rizausucre
2024-03-08 20:40:38
Vous êtes seul dans les bois. Vous avez couru depuis votre dernier refuge pendant des heures, peut-être pendant plus d'une journée. Vous êtes épuisé.
Alors que vous continuez à vous frayer un chemin dans les branchages, une entrave métallique vient se placer sous votre gorge. Vous vous rendez compte qu'il s'agit en fait d'une épée, et qu'au bout de l'épée se trouve celle qui la tient : Michonne.
Paniqué, vous vous mettez à genou, suppliant d'être épargné. Rick arrive, voix rauque. "What you doing around here pal ?", canon sur votre tampe. Michonne intervient : "Ne lui fait pas de mal, retourne avec les autres". Rick, qui allait répliquer, décide finalement de faire confiance à la déesse de Yaoundé et s'en retourna vers son camp.
Michonne vous prend alors par le bras, et vous éloigne du camp de ses amis, probablement très proche si on en croyait les voix que l’on distinguait péniblement. "Aucun geste déplacé, sinon je t'ouvre la gorge", vous sermonne-t-elle. Quelques dizaines de pas plus loin, vous vous retrouvez vers une petite baraque aux vitres brisées et aux murs en rondins de bois pourris par la pluie et le manque logique d'entretien.
"Mets-toi dos au mur", vous ordonne t-elle. Apeuré, vous ne voulez pas finir en carpaccio. Vous vous placez alors face à elle, la cabane dans votre dos. À cet instant, l'improbable se produit. Michonne s'approche de vous, le regard sauvage d'une tigresse de la savane, jusqu'à se placer à portée d'haleine. La sienne sentait le lion, et le baobab. "Tête-moi", dit-elle.
Vous écarquillez les yeux. "Kézako ?".
Michonne sourit légèrement. "Tu ne comprends pas ?". La reine sauvage du Cameroun dégaine à nouveau son long sabre tranchant, et vous le place alors sous la gorge. À nouveau. "J'ai dit : TÊTE-MOI". Pendant un petit instant, vous hésitez. Vous ne savez si cela est un piège, ou si sa phrase, prononcée dans un dialecte africain primitif, signifie quelque chose de différent chez les gens civilisés. Mais finalement, vous distinguez nettement ses tétons au travers de son t-shirt forcément moulant, au vu de la taille gargantuesque de ses mamelles. Et ça, c'était définitivement des tétons qui pointent.
Elle ne plaisante pas, elle veut que je lui tête les tétons...!
Vous vous décidez alors à lever votre main droite, tout doucement. La tigresse l'a bien vu, et surveille votre geste, au cas où celui-ci, précipité, tenterait quelque chose d'inconsidéré. Mais vous ne faites rien. Rien qui n'est été permis ici, dans votre intimité nouvelle. Rien, à part entreprendre de la téter.
Et vous posez alors votre main sur son épaule. Elle est chaude comme une lionne. Avec votre doigt, vous décidez de tirer lentement au niveau du col de sa veste en cuir, afin de l'ôter. Vous vous rendez même compte qu'elle vous facilite un peu la tâche, en déviant légèrement son bras, et en changeant de main porteuse pour son sabre, ce qui, au passage, appuya légèrement sur votre cou, déjà rougi par le frottement de la lame. Vous lui ôtez l'autre côté, pour au final n'avoir que son t-shirt, entre vous et les montagnes du Kilimandjaro.
"Hâte-toi donc, rôdeur des bois", vous invectiva-t-elle. Il n'y a plus rien d'autre que le t-shirt, mais vous ne savez pas comment vous y prendre. Lassée de cette attente et de ses hésitations, elle déchira son t-shirt mauve au niveau du col, pour laisser apparaître une poitrine immense, béante, ferme et pendante à la fois. "Au boulot", vous fit-elle. Sans retirer l'épée de votre gorge, elle vous attrape la tête, et vous la plaque dans ses généreux michetons ébènes. Vous ne pouvez alors plus respirer. Il en est fait de moi. Je suis un misérable. Alors que vous tentez désespérément de remonter à la surface, vous trouvez miraculeusement une poche d'air entre ses mamelles titanesques. L'appel d'air provoqué semblait presque vous appeler encore plus avant, mais il vous permit de reprendre votre souffle. Et de rester en vie. Et à cet instant, votre instinct de survie vous guida. Vous vous libérez alors de l'étreinte de la belle camerounaise, et ressortez finalement l'intégralité de votre tête, dans un bruit de toussotements et d'étranglements dérangeants. Mais vous parvenez à reprendre votre souffle, et vous décidez de prendre les choses en main (enfin, façon de parler, faut pas rêver non plus) : "Je vais te téter, comme jamais on a sucé un nichon".
