0_Everything_2
2024-10-07 18:49:51
Je travaille à un livre qui occupe ma tête depuis près de 3 ans : des certitudes acquises par l'expérience et l'observation, que je dois faire sortir de moi.
Un ouvrage dans lequel j'expliquerai pourquoi le natalisme est une ligne politique, et peut-être la plus puissante de toutes.
Si je me contentais d'y affirmer qu'"il faut faire des enfants", par devoir citoyen ou par militantisme, ça ne mériterait pas d'être développé dans un bouquin entier.
Je veux donner la fièvre nataliste à mes lecteurs, changer l'idée que les hommes célibataires et les nullipares (femmes sans enfants) se font du rôle de parent.
De nos jours, personne n'évoque les raisons INDIVIDUELLES, LIBÉRALES, RACISTES et DIONYSIAQUES de remplir le monde de nos gènes.
Personne ne rappelle qu'ensemencer est le plaisir du mâle, sa fierté narcissique, le cri du sexe face aux ténèbres.
Oubliez les leçons moralisatrices, les bondieuseries peu convaincantes pour qui n'a pas la foi, le "réarmement démographique" d'un Macron infertile, les statistiques démographiques de continents remplis d'idiots.
C'est pour vous et vous seuls, que vous devez enfanter.
Devenir père est le sommet de la masculinité, comme le sens charnel et profond de la vie d'une femme.
La dénatalité EST la décadence. Elle n'en est pas qu'un symptôme, elle en est à la fois La Cause et La Conséquence.
J'expliquerai aussi pourquoi la philosophie de la Croissance et le natalisme sont intrinsèquement liés. La majuscule sur le "C" est intentionnelle. C'est un mot magnifique.
On ne peut pas désirer davantage d'enfants européens et moins de production humaine. L'énergie est partout, il suffit d'aller la chercher. Nous ne manquons et nous ne manquerons de rien.
Les partisans de la frugalité sont des charlots qui ne peuvent connaître le succès que dans un Occident fragilisé où l'obsession depuis 1945 est de ne pas "gêner les autres".
Ce n'est pas du tout mon avis.
En vivant très fort, on gêne ceux qui vivent moins intensément. Tant pis pour eux !
Les Blancs risquent de perdre le contrôle du monde en refusant obstinément de le dominer.
Donner naissance est le résultat d'une volonté de puissance personnelle appliquée à la reproduction. C'est un effort vitaliste acharné pour survivre à notre propre mort.
Ce livre s'appellera "Vers un natalisme dionysiaque" et j'espère que vous aurez la curiosité de le commander.