Elle finit quand la boucle Russie avec lui, ça doit representer 90% de ses tweets depuis le début de la guerrehttps://image.noelshack.com/fichiers/2018/13/4/1522325846-jesusopti.png
Article payant de Le Monde dont je vous extrais quelques passages facinantshttps://image.noelshack.com/fichiers/2020/26/3/1593016032-ahipla2.jpg
Mais quelques cadres ont lu un courriel troublant qu’avait envoyé à ce dernier, le 22 juillet 2018, François Asselineau, intitulé « un après-midi au bord du Grand Canal », à Versailles. « J’ai été extrêmement triste de la façon dont tu as sabordé la fin de la journée pourtant merveilleuse d’hier, écrit le patron de l’UPR. Tu m’as laissé tout seul avec toutes les affaires à rapporter dans la voiture. Avec le sac-poubelle où je contemplais la petite boîte de caviar et celle d’œufs de saumon vides, l’emballage vide de saumon fumé, les bouteilles vides de vodka, le paquet vide de cerises… Comme lorsque j’étais enfant et que je ne comprenais pas la méchanceté des adultes, de grosses larmes ont roulé le long de mes joues. » François Asselineau tente alors de l’embrasser, Y. S. se dégage à coups de poing. « Dans la bagarre sur l’herbe du Grand Canal, tu as sans doute vu une sorte de réminiscence d’une scène de viol. Moi pas, écrit le président de l’UPR. Pendant ces quelques secondes où je t’ai serré contre moi si fort, je t’ai regardé droit dans les yeux. Ce fut comme un flash : la fusion enfin avec l’être aimé. » Et il conclut modestement : « Ce combat de toute une vie, non seulement contre soi-même (…), voilà ce qui explique l’être singulier et génial que je suis devenu. »
Ou encore :
Le président lui aurait caressé la main pendant qu’il conduisait, l’aurait embrassé sur la bouche alors qu’il dormait sur le siège passager, et le jeune homme a plusieurs textos pour appuyer ses dires. Le 1er décembre 2019, à propos d’un moment au moulin de Claude François, dans l’Essonne : « Si j’avais un QI de 60, j’aurais déjà oublié que c’est toi qui avais pris l’initiative de me proposer d’y aller ensemble (…) Si j’avais un QI de 100, je ferais une scène ponctuée de reproches, je te révélerais que j’ai pleuré comme un enfant abandonné. (…) Seulement voilà : j’ai un QI de 162. Pour ce qui concerne notre relation quasi surnaturelle, le processus psychique qui t’anime et celui qui m’anime échappent à nos volontés conscientes. (…) En bref, je te manque et tu me manques (…) Je vis cela comme une trahison. »
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Mais quelques cadres ont lu un courriel troublant qu’avait envoyé à ce dernier, le 22 juillet 2018, François Asselineau, intitulé « un après-midi au bord du Grand Canal », à Versailles. « J’ai été extrêmement triste de la façon dont tu as sabordé la fin de la journée pourtant merveilleuse d’hier, écrit le patron de l’UPR. Tu m’as laissé tout seul avec toutes les affaires à rapporter dans la voiture. Avec le sac-poubelle où je contemplais la petite boîte de caviar et celle d’œufs de saumon vides, l’emballage vide de saumon fumé, les bouteilles vides de vodka, le paquet vide de cerises… Comme lorsque j’étais enfant et que je ne comprenais pas la méchanceté des adultes, de grosses larmes ont roulé le long de mes joues. » François Asselineau tente alors de l’embrasser, Y. S. se dégage à coups de poing. « Dans la bagarre sur l’herbe du Grand Canal, tu as sans doute vu une sorte de réminiscence d’une scène de viol. Moi pas, écrit le président de l’UPR. Pendant ces quelques secondes où je t’ai serré contre moi si fort, je t’ai regardé droit dans les yeux. Ce fut comme un flash : la fusion enfin avec l’être aimé. » Et il conclut modestement : « Ce combat de toute une vie, non seulement contre soi-même (…), voilà ce qui explique l’être singulier et génial que je suis devenu. »
Ou encore :
Le président lui aurait caressé la main pendant qu’il conduisait, l’aurait embrassé sur la bouche alors qu’il dormait sur le siège passager, et le jeune homme a plusieurs textos pour appuyer ses dires. Le 1er décembre 2019, à propos d’un moment au moulin de Claude François, dans l’Essonne : « Si j’avais un QI de 60, j’aurais déjà oublié que c’est toi qui avais pris l’initiative de me proposer d’y aller ensemble (…) Si j’avais un QI de 100, je ferais une scène ponctuée de reproches, je te révélerais que j’ai pleuré comme un enfant abandonné. (…) Seulement voilà : j’ai un QI de 162. Pour ce qui concerne notre relation quasi surnaturelle, le processus psychique qui t’anime et celui qui m’anime échappent à nos volontés conscientes. (…) En bref, je te manque et tu me manques (…) Je vis cela comme une trahison. »
