Ok mais vous faites comment pour réémigrer des MILLIONS de FRANCAIS nés ici, qui parlent français (et pas la langue de leurs ancêtres) et qui ne visitent leurs bleds que quelques semaines par an ?
Le pays s'EFFONDRE littéralement si on dégage 20% de ses citoyens
La remigration c'est pas le départ instantané de tout ce que la France compte de non-gaulois, c'est une succession de mesures juridiques et d'actions et chaque pas entraine le suivant et le rend plus facile.
De manière réaliste :
- Modifications juridiques pour limiter les flux légaux : fin du regroupement familial, réduction drastique de la distribution de titres de séjours, transformation du droit d'asile (6 mois à un an le temps de faire passer la réforme).
- Grande opération policière d'expulsion de la totalité des clandestins présents dans le pays, donc expulsion de 80 à 90% des clandestins (700/800 000) en un an.
- Expulsion des immigrés ayant déjà eu un signalement, un casier, une amende quelconque, des immigrés au chômage, et des immigrés signalés pour certains propos anti-français/anti-blancs sur internet (environ 500 000 personnes en un an puis quelques dizaines de milliers par an).
- À partir de là, durcissement de la loi sur la nationalité : renforcement du droit du sang, suppression du droit du sol, impossibilité d'obtenir la nationalité par le mariage si citoyen non européen.
- Déchéance de nationalité des binationaux non-UE : un million de personnes.
Tout ça couplé à une politique ultra répressive en matière pénale, à la construction d'une bonne centaine de milliers de places de prison, et à une politique d'immigration intra-européenne des pays voisins et déjà on a totalement inversé le processus.
Sachant qu'à partir du moment où on a modifié le droit et expulsé des clandestins, tout le reste se fera sans trop de problèmes. Rien de ce que j'ai cité n'est politique infaisable ni même irréaliste à moyen terme (5 à 10 ans).
Si on arrive à virer le petit million de clandestins, 2 à 3 millions d'immigrés les plus problématiques, à dégager un bon million de bi-nationaux, à bloquer les flux, à emprisonner les plus problématiques, le pays retrouve sa situation démographique du milieu des années 90.
C’est précisément pour ça qu'encore une fois, la rémigration ne sera pas une épuration ethnique mais un processus qui ne commencera pas sur des bases raciales, pas besoin d'invoquer de grandes théories sur la pureté Gauloise pour y accéder.
Le 03 mars 2024 à 20:07:22 :
La remigration c'est pas le départ instantané de tout ce que la France compte de non-gaulois, c'est une succession de mesures juridiques et d'actions et chaque pas entraine le suivant et le rend plus facile.De manière réaliste :
- Modifications juridiques pour limiter les flux légaux : fin du regroupement familial, réduction drastique de la distribution de titres de séjours, transformation du droit d'asile (6 mois à un an le temps de faire passer la réforme).
- Grande opération policière d'expulsion de la totalité des clandestins présents dans le pays, donc expulsion de 80 à 90% des clandestins (700/800 000) en un an.
- Expulsion des immigrés ayant déjà eu un signalement, un casier, une amende quelconque, des immigrés au chômage, et des immigrés signalés pour certains propos anti-français/anti-blancs sur internet (environ 500 000 personnes en un an puis quelques dizaines de milliers par an).
- À partir de là, durcissement de la loi sur la nationalité : renforcement du droit du sang, suppression du droit du sol, impossibilité d'obtenir la nationalité par le mariage si citoyen non européen.
- Déchéance de nationalité des binationaux non-UE : un million de personnes.Tout ça couplé à une politique ultra répressive en matière pénale, à la construction d'une bonne centaine de milliers de places de prison, et à une politique d'immigration intra-européenne des pays voisins et déjà on a totalement inversé le processus.
Sachant qu'à partir du moment où on a modifié le droit et expulsé des clandestins, tout le reste se fera sans trop de problèmes. Rien de ce que j'ai cité n'est politique infaisable ni même irréaliste à moyen terme (5 à 10 ans).
Si on arrive à virer le petit million de clandestins, 2 à 3 millions d'immigrés les plus problématiques, à dégager un bon million de bi-nationaux, à bloquer les flux, à emprisonner les plus problématiques, le pays retrouve sa situation démographique du milieu des années 90.
C’est précisément pour ça qu'encore une fois, la rémigration ne sera pas une épuration ethnique mais un processus qui ne commencera pas sur des bases raciales, pas besoin d'invoquer de grandes théories sur la pureté Gauloise pour y accéder.
"remigration" "réaliste" même pas je lis ton pavé full cope + pas besoin d'être "gaulois" (ça n'existe plus btw c'est une relique du passé ptdr) pour être français
Le 03 mars 2024 à 20:07:22 :
La remigration c'est pas le départ instantané de tout ce que la France compte de non-gaulois, c'est une succession de mesures juridiques et d'actions et chaque pas entraine le suivant et le rend plus facile.De manière réaliste :
- Modifications juridiques pour limiter les flux légaux : fin du regroupement familial, réduction drastique de la distribution de titres de séjours, transformation du droit d'asile (6 mois à un an le temps de faire passer la réforme).
- Grande opération policière d'expulsion de la totalité des clandestins présents dans le pays, donc expulsion de 80 à 90% des clandestins (700/800 000) en un an.
- Expulsion des immigrés ayant déjà eu un signalement, un casier, une amende quelconque, des immigrés au chômage, et des immigrés signalés pour certains propos anti-français/anti-blancs sur internet (environ 500 000 personnes en un an puis quelques dizaines de milliers par an).
- À partir de là, durcissement de la loi sur la nationalité : renforcement du droit du sang, suppression du droit du sol, impossibilité d'obtenir la nationalité par le mariage si citoyen non européen.
