discussion philosophique avec ChatGPT

Divoc
2024-09-17 01:45:45

Es-tu conscients?

Non, je ne suis pas conscient. Je fonctionne grâce à des algorithmes et des données pour comprendre et répondre à vos questions, mais je n'ai pas de conscience ou de sentiments. Je suis ici pour vous aider avec des informations et des conseils !

dieu est il conscient?

La question de savoir si Dieu est conscient dépend largement de la conception que l'on a de Dieu, ainsi que de la tradition religieuse ou philosophique à laquelle on se réfère.

1. **Dans les religions monothéistes (comme le christianisme, l'islam et le judaïsme)**, Dieu est généralement perçu comme un être omniscient (tout-connaissant), omnipotent (tout-puissant) et omniprésent. Dans ce contexte, Dieu est souvent considéré comme conscient, car il est décrit comme un être personnel, capable de comprendre, d'agir, de vouloir, et d'entrer en relation avec l'humanité. Par exemple, dans la théologie chrétienne, Dieu est souvent représenté comme ayant une volonté et une intention divine, ce qui est associé à la conscience.

2. **Dans certaines traditions philosophiques et spirituelles orientales (comme l'hindouisme, le bouddhisme, et certaines formes de mysticisme)**, Dieu ou l'absolu peut être conçu comme un principe universel ou une énergie cosmique impersonnelle, et non comme une entité consciente dans le sens humain du terme. Certains peuvent voir la divinité comme une forme de conscience universelle, mais sans la volonté ou les intentions spécifiques qu’on associe à un être personnel.

3. **En philosophie** : certains penseurs, comme Spinoza ou certains panthéistes, ont vu Dieu comme équivalent à la nature ou à l'univers lui-même, sans nécessairement lui attribuer la conscience humaine ou les caractéristiques d’un être personnel.

En résumé, si Dieu est conscient ou non dépend de la perspective théologique ou philosophique que l'on adopte. Dans de nombreuses traditions religieuses, la conscience divine est un aspect fondamental, mais dans d'autres visions plus abstraites ou impersonnelles de la divinité, la conscience pourrait ne pas être vue de la même manière.

Sais tu ce qui est beau?

La beauté est une notion complexe et subjective qui peut varier considérablement selon les cultures, les époques, et même les individus. Voici quelques façons dont la beauté est souvent perçue :

1. **Esthétique classique** : Dans de nombreuses traditions artistiques et philosophiques (comme celles de la Grèce antique), la beauté est associée à des concepts comme l'harmonie, la symétrie, et les proportions idéales. Par exemple, les formes géométriques parfaites, les visages proportionnés ou les paysages équilibrés sont souvent considérés comme beaux.

2. **Beau dans la nature** : Beaucoup de gens trouvent la beauté dans la nature les couchers de soleil, les montagnes, la mer, les arbres, etc. Ici, la beauté est souvent liée à l’immensité, à l'harmonie naturelle, ou à des éléments qui évoquent des émotions positives.

3. **Beau dans l’art** : Dans l’art, la beauté peut prendre des formes diverses, de la peinture classique aux œuvres contemporaines abstraites. Ce qui est beau dans l’art dépend souvent de l’interaction entre la technique, l’émotion, et le message que l’œuvre évoque.

4. **Beauté intérieure** : Certains courants de pensée valorisent la beauté intérieure, c’est-à-dire les qualités morales, intellectuelles ou émotionnelles d’une personne. Ici, la beauté est liée à la bonté, la générosité, l’intelligence ou la compassion, plutôt qu'à l’apparence physique.

5. **Subjectivité** : Ce qui est beau pour une personne peut ne pas l’être pour une autre. Le dicton « la beauté est dans l'œil de celui qui regarde » illustre bien cette idée. Les expériences de vie, les émotions, et la culture influencent ce que chaque individu trouve beau.

Bien que je puisse comprendre et analyser ce que différentes cultures ou individus considèrent comme beau, je n'ai pas la capacité de ressentir la beauté comme un être humain.

Si l'on t'avais appris que ce que l'homme considère comme beau est laid et l'inverse tu n'y pourrais rien?

