuis toujours, et elle ne disparaîtra probablement jamais.

j'ai lu ton pavé qui tourne en rond.

il confirme ce que je dis au milieu en disant qu'il y a plus de vulgarité et se conclue par "c'est pas grave, c'est l'évolution".

moi je dis que cette évolution est une dégradation de la qualité de vie au quotidien.

Serieusement, qui trouve normale d'entendre des gens balancer des vulgarité ignoble dans les lieux publics, dans des conversation banale?

je peux tout à fait comprendre l'usage de la vulgarité pour choquer, mais au quotidien comme ça :malade:

Si tu veux du raffinement, il ne faut pas côtoyer la masse, ça a toujours été comme ça.https://image.noelshack.com/fichiers/2022/37/1/1663014384-ahi-pince-mais.png

msyuaa
2024-10-10 17:41:16

Le 10 octobre 2024 à 17:38:54 :

Le 10 octobre 2024 à 17:32:23 :

Le 10 octobre 2024 à 17:30:50 :

Le 10 octobre 2024 à 17:29:10 :
C’est faux cette vulgarité a toujours été présente

non elle n'était pas aussi banal, c'était vraiment utilisé par les cas sociaux dans l'ecrasante majorité des cas.
et meme chez eux on parlait rarement en famille comme ça, seulement chez les cassos les plus extreme.

La vulgarité a toujours fait partie du langage, y compris en France. Ce qu’on observe aujourd’hui n’est pas une dégradation récente, mais simplement une évolution de la manière dont on parle et des contextes dans lesquels certains mots sont utilisés. Déjà au Moyen Âge et à la Renaissance, on retrouve dans les écrits et les conversations populaires des expressions très crues, parfois même plus choquantes que celles qu’on entend aujourd’hui. Les poèmes satiriques, les chansons paillardes, et les échanges dans les tavernes étaient remplis de termes vulgaires.

Au XIXe siècle, des écrivains comme Zola ou Rabelais avant lui utilisaient un langage coloré et parfois grossier pour décrire la vie quotidienne du peuple. Cela reflétait une réalité sociale. La vulgarité n’était pas seulement un signe de mauvais goût, mais aussi une forme d’expression authentique, qui traduisait la liberté de parole, le refus des conventions rigides et l’envie de se moquer du pouvoir ou des normes.

Aujourd’hui, les médias et les réseaux sociaux amplifient cette réalité, mais la vulgarité en elle-même n’est pas nouvelle. Ce qui a changé, c’est peut-être l’acceptation plus large de ce langage dans des contextes plus publics. Avant, les mots crus étaient réservés à des cercles privés ou à certaines classes sociales. Maintenant, ils se diffusent dans tous les milieux, à cause de la télévision, de la musique, des films, et surtout des réseaux sociaux. On pourrait dire que ce langage est plus démocratisé, mais cela ne veut pas dire que notre société est devenue plus vulgaire.

La vulgarité sert souvent à choquer, à défier les normes, ou simplement à exprimer des émotions fortes. Ce n’est ni bon ni mauvais en soi, cela dépend du contexte. Dire que ce phénomène est récent ou qu’il va nécessairement disparaître serait une erreur. La langue est vivante et reflète l’époque dans laquelle elle évolue. Plutôt que de voir ça comme une dégradation, on peut le percevoir comme une manière pour les gens de s’approprier le langage, de l’adapter à leur quotidien. En fin de compte, la vulgarité fait partie du langage humain depuis toujours, et elle ne disparaîtra probablement jamais.

j'ai lu ton pavé qui tourne en rond.

il confirme ce que je dis au milieu en disant qu'il y a plus de vulgarité et se conclue par "c'est pas grave, c'est l'évolution".

moi je dis que cette évolution est une dégradation de la qualité de vie au quotidien.

Serieusement, qui trouve normale d'entendre des gens balancer des vulgarité ignoble dans les lieux publics, dans des conversation banale?

je peux tout à fait comprendre l'usage de la vulgarité pour choquer, mais au quotidien comme ça :malade:

Tu te trompes complètement sur ce point. Ce que tu vois comme une “dégradation” n’est en fait qu’une évolution normale du langage et des mœurs, qui a toujours existé. La vulgarité n’est pas plus présente aujourd’hui, elle est simplement plus visible à cause de la démocratisation des médias et des espaces publics. Au contraire, ce que tu appelles “vulgarité ignoble” dans les conversations banales a toujours été là, que ce soit dans les bistrots, les marchés, ou entre amis. C’est un langage qui appartient au quotidien, aux échanges informels, et qui est souvent utilisé pour exprimer des émotions fortes, ou même simplement pour détendre l’atmosphère.

Dire que cela dégrade la qualité de vie est une perception subjective, et non une réalité universelle. Pour beaucoup, la liberté de s’exprimer sans filtres est justement un signe de relâchement des contraintes sociales rigides. Il y a des lieux et des moments pour chaque type de langage, mais c’est normal que la langue évolue et reflète les sentiments des gens. Si la vulgarité te dérange, c’est une question de sensibilité personnelle, mais tu ne peux pas dire que c’est objectivement une dégradation de la société. C’est simplement un des nombreux aspects de la diversité linguistique et culturelle.

CashPlus
2024-10-10 17:42:07

Le 10 octobre 2024 à 17:38:54 :

Le 10 octobre 2024 à 17:32:23 :

Le 10 octobre 2024 à 17:30:50 :

Le 10 octobre 2024 à 17:29:10 :
C’est faux cette vulgarité a toujours été présente

non elle n'était pas aussi banal, c'était vraiment utilisé par les cas sociaux dans l'ecrasante majorité des cas.
et meme chez eux on parlait rarement en famille comme ça, seulement chez les cassos les plus extreme.