Vous commencez par vous saisir du sein caramélisé droit. Vos deux mains ne sont pas de trop pour vous approprier cet amas généreux de chair à traire, mais vous commencez à prendre le coup. À pleine bouche, vous lui happez son mamelon pointant. Vous vous mettez à le lécher, à le pourlécher, à l'embrasser. Votre langue humide entreprend des léchages circulaires autour de son téton formidable, avant que votre bouche entière ne se mette à dévorer ce sein généreux. Michonne vous regarde, imperturbable. Vous ne relâchez pas l'effort. Au contraire, vous lui malaxez son sein noiraud, et continuez à lui sucer, mordre son téton extraordinaire. Vous-même, vous commencez à prendre un certain plaisir.
Mais Michonne semble très exigeante envers son esclave d'un jour : "et l'autre, il n'a droit à rien ?". C'est vrai qu'il est là, lui aussi. Depuis un moment, il semble même vous regarder d'un téton accusateur. "Je... Je ne peux guère travailler vos deux mamelles à la fois, gente dame, c'est qu'elles ont une taille considérable. Je n'ai pas été nourris depuis plusieurs jours, et je suis faible, vous savez...".
Michonne semblait compatir. "Mhhh, pas nourris, dis-tu ? On devrait pouvoir s'arranger. L'autre sein, plus vite que ça".
Sa mamelle gauche semblait encore plus exquise que la droite. Un goût de sève de figuier et de banane semblait en émaner. Votre langue pourléchait chaque recoin de son téton rigide et durcit par un plaisir que Michonne avait de plus en plus de mal à dissimuler. Vous-même, étonné par l'exquis parfum que les mamelles de la guerrière de la savane semblaient dégager, repassiez d'un sein à un autre, pour revenir au précédent, afin de comparer les arômes. Malgré tout, aucun d'eux ne semblait l'emporter, ce qui vous frustrait et en même temps vous transportait de plaisir.
Cette faim de viande laitière ne semblait ne pas avoir de fin, mais Michonne semblait trembler de plus en plus. Les soubresauts que tout son corps ébène semblait encaisser ne pouvait révéler qu'une seule chose : elle est toute proche de l'explosion.
Et il avait vu juste.
Un magma laitier jaillit alors de ses deux seins, dans un concert de cris proférés par la belle noiraude. Alors que vous étiez toujours avec l'une de ses mamelles en bouche, le lait vous fut alors déversé intégralement dans votre gosier asséché par tout cet effort d'intense succion, comme la récompense juste d’un dur labeur. Vous tentez d'avaler tout ce que vous pouvez, mais le sein est bien trop généreux, et la délicieuse crème laitière qui s'échappait du sein de Michonne devient incontrôlable. Le jet, trop puissant, finit par expédier la mamelle hors de votre bouche. Vous ne pouvez alors plus rien faire. Soumis à la volonté divine de la sainte mamelle, vous êtes sous la trajectoire. Une éjaculation de lait vous asperge le visage, du front, jusqu'à la narine, et vient se déverser, ça et là, sur vos vêtements et sur le sol. Cinq ou six jets laitiers vous atteignent ensuite, chacun venant parachever cette humiliante cérémonie buccale. L'autre sein, dont vous ne vous occupiez pas, est, lui, entré dans une folle danse d'éjaculation laitière.
Recouvert de jus lacté dont la saveur noix de coco vous parvient jusqu'aux narines, vous restez immobile, les yeux fermés, appréciant en votre for intérieur cet instant dont l’inattendue conclusion n’avait d’égal que le plaisir que l’éjaculation faciale de lait vous a procuré.
"Vous êtes bien bonne, ma dame.
-Il le fallait. Après tout, c'est une tradition, ce dernier repas du condamné".
Alors que vous réfléchissez encore à cette dernière phrase prononcée par la tigresse de Yaoundé, un grattement vous parvient au niveau de la gorge. Une légère, infime démangeaison. L'effluve coco du jus de sein dévoila finalement un arrière-goût de cerise. Ou de fraise, vous n'auriez su le dire avec certitude. Mais il s'agissait d'un fruit rouge. Rouge... Rouge...