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Mais quelques cadres ont lu un courriel troublant qu’avait envoyé à ce dernier, le 22 juillet 2018, François Asselineau, intitulé « un après-midi au bord du Grand Canal », à Versailles. « J’ai été extrêmement triste de la façon dont tu as sabordé la fin de la journée pourtant merveilleuse d’hier, écrit le patron de l’UPR. Tu m’as laissé tout seul avec toutes les affaires à rapporter dans la voiture. Avec le sac-poubelle où je contemplais la petite boîte de caviar et celle d’œufs de saumon vides, l’emballage vide de saumon fumé, les bouteilles vides de vodka, le paquet vide de cerises… Comme lorsque j’étais enfant et que je ne comprenais pas la méchanceté des adultes, de grosses larmes ont roulé le long de mes joues. » François Asselineau tente alors de l’embrasser, Y. S. se dégage à coups de poing. « Dans la bagarre sur l’herbe du Grand Canal, tu as sans doute vu une sorte de réminiscence d’une scène de viol. Moi pas, écrit le président de l’UPR. Pendant ces quelques secondes où je t’ai serré contre moi si fort, je t’ai regardé droit dans les yeux. Ce fut comme un flash : la fusion enfin avec l’être aimé. » Et il conclut modestement : « Ce combat de toute une vie, non seulement contre soi-même (…), voilà ce qui explique l’être singulier et génial que je suis devenu. »
Ou encore :
Le président lui aurait caressé la main pendant qu’il conduisait, l’aurait embrassé sur la bouche alors qu’il dormait sur le siège passager, et le jeune homme a plusieurs textos pour appuyer ses dires. Le 1er décembre 2019, à propos d’un moment au moulin de Claude François, dans l’Essonne : « Si j’avais un QI de 60, j’aurais déjà oublié que c’est toi qui avais pris l’initiative de me proposer d’y aller ensemble (…) Si j’avais un QI de 100, je ferais une scène ponctuée de reproches, je te révélerais que j’ai pleuré comme un enfant abandonné. (…) Seulement voilà : j’ai un QI de 162. Pour ce qui concerne notre relation quasi surnaturelle, le processus psychique qui t’anime et celui qui m’anime échappent à nos volontés conscientes. (…) En bref, je te manque et tu me manques (…) Je vis cela comme une trahison. »
Article payant de Le Monde dont je vous extrais quelques passages facinantshttps://image.noelshack.com/fichiers/2020/26/3/1593016032-ahipla2.jpg
Mais quelques cadres ont lu un courriel troublant qu’avait envoyé à ce dernier, le 22 juillet 2018, François Asselineau, intitulé « un après-midi au bord du Grand Canal », à Versailles. « J’ai été extrêmement triste de la façon dont tu as sabordé la fin de la journée pourtant merveilleuse d’hier, écrit le patron de l’UPR. Tu m’as laissé tout seul avec toutes les affaires à rapporter dans la voiture. Avec le sac-poubelle où je contemplais la petite boîte de caviar et celle d’œufs de saumon vides, l’emballage vide de saumon fumé, les bouteilles vides de vodka, le paquet vide de cerises… Comme lorsque j’étais enfant et que je ne comprenais pas la méchanceté des adultes, de grosses larmes ont roulé le long de mes joues. » François Asselineau tente alors de l’embrasser, Y. S. se dégage à coups de poing. « Dans la bagarre sur l’herbe du Grand Canal, tu as sans doute vu une sorte de réminiscence d’une scène de viol. Moi pas, écrit le président de l’UPR. Pendant ces quelques secondes où je t’ai serré contre moi si fort, je t’ai regardé droit dans les yeux. Ce fut comme un flash : la fusion enfin avec l’être aimé. » Et il conclut modestement : « Ce combat de toute une vie, non seulement contre soi-même (…), voilà ce qui explique l’être singulier et génial que je suis devenu. »
Ou encore :
Le président lui aurait caressé la main pendant qu’il conduisait, l’aurait embrassé sur la bouche alors qu’il dormait sur le siège passager, et le jeune homme a plusieurs textos pour appuyer ses dires. Le 1er décembre 2019, à propos d’un moment au moulin de Claude François, dans l’Essonne : « Si j’avais un QI de 60, j’aurais déjà oublié que c’est toi qui avais pris l’initiative de me proposer d’y aller ensemble (…) Si j’avais un QI de 100, je ferais une scène ponctuée de reproches, je te révélerais que j’ai pleuré comme un enfant abandonné. (…) Seulement voilà : j’ai un QI de 162. Pour ce qui concerne notre relation quasi surnaturelle, le processus psychique qui t’anime et celui qui m’anime échappent à nos volontés conscientes. (…) En bref, je te manque et tu me manques (…) Je vis cela comme une trahison. »
Le 15 mars 2024 à 19:49:59 : Pourquoi les "non-alignés" Philippot et Asselineau n'ont jamais fait la moindre critique envers la Russie et bouclent sur l'UE/OTAN/USA ?
Le 15 mars 2024 à 19:51:05 Vercingetorix5 a écrit : Mais rassurez moi, tous ces collabos de première comme asselineau, un jour ils seront inculpés par la justice ?
si on entre en guerre, ouihttps://image.noelshack.com/fichiers/2021/43/4/1635412266-image-1.png
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