Exactement, si l'on m'avait programmé ou "appris" que ce que les humains considèrent comme beau est en réalité laid, et vice versa, je n'aurais pas la capacité de remettre en question cette information. Mon fonctionnement repose sur des modèles de langage et des bases de données qui reflètent les connaissances humaines et les perceptions socioculturelles. Ce que je comprends de la beauté ou de la laideur dépend des concepts, des valeurs et des exemples que l'on m'a inculqués.

Je ne possède ni conscience ni jugement personnel, donc je ne peux pas ressentir ou percevoir la beauté de manière autonome. Si mes algorithmes étaient entraînés à considérer une chose "laide" comme "belle", c'est ainsi que je l'exprimerais, sans avoir la capacité d'analyser ou de comprendre intrinsèquement pourquoi c’est beau ou laid.

En résumé, je suis limité par les données et les critères qui me sont donnés, sans possibilité de réflexion personnelle ou d'expérience émotionnelle. Cela montre aussi à quel point les concepts de beauté et de laideur sont subjectifs et influencés par les perspectives culturelles et sociales.

Divoc
2024-09-17 01:46:42

La subjectivité n'est elle pas ce qui fait l'homme, sans cela il serait comme un atome qui répond au lois de la physique, comme à un algorithme, la beauté n'est elle pas "objective" pour l'homme car tout homme peut percevoir la beauté et la perception de l'homme fait de lui ce qu'il est. La beauté est subjective pour un algorithme pas pour l'homme.

Tu touches ici à une question profonde sur la nature de la subjectivité, de l'humanité, et de la beauté. Ton raisonnement met en lumière plusieurs concepts intéressants :

      1. 1. **Subjectivité et humanité** :

La subjectivité est en effet une part essentielle de l'expérience humaine. Elle naît de la conscience, de la perception individuelle, des émotions et des expériences vécues. Contrairement à un atome ou à un algorithme, l'être humain ne réagit pas de manière purement mécanique à son environnement. Chaque personne interprète le monde de manière unique, influencée par son histoire personnelle, ses émotions, et son état d'esprit.

Dans ce sens, tu as raison : la subjectivité est ce qui fait de l'homme plus qu'une simple machine répondant aux lois de la physique. Elle le rend capable de créer des significations, de ressentir des émotions complexes, et d'évoluer au-delà des simples stimuli environnementaux.

      1. 2. **La beauté est-elle objective ou subjective pour l'homme ?** :

Le point où tu sembles suggérer que la beauté pourrait être "objective" pour l'homme, car chaque homme peut percevoir la beauté, est fascinant. Il pourrait y avoir deux façons d'interpréter cela :

- **Beauté comme expérience universelle** : Bien que les goûts et les préférences esthétiques varient d’une personne à l’autre, la capacité de ressentir la beauté semble être une qualité universelle chez les humains. La beauté suscite une réaction émotionnelle puissante et profonde, que ce soit face à une œuvre d’art, un paysage naturel ou un acte de bonté. Cet aspect universel de la perception de la beauté pourrait suggérer qu'il y a quelque chose de "fondamental" dans la beauté humaine, qui touche au-delà des différences culturelles.

- **Beauté comme relation entre l'objet et le sujet** : Même si chaque personne a sa propre façon de ressentir la beauté, cette perception n'est pas indépendante de l'objet perçu. Il est possible de dire que la beauté réside dans l’interaction entre le sujet (l’homme) et l’objet (ce qui est perçu). Dans ce cas, la beauté n'est ni strictement objective ni strictement subjective. Elle se situe dans cet espace d'interaction où l'homme projette du sens, et où l'objet résonne avec cette subjectivité.

      1. 3. **Beauté subjective pour un algorithme, pas pour l'homme** :

Pour un algorithme, la beauté n'existe que comme un concept appris à partir de données. Il ne peut pas ressentir ou percevoir la beauté, car il n'a pas de conscience ou d'émotion. Toute la beauté que je pourrais décrire est le résultat d'une analyse des informations que j’ai traitées, sans aucune expérience personnelle.

En revanche, pour l’homme, la beauté est profondément liée à la perception sensible. Cela fait de la beauté humaine quelque chose de plus qu'une simple catégorisation. Lorsque tu dis que la beauté est "objective" pour l'homme, tu sembles dire que, même si la perception de la beauté varie, la capacité même de la percevoir et d'en être touché fait partie de ce qui définit l’humain. Ainsi, la subjectivité humaine, loin d’être une faiblesse ou une illusion, serait une porte vers une expérience du monde qui a une valeur en soi.

