TrapChoffa
2024-06-07 09:35:11
Elle faisait tout le temps pipi dans sa culotte. Elle puait le pipi aussi, accessoirement.
Evidemment on se moquait d'elle, moi y compris même si je la trouvais très mignonne, en réalité. J'étais un suiveur/lâche quand j'étais petit.
Puis Pissouille a déménagé et je n'ai pas entendu parler d'elle pendant plus d'une décennie.
Mais j'ai récemment croisé Pissouille au quartier de notre enfance, duquel je n'ai jamais bougé en bon gros foromeur 0 tout. Elle visite sa grand-mère.
Elle est plutôt mignonne. Je me demande si elle se pisse toujours dessus donc je me décide à l'aborder. "Hey ! C'est toi Pissouille !? Ça fait un baille !"
Elle me regarde comme ça et ne répond pas
Moi j'ai la tchatche donc je lui met le bras autour du cou et je lui pince une cotelette. Je lui susurre à l'oreille, non sans sensualité : "Tu fais toujours pipi dans ta culotte, ma belle ?"
Là elle rougit. Et une auréole commence a apparaitre sur l'aine de son jean. Elle met ses mains sur son visage. Là je smirk. "Ola... c'est très vilain de faire pipi sur les gens comme ça. Tu devrais venir chez moi, on devrait pouvoir régler ça a l'amiable." Elle acquiesce, alors je la prends par la main et on se dirige vers mon HLM.
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Touracos
2024-06-07 10:00:16
En marchant vers mon HLM, je la sens de plus en plus tendue. J'essaie de détendre l'atmosphère en lui parlant de souvenirs d'école, mais elle reste silencieuse, ses joues toujours rouges. Arrivés devant ma porte, j'ouvre et l'invite à entrer. Elle hésite un instant avant de me suivre.
À l'intérieur, je lui propose de s'asseoir sur le canapé pendant que je vais chercher quelque chose à boire. En revenant avec deux verres d'eau, je la trouve immobile, regardant fixement le sol.
"Écoute," dis-je en m'asseyant à côté d'elle, "je sais que tout ça doit te mettre mal à l'aise. C'était idiot de ma part de plaisanter sur ça. On était des enfants cruels, et je suis désolé."
Elle lève enfin les yeux vers moi, son regard plein de douleur. "Tu ne comprends pas," murmure-t-elle. "Ce n'est pas seulement une vieille habitude. C'est un problème médical, et c'était déjà difficile à l'époque... mais aujourd'hui, ça l'est encore plus."
Son aveu me prend par surprise, et je réalise à quel point j'ai été insensible. "Je suis vraiment désolé, je ne voulais pas te blesser," dis-je sincèrement.
Elle soupire et ferme les yeux un instant. "Je suis venue voir ma grand-mère parce qu'elle est malade. J'ai aussi pris du temps pour réfléchir à ma vie, à ce que je veux vraiment. Et croiser quelqu'un du passé, même de manière si maladroite, ça me fait réfléchir encore plus."
Je hoche la tête, essayant de montrer que je comprends. "Si tu as besoin de parler ou de quelqu'un pour te soutenir, je suis là. Je sais que j'ai beaucoup à me faire pardonner, mais je veux essayer."
Elle me regarde longuement avant de sourire faiblement. "Merci. C'est gentil de ta part. Peut-être qu'on pourrait repartir sur de nouvelles bases ?"
"Bien sûr," dis-je avec un sourire. "Je m'appelle Julien, et toi ?"
Elle sourit un peu plus. "Alice. Enchantée de te rencontrer, Julien."
On passe le reste de l'après-midi à discuter de tout et de rien, laissant derrière nous les souvenirs amers de l'enfance et ouvrant la porte à une nouvelle amitié, peut-être même quelque chose de plus.
TrapChoffa
2024-06-07 10:07:23
Le 07 juin 2024 à 10:00:16 Touracos a écrit :
En marchant vers mon HLM, je la sens de plus en plus tendue. J'essaie de détendre l'atmosphère en lui parlant de souvenirs d'école, mais elle reste silencieuse, ses joues toujours rouges. Arrivés devant ma porte, j'ouvre et l'invite à entrer. Elle hésite un instant avant de me suivre.
À l'intérieur, je lui propose de s'asseoir sur le canapé pendant que je vais chercher quelque chose à boire. En revenant avec deux verres d'eau, je la trouve immobile, regardant fixement le sol.
"Écoute," dis-je en m'asseyant à côté d'elle, "je sais que tout ça doit te mettre mal à l'aise. C'était idiot de ma part de plaisanter sur ça. On était des enfants cruels, et je suis désolé."
Elle lève enfin les yeux vers moi, son regard plein de douleur. "Tu ne comprends pas," murmure-t-elle. "Ce n'est pas seulement une vieille habitude. C'est un problème médical, et c'était déjà difficile à l'époque... mais aujourd'hui, ça l'est encore plus."
Son aveu me prend par surprise, et je réalise à quel point j'ai été insensible. "Je suis vraiment désolé, je ne voulais pas te blesser," dis-je sincèrement.
Elle soupire et ferme les yeux un instant. "Je suis venue voir ma grand-mère parce qu'elle est malade. J'ai aussi pris du temps pour réfléchir à ma vie, à ce que je veux vraiment. Et croiser quelqu'un du passé, même de manière si maladroite, ça me fait réfléchir encore plus."
Je hoche la tête, essayant de montrer que je comprends. "Si tu as besoin de parler ou de quelqu'un pour te soutenir, je suis là. Je sais que j'ai beaucoup à me faire pardonner, mais je veux essayer."
Elle me regarde longuement avant de sourire faiblement. "Merci. C'est gentil de ta part. Peut-être qu'on pourrait repartir sur de nouvelles bases ?"
"Bien sûr," dis-je avec un sourire. "Je m'appelle Julien, et toi ?"
Elle sourit un peu plus. "Alice. Enchantée de te rencontrer, Julien."
On passe le reste de l'après-midi à discuter de tout et de rien, laissant derrière nous les souvenirs amers de l'enfance et ouvrant la porte à une nouvelle amitié, peut-être même quelque chose de plus.
c fake cpas la vraie histoire