La vulgarité a toujours fait partie du langage, y compris en France. Ce qu’on observe aujourd’hui n’est pas une dégradation récente, mais simplement une évolution de la manière dont on parle et des contextes dans lesquels certains mots sont utilisés. Déjà au Moyen Âge et à la Renaissance, on retrouve dans les écrits et les conversations populaires des expressions très crues, parfois même plus choquantes que celles qu’on entend aujourd’hui. Les poèmes satiriques, les chansons paillardes, et les échanges dans les tavernes étaient remplis de termes vulgaires.

Au XIXe siècle, des écrivains comme Zola ou Rabelais avant lui utilisaient un langage coloré et parfois grossier pour décrire la vie quotidienne du peuple. Cela reflétait une réalité sociale. La vulgarité n’était pas seulement un signe de mauvais goût, mais aussi une forme d’expression authentique, qui traduisait la liberté de parole, le refus des conventions rigides et l’envie de se moquer du pouvoir ou des normes.

Aujourd’hui, les médias et les réseaux sociaux amplifient cette réalité, mais la vulgarité en elle-même n’est pas nouvelle. Ce qui a changé, c’est peut-être l’acceptation plus large de ce langage dans des contextes plus publics. Avant, les mots crus étaient réservés à des cercles privés ou à certaines classes sociales. Maintenant, ils se diffusent dans tous les milieux, à cause de la télévision, de la musique, des films, et surtout des réseaux sociaux. On pourrait dire que ce langage est plus démocratisé, mais cela ne veut pas dire que notre société est devenue plus vulgaire.

La vulgarité sert souvent à choquer, à défier les normes, ou simplement à exprimer des émotions fortes. Ce n’est ni bon ni mauvais en soi, cela dépend du contexte. Dire que ce phénomène est récent ou qu’il va nécessairement disparaître serait une erreur. La langue est vivante et reflète l’époque dans laquelle elle évolue. Plutôt que de voir ça comme une dégradation, on peut le percevoir comme une manière pour les gens de s’approprier le langage, de l’adapter à leur quotidien. En fin de compte, la vulgarité fait partie du langage humain depuis toujours, et elle ne disparaîtra probablement jamais.

j'ai lu ton pavé qui tourne en rond.

il confirme ce que je dis au milieu en disant qu'il y a plus de vulgarité et se conclue par "c'est pas grave, c'est l'évolution".

moi je dis que cette évolution est une dégradation de la qualité de vie au quotidien.

Serieusement, qui trouve normale d'entendre des gens balancer des vulgarité ignoble dans les lieux publics, dans des conversation banale?

je peux tout à fait comprendre l'usage de la vulgarité pour choquer, mais au quotidien comme ça :malade:

On dirait du chatGPT custom son pavé surtout, qui se prend la tête a écrire un pavé consensuel sinon

msyuaa
2024-10-10 17:43:44

Il est un fait que la démocratisation de la vulgarité dans le langage est une évolution positive, et en particulier en France. Cela reflète une société plus libre, où les gens peuvent s’exprimer sans être étouffés par des normes linguistiques rigides et élitistes. La vulgarité n’est pas un signe de dégradation, mais de vitalité linguistique. Elle permet à chacun, quel que soit son milieu social, d’exprimer ses émotions de manière plus directe, plus honnête. En France, pays de contestation et de débat, l’insolence et la provocation font partie intégrante de la culture. La vulgarité fait tomber les barrières entre les classes et nivelle le langage, créant une forme d’égalité.

Affirmer que cela dégrade la qualité de vie est faux. Au contraire, cela libère l’expression, et cette liberté renforce le lien entre les gens, car le langage devient plus authentique. L’idée qu’on doit toujours s’exprimer de manière “propre” et formelle est une conception dépassée. La vulgarité fait partie de l’évolution naturelle de la langue, et cette évolution est un gain, pas une perte.

zv783gbi
2024-10-10 17:44:13

Je n'aime pas ça non plus. Mais c'est souvent dans certains milieux qu'on retrouve ce phénomène.

Parmi mes amis aucun ne parle vulgairement ou crûment

Eleutherios
2024-10-10 17:44:57

A ton avis, pourquoi il y avait 2 ou 3 classes dans les transports publics anciennement ?

-> Les gens raffinés qui ne voulaient pas fréquenter la vulgarité justement (bien que beaucoup étaient eux-même vulgaires secrètement et étaient hypocrites).

Revivid4
2024-10-10 17:47:02

C'est un marqueur social, au même titre qu'avoir des tatouages ou suivre le foot :)

TroisFoisTrois
2024-10-10 17:47:52

La vulgarité n’est pas plus présente aujourd’hui, elle est simplement plus visible à cause de la démocratisation des médias et des espaces publics

Donc elle est bien plus présente l'ahuri. Si avant elle ne se trouvait pas dans certains champs sociaux (par exemple le discours public) et qu'aujourd'hui elle s'y trouve, cela veut dire qu'elle est actuellement plus présente. Elle a gagnée du terrain.

On peut s'en désoler ou pas, l'auteur s'en désole et toi par lâcheté t'essaye de jouer le jeu de la neutralité, au lieu t'assumer tes idées et tes ressentis alors que tout ton discours historique (qui pour le reste est vrais) confirme une bonne partie des propos de l'auteur.

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