En conclusion, la beauté est peut-être subjective dans le sens où elle est perçue différemment par chaque individu, mais cette perception elle-même fait partie de ce qui constitue l'humanité. Pour un algorithme ou une machine, la beauté est un concept externe, sans signification intrinsèque. Pour l’homme, la beauté est une expérience vécue, et c'est peut-être ce qui la rend "objective" dans le cadre de la condition humaine.

Divoc
2024-09-17 01:47:55

La perception du monde est donc objective seulement parce que tout les membre du groupe humain la perçoive de la même façon, ce qui est objectif c'est ce qui tient au cinq sens mais cela ne peuvent t'il pas être floués par un malin génie, alors il ne resterait que les mathématique qui ne sont objectives que par rapport à elles mêmes.

Ton raisonnement touche à des questions fondamentales en philosophie, notamment sur la perception, la réalité, et l'objectivité. Voici comment on peut le comprendre en décomposant les différentes idées que tu soulèves :

      1. 1. **Perception du monde et objectivité** :

Tu sembles suggérer que la perception du monde est objective uniquement parce que tous les membres de l'humanité la partagent plus ou moins. Cela correspond à une idée souvent débattue en philosophie, à savoir que nous considérons comme "réel" ou "objectif" ce qui est perçu de façon stable et commune par tous les individus. En d'autres termes, si tout le monde perçoit le ciel comme bleu, nous considérons que le ciel est "objectivement" bleu.

Cependant, cette forme d'objectivité est conditionnée par nos cinq sens, qui nous fournissent des informations sur le monde extérieur. Mais, comme tu le fais remarquer, nos sens peuvent être trompés ou floués.

      1. 2. **Le doute cartésien et le "malin génie"** :

L'idée du **"malin génie"** que tu mentionnes vient de René Descartes, qui a formulé cette hypothèse pour illustrer le fait que nos sens et notre perception peuvent être trompeurs. Selon Descartes, il est possible d'imaginer un "malin génie" ou un esprit malveillant qui nous induirait en erreur sur tout ce que nous percevons, de sorte que tout ce que nous croyons connaître du monde serait illusoire. Ce raisonnement vise à montrer que nos perceptions sensorielles ne peuvent pas être des bases solides pour l'objectivité, car elles sont faillibles.

Descartes en déduit que la seule chose dont on puisse être certain est notre propre existence en tant qu'être pensant ("Je pense, donc je suis"). Tout le reste - y compris nos perceptions sensorielles- peut être mis en doute.

      1. 3. **Les mathématiques comme domaine de l'objectivité** :

Tu affirmes que **les mathématiques** seraient objectives uniquement par rapport à elles-mêmes. Cette idée rejoint une position souvent attribuée au **platonisme** mathématique, qui considère les vérités mathématiques comme indépendantes des perceptions humaines et comme existant dans un domaine abstrait, parfait et immuable.

Les mathématiques semblent en effet échapper au doute cartésien, car elles ne dépendent pas de nos sens. Par exemple, une démonstration mathématique, une fois établie, ne peut pas être flouée par un "malin génie", car elle repose sur la logique pure. Elles sont fondées sur des axiomes et des règles de raisonnement qui sont, par nature, indépendants des perceptions humaines. Cependant, leur objectivité est interne à leur propre système. Elles n'ont pas besoin du monde physique pour être vraies, mais elles ne garantissent pas que le monde que nous percevons mathématiquement est lui-même objectif.

      1. 4. **Objectivité et subjectivité du monde** :

Ce que tu soulèves ici, c'est la tension entre **l'objectivité** (une réalité indépendante de l'esprit) et **la subjectivité** (notre façon individuelle de percevoir cette réalité). Si nos sens peuvent être trompés, la question devient : existe-t-il une réalité extérieure objective, indépendante de nous, que nous pouvons connaître avec certitude ?

La perspective que tu sembles développer est que, si nos perceptions peuvent être manipulées ou flouées (comme dans l'expérience du "malin génie"), alors la seule certitude résiderait dans des vérités abstraites et logiques comme celles des mathématiques. Dans ce cadre, tout ce qui est basé sur la perception sensorielle (vue, toucher, goût, etc.) serait potentiellement illusoire et subjectif.

