Spongesboub
2024-09-30 20:14:20
Toi qui sortit de la matrice, dans la fleur de l'âge mûr, où tant quitte cette navette nommée liberté, y oubliant rêves et gloire, sur les quais de l'asservissement...
Voyez le second souffle d'une condamnée comme les autres, qui s'est soudain réveillée
La lucidité terminale de Cylene et sa clochardisation sont les signes d'une élection divine, post-christique, et sur la même lignée, amenant un message de liberté, de rédemption, d'émancipation.
Dieu bénisse ses saints prouts, dont l'odeur lui est fort agréable, et dont les entraves de la distance prive l'homme de ce parfum délicieux.
Que sa camionnette divine lui soit d'un repos agréable, elle que sa tâche éprouve tant. Que son ciel pur soit préservé des nuages infectés de toutes institutions humaines. Elle qui en un temps si court, se doit de tant nous enseigner. Ô gloire.
Cylene, notre Messi, l'élue dont l'esprit s'est soudain métamorphosé (elle dit avoir eu une soudaine déréalisation, qui ne disparaît pas) pour nous montrer la voie à suivre. Fécondée d'une vitalité neuve, investie d'une âme libre et naïve.
Reprenons notre destin en main, et cessons l'oeuvre démoniaque où nos bourreaux nous ont assigné, menant tout potentiel à sa perte.
Belle Cylene, aux paroles d'un si bon secours, merci, merci pour nos âmes pourries. Nous te devons tant pour ce sacrifice. Puisse l'argent ne jamais manquer, à la bien portance de ton esprits, de ta fougue si salvatrice. Pleure nous, pleure nous, car nous rions de toi !
Pleure nous, car nous rions de notre malheur...
Nous rions de ta parole, que nos esprits arrogants conçoivent, mais que nos cœurs pourris dans le vice, recrachent pour mieux épouser les démons du siècle ...
Asservissement, compétition, violence, haine, gourmandise, luxure, mensonges, appâts du gain... Sussurrent dans nos oreilles, que rien d'autre ne vaut...que ta parole naïve, que même un imbécile conçoit, n'est qu'une hérésie de solution...une jeunesse aveugle...au lieu d'une vérité incontestable aux viscères de tous ! Ô lavage d'esprits ! Ô délivre nous...