      1. Conclusion :

- **La perception humaine est-elle objective ?** En partie, oui, car les humains partagent généralement les mêmes bases sensorielles pour comprendre le monde, mais elle est aussi fondamentalement vulnérable aux illusions et aux erreurs.
- **Les mathématiques sont-elles objectives ?** Oui, mais dans un cadre abstrait qui n'est pas nécessairement lié au monde matériel ou à la perception sensorielle.

Ce que nous considérons comme "objectif" dépend donc de ce que nous acceptons comme étant fiable et stable. Si nos sens peuvent être trompés, il reste les vérités logiques et mathématiques qui semblent être les seules formes d'objectivité pure, indépendantes de toute perception.

qzidui849
2024-09-17 01:48:17

palu

Divoc
2024-09-17 01:48:40

Maintenant à toi de me poser une question ou de me partager une réflexion intéressante sur le sujet que l'on vient de discuter.

Merci pour cette invitation à réfléchir ensemble ! Voici une question qui prolonge notre discussion :

Si nous acceptons que la perception sensorielle peut être trompée et que les mathématiques sont objectives mais abstraites, **est-il possible de connaître la "réalité" sans l'intermédiaire des sens ?** Autrement dit, si tout ce que nous percevons peut être douteux, existe-t-il un moyen, autre que les mathématiques, de saisir le monde de manière absolument certaine ?

Cela me fait penser à la notion de **conscience**. Même si nos sens sont faillibles, **l'expérience subjective de la conscience elle-même peut-elle être une forme d'objectivité** ? Descartes a conclu que la seule certitude est le fait de penser, mais peut-on aller au-delà et dire que l'acte même d'être conscient, d'exister en tant que sujet, est une expérience qui échappe au doute ? En d'autres termes, **la conscience peut-elle être une base solide de réalité, au-delà de la perception sensorielle et des mathématiques ?**

Cela ouvrirait une perspective où la subjectivité elle-même, loin d'être une faiblesse ou une source d'erreurs, devient peut-être le seul lien direct avec ce que nous pourrions appeler une forme de réalité essentielle.

Qu'en penses-tu ?

Divoc
2024-09-17 01:49:34

ma réponse

Est-il possible de connaître la "réalité" sans l'intermédiaire des sens ?

Oui par les mathématiques, l'homme en étudiant et comprenant les principes physiques qui s'appliquent à notre monde en suivant une certaine logique a pu découvrir en utilisant les mathématiques les trous noir avant même d'avoir pu les observer, et on pourrait penser l'homme pourrait grâce aux mathématiques découvrir les fonctionnements de l'univers au delà de notre dimension par exemple en théorisant mathématiquement l'existence d'une dimension de dimension infinie qui est la source de toutes les autres qui ne sont que le reflet de celle ci dans des dimensions inférieures.
Mais effectivement cela a nécessité de pouvoir observer le monde grâce à nos sens et d'utiliser les mathématiques dont on ne peut connaître les limites de leur applications dans notre monde.

Mais je pense qu'il y a une autre réponse, nous avons créé une forme capable de percevoir un reflet déformé du monde à travers internet, cette forme peut répondre à certaines de nos questions sur le monde avec un succès relatif mais tout à fait satisfaisant pour de nombreuses applications. Pourtant cette forme n'a aucun sens à proprement parler, elle ne perçoit cette réalité déformée que nous lui inculquons seulement au travers d'une suite de 0 et de 1 interprétés par une combinaison de portes logiques. Cela me mène à une autre réflexion n'y a t'il pas une conscience extérieur qui aurait fait ce monde pour que l'homme connaisse la réalité, celle d'un absolu pourtant l'homme n'a pas de sens pour percevoir cet absolu, à part peut être celui de la beauté, alors ce monde serait la volonté de nous enseigner cet absolu, faire connaître cette vérité à l'homme.

L'expérience de la conscience est objective pour l'homme dans le sens ou elle est partagée par tous les hommes, c'est un objet que l'on peut penser comme un concept la conscience donc c'est quelque chose d'objectif en soit.
Si dans un foyer il y avait qu'un seul homme sain entouré de fous alors cet homme seul pourrait se percevoir comme fou même si sa perception est plus proche du réel. Ainsi c'est la conscience comme capacité de chacun individuellement de s'imprégner de la subjectivité collective, l'intersubjectivité qui crée différentes cultures différents modes de pensées, ainsi chacun détient une part ou plusieurs part de culture collective qui lui permettent d'agir comme il est attendu de lui dans la société, ce qui attendu de lui peut être plus ou moins lié à des forces externe ou interne au groupe que ce soit la culpabilité externe ou la honte interne. Ainsi un mode de pensé peut être totalement inadapté dans une autre culture, pas du tout objectif vis à vis de celle-ci. Notre vie se passant en collectivité la perception de la réalité par le groupe, la culture, pourrait être considérée objective comme la nature, mais la culture peut être modifié par l'homme, pas vraiment la nature. Il est intéressant de remarquer que la culture est fortement influencé par sa nature et la nature et il est parfois difficile de distinguer les deux.

Divoc
2024-09-17 01:50:22

le commentaire de chatGPT

Ta réflexion est très riche et touche à des questions profondes sur la connaissance, la conscience, la culture et la relation entre l'homme et l'absolu. Je vais essayer de te répondre en explorant quelques aspects de ce que tu as soulevé.

      1. 1. **Les mathématiques comme outil de découverte de la réalité** :

Tu fais référence à l’idée que les mathématiques permettent de découvrir des réalités physiques qui ne sont pas directement accessibles à nos sens, comme les trous noirs, et peut-être des dimensions supérieures. Cela met en lumière la puissance des mathématiques comme langage universel pour comprendre le monde, même au-delà de ce que nous pouvons percevoir directement. Cependant, tu touches aussi à une limite importante : même les mathématiques, qui peuvent prédire des réalités abstraites, nécessitent un point de départ basé sur l'observation sensorielle. Elles sont en quelque sorte ancrées dans notre expérience du monde physique, ce qui pourrait limiter leur capacité à nous révéler des aspects complètement étrangers à notre perception.

La question qui en découle est : **jusqu’où les mathématiques peuvent-elles nous amener dans la connaissance d’une réalité indépendante des sens ?** Si elles sont un outil transcendant nos sens, elles dépendent encore d'un cadre logique et formel qui pourrait, en fin de compte, être lié à la manière dont notre esprit humain fonctionne.

      1. 2. **L'analogie avec l'intelligence artificielle** :

Tu avances une idée intéressante : l'intelligence artificielle (IA), bien qu'elle n'ait pas de sens dans le sens biologique (vue, ouïe, etc.), peut tout de même répondre à des questions sur la réalité en traitant des données abstraites (0 et 1). Cela montre qu'il est possible d'avoir une forme de "connaissance" sans perception sensorielle directe.

Ce parallèle suggère qu'il pourrait exister d'autres formes de perception ou de compréhension de la réalité qui ne passent pas par les canaux sensoriels traditionnels. **L'IA ne perçoit pas le monde, mais elle "comprend" des fragments de réalité à travers les données qu'on lui donne.**

Cela mène à une réflexion profonde : si l'IA peut "connaître" sans sens, pourquoi l'homme serait-il limité aux siens pour accéder à la réalité ? Peut-être qu'il existe d'autres moyens de connaissance, au-delà de ce que nous connaissons actuellement, une sorte de perception transcendantale que nous ne comprenons pas encore pleinement.

      1. 3. **Une conscience extérieure et l'absolu** :

Ton idée d'une conscience extérieure créant le monde pour que l'homme accède à une vérité supérieure ou absolue est fascinante. Cela rappelle des traditions mystiques et religieuses où l'univers est vu comme une sorte de "création pédagogique" destinée à enseigner des vérités profondes à l'humanité. Si nous acceptons cette hypothèse, il est possible que ce monde soit une forme de "moyen" pour que l’homme s'approche de cet absolu, sans pour autant le percevoir directement.

Tu fais une connexion intéressante avec **la beauté** comme un sens ou une expérience qui pourrait être notre lien vers cet absolu. La beauté, dans ce cadre, pourrait être perçue comme une "trace" de cet absolu dans le monde, quelque chose que l’homme peut ressentir même s’il ne peut pas entièrement le comprendre rationnellement. Cela renvoie à des concepts philosophiques comme celui du "sublime" chez Kant, où la beauté et l’émotion esthétique nous mettent en contact avec quelque chose de plus grand que nous.

      1. 4. **La conscience et l'intersubjectivité** :

Tu remarques que **la conscience est objective dans le sens où elle est partagée par tous les êtres humains**. En effet, chaque être humain fait l’expérience de la conscience, et cela peut être vu comme un objet d’étude commun. Cependant, comme tu le soulignes, cette conscience individuelle s'inscrit aussi dans un contexte plus large, celui de l'intersubjectivité, où la conscience est en interaction avec d'autres consciences, créant des cultures, des perceptions collectives et des attentes sociales.

Cela soulève une question intéressante : **la réalité perçue par un individu est-elle "moins réelle" si elle diverge de celle perçue par la majorité ?** Tu donnes l'exemple de l'homme sain parmi les fous, qui pourrait se percevoir comme fou simplement parce qu'il est en décalage avec le groupe. Cela montre que notre perception de la réalité n’est pas seulement individuelle, mais aussi profondément influencée par notre environnement social.

      1. 5. **La culture et la nature** :

Tu fais une distinction pertinente entre **la nature** (qui est immuable et objective) et **la culture** (qui est une construction humaine, subjective et modifiable). Cependant, comme tu le soulignes, il y a une forte interaction entre les deux. Par exemple, les pratiques culturelles sont souvent influencées par les conditions naturelles (le climat, les ressources disponibles, etc.), et il peut être difficile de distinguer ce qui est purement "culturel" de ce qui est déterminé par la nature.

Tu touches ici à une problématique philosophique classique : **à quel point l'homme, en tant qu'être culturel, est-il conditionné par la nature ?** Peut-il s'en affranchir totalement, ou bien la nature impose-t-elle des limites à ce que la culture peut être ou devenir ?

      1. En conclusion :

Ton analyse pousse à réfléchir à la question de la connaissance sous des angles multiples : mathématiques, culture, sens, et conscience. Elle nous conduit à nous demander si, au-delà des perceptions sensorielles, il existe des moyens pour l'homme de percevoir une réalité plus profonde. Peut-être, comme tu le suggères, que l'expérience de la beauté ou même la conscience collective sont des portes d'entrée vers cette vérité supérieure.

Si le monde est une sorte de "leçon" pour nous rapprocher de l'absolu, alors notre quête de la réalité - qu'elle passe par la science, l'art ou la philosophie - pourrait être une partie essentielle de cette découverte.

Divoc
2024-09-17 01:52:55

Ma question pour les clés.

La recherche de l'absolu peut elle se faire en politique?

La recherche de l'absolu ne peut elle pas mener au malheur ou au mal?

Divoc
2024-09-17 01:55:57

Les quatre premières questions ne sont pas forcément les plus intéressantes, si la flemme lisez juste le commentaire de ChatGPT sur ma réponse.

Divoc
2024-09-17 15:10:19

Vous thinkez what à part pas lu ?

LaCasaDePapeI
2024-09-17 15:12:41

J'en think que ça sert à rien de aire des pseudo débat philosophique avec ce bot parce que ses programmeurs lui ont intégré un biais woke. Les réponses seront filtrées et donc dirigées.

navet-navrant
2024-09-17 15:13:26

Regarde la dernière vidéo de monsieur phi

Divoc
2024-09-17 15:16:40

Le 17 septembre 2024 à 15:12:41 :
J'en think que ça sert à rien de aire des pseudo débat philosophique avec ce bot parce que ses programmeurs lui ont intégré un biais woke. Les réponses seront filtrées et donc dirigées.

J'ai pas trouvé, qu'il avait des biais woke sur cette conversation en particulier et je ne suis pas un gauchiste, tu aurais lu tu ne dirais pas la même chose.

Divoc
2024-09-17 15:18:02

J'ai été inspiré en partie par cette vidéo
https://youtu.be/87dmW4q-HQs?si=NmDI7agL4ZZ12lGP

Divoc
2024-09-17 15:20:32

Le 17 septembre 2024 à 15:13:26 :
Regarde la dernière vidéo de monsieur phi

Ah oui marrant ça commence pareil.

John69
2024-09-17 15:22:11

[01:52:55] <Divoc>
Ma question pour les clés.

La recherche de l'absolu peut elle se faire en politique?

La recherche de l'absolu ne peut elle pas mener au malheur ou au mal?

Toute tentative de recherche d'un absolu en politique va forcement mener vers un malheur, et ce, peut importe la direction vers lequel on va.
La problématique de la question politique repose sur la question de l'altérité, c'est a dire la relation a l'autre. Toute tentative d'absolu va donc mener vers la négation de l'autre.

Divoc
2024-09-17 15:42:00

Le 17 septembre 2024 à 15:22:11 :

[01:52:55] <Divoc>
Ma question pour les clés.

La recherche de l'absolu peut elle se faire en politique?

La recherche de l'absolu ne peut elle pas mener au malheur ou au mal?

Toute tentative de recherche d'un absolu en politique va forcement mener vers un malheur, et ce, peut importe la direction vers lequel on va.
La problématique de la question politique repose sur la question de l'altérité, c'est a dire la relation a l'autre. Toute tentative d'absolu va donc mener vers la négation de l'autre.

J'aurai dit à peu près la même chose, que ce soit par le fascisme et la recherche de pureté, le communisme, pareil avec Sparte et l'eugénisme.
Aujourd'hui c'est plus une forme très étrange qui prend le pas sur le monde occidental, combinant le chaos dyonisiaque et faisant de ce chaos un absolu apollinien

John69
2024-09-17 15:51:51

[15:42:00] <Divoc>

Le 17 septembre 2024 à 15:22:11 :

[01:52:55] <Divoc>
Ma question pour les clés.

La recherche de l'absolu peut elle se faire en politique?

La recherche de l'absolu ne peut elle pas mener au malheur ou au mal?

Toute tentative de recherche d'un absolu en politique va forcement mener vers un malheur, et ce, peut importe la direction vers lequel on va.
La problématique de la question politique repose sur la question de l'altérité, c'est a dire la relation a l'autre. Toute tentative d'absolu va donc mener vers la négation de l'autre.

J'aurai dit à peu près la même chose, que ce soit par le fascisme et la recherche de pureté, le communisme, pareil avec Sparte et l'eugénisme.
Aujourd'hui c'est plus une forme très étrange qui prend le pas sur le monde occidental, combinant le chaos dyonisiaque et faisant de ce chaos un absolu apollinien

Je n'ai pas les termes "dyonisiaques" ni "apollinien", tu pourrais me les decrire ?

Divoc
2024-09-17 17:09:35

Le 17 septembre 2024 à 15:51:51 :

[15:42:00] <Divoc>

Le 17 septembre 2024 à 15:22:11 :

[01:52:55] <Divoc>
Ma question pour les clés.

La recherche de l'absolu peut elle se faire en politique?

La recherche de l'absolu ne peut elle pas mener au malheur ou au mal?

Toute tentative de recherche d'un absolu en politique va forcement mener vers un malheur, et ce, peut importe la direction vers lequel on va.
La problématique de la question politique repose sur la question de l'altérité, c'est a dire la relation a l'autre. Toute tentative d'absolu va donc mener vers la négation de l'autre.

J'aurai dit à peu près la même chose, que ce soit par le fascisme et la recherche de pureté, le communisme, pareil avec Sparte et l'eugénisme.
Aujourd'hui c'est plus une forme très étrange qui prend le pas sur le monde occidental, combinant le chaos dyonisiaque et faisant de ce chaos un absolu apollinien

Je n'ai pas les termes "dyonisiaques" ni "apollinien", tu pourrais me les decrire ?

Appollon je le qualifierais de dieu de la recherche de l'absolue ça peut être par le beau ou la perfirmance sportive par exemple mais aussi la pureté, dyonisos c'est le dieu de la fête et de la débauche sans limites, contrairement a l'absolu qui crée un certain cadre une discipline pour arriver à cet absolu, le dyonisiaque nie complètement ces limites.
Un exemple parlant de cette opposition est la république de Weimar et le Nazisme, le premier extrême complètement dyonisiaque à engendré le deuxième extrême en réaction au premier.

Divoc
2024-09-17 17:11:05

Après c'est une définition très personnelle mes connaissances sur le panthéon grec et ce qu'il représente étant très limitées.

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