- Déchéance de nationalité des binationaux non-UE : un million de personnes.Tout ça couplé à une politique ultra répressive en matière pénale, à la construction d'une bonne centaine de milliers de places de prison, et à une politique d'immigration intra-européenne des pays voisins et déjà on a totalement inversé le processus.
Sachant qu'à partir du moment où on a modifié le droit et expulsé des clandestins, tout le reste se fera sans trop de problèmes. Rien de ce que j'ai cité n'est politique infaisable ni même irréaliste à moyen terme (5 à 10 ans).
Si on arrive à virer le petit million de clandestins, 2 à 3 millions d'immigrés les plus problématiques, à dégager un bon million de bi-nationaux, à bloquer les flux, à emprisonner les plus problématiques, le pays retrouve sa situation démographique du milieu des années 90.
C’est précisément pour ça qu'encore une fois, la rémigration ne sera pas une épuration ethnique mais un processus qui ne commencera pas sur des bases raciales, pas besoin d'invoquer de grandes théories sur la pureté Gauloise pour y accéder.
This
Le 03 mars 2024 à 20:07:22 :
La remigration c'est pas le départ instantané de tout ce que la France compte de non-gaulois, c'est une succession de mesures juridiques et d'actions et chaque pas entraine le suivant et le rend plus facile.De manière réaliste :
- Modifications juridiques pour limiter les flux légaux : fin du regroupement familial, réduction drastique de la distribution de titres de séjours, transformation du droit d'asile (6 mois à un an le temps de faire passer la réforme).
- Grande opération policière d'expulsion de la totalité des clandestins présents dans le pays, donc expulsion de 80 à 90% des clandestins (700/800 000) en un an.
- Expulsion des immigrés ayant déjà eu un signalement, un casier, une amende quelconque, des immigrés au chômage, et des immigrés signalés pour certains propos anti-français/anti-blancs sur internet (environ 500 000 personnes en un an puis quelques dizaines de milliers par an).
- À partir de là, durcissement de la loi sur la nationalité : renforcement du droit du sang, suppression du droit du sol, impossibilité d'obtenir la nationalité par le mariage si citoyen non européen.
- Déchéance de nationalité des binationaux non-UE : un million de personnes.Tout ça couplé à une politique ultra répressive en matière pénale, à la construction d'une bonne centaine de milliers de places de prison, et à une politique d'immigration intra-européenne des pays voisins et déjà on a totalement inversé le processus.
Sachant qu'à partir du moment où on a modifié le droit et expulsé des clandestins, tout le reste se fera sans trop de problèmes. Rien de ce que j'ai cité n'est politique infaisable ni même irréaliste à moyen terme (5 à 10 ans).
Si on arrive à virer le petit million de clandestins, 2 à 3 millions d'immigrés les plus problématiques, à dégager un bon million de bi-nationaux, à bloquer les flux, à emprisonner les plus problématiques, le pays retrouve sa situation démographique du milieu des années 90.
C’est précisément pour ça qu'encore une fois, la rémigration ne sera pas une épuration ethnique mais un processus qui ne commencera pas sur des bases raciales, pas besoin d'invoquer de grandes théories sur la pureté Gauloise pour y accéder.
Remigration=/= fermer les frontières
Le 03 mars 2024 à 20:07:22 :
La remigration c'est pas le départ instantané de tout ce que la France compte de non-gaulois, c'est une succession de mesures juridiques et d'actions et chaque pas entraine le suivant et le rend plus facile.De manière réaliste :
- Modifications juridiques pour limiter les flux légaux : fin du regroupement familial, réduction drastique de la distribution de titres de séjours, transformation du droit d'asile (6 mois à un an le temps de faire passer la réforme).
- Grande opération policière d'expulsion de la totalité des clandestins présents dans le pays, donc expulsion de 80 à 90% des clandestins (700/800 000) en un an.
- Expulsion des immigrés ayant déjà eu un signalement, un casier, une amende quelconque, des immigrés au chômage, et des immigrés signalés pour certains propos anti-français/anti-blancs sur internet (environ 500 000 personnes en un an puis quelques dizaines de milliers par an).
- À partir de là, durcissement de la loi sur la nationalité : renforcement du droit du sang, suppression du droit du sol, impossibilité d'obtenir la nationalité par le mariage si citoyen non européen.
- Déchéance de nationalité des binationaux non-UE : un million de personnes.Tout ça couplé à une politique ultra répressive en matière pénale, à la construction d'une bonne centaine de milliers de places de prison, et à une politique d'immigration intra-européenne des pays voisins et déjà on a totalement inversé le processus.
Sachant qu'à partir du moment où on a modifié le droit et expulsé des clandestins, tout le reste se fera sans trop de problèmes. Rien de ce que j'ai cité n'est politique infaisable ni même irréaliste à moyen terme (5 à 10 ans).
Si on arrive à virer le petit million de clandestins, 2 à 3 millions d'immigrés les plus problématiques, à dégager un bon million de bi-nationaux, à bloquer les flux, à emprisonner les plus problématiques, le pays retrouve sa situation démographique du milieu des années 90.
C’est précisément pour ça qu'encore une fois, la rémigration ne sera pas une épuration ethnique mais un processus qui ne commencera pas sur des bases raciales, pas besoin d'invoquer de grandes théories sur la pureté Gauloise pour y accéder.
Si on fais dégager ceux qui ont un casier alors autant dégager tout le pays à ce stade.
- Déchéance de nationalité des binationaux non-UE : un million de personnes.
Ptdr le monde dans lequel vous vivez les chofs continuez à cope ça n'arrivera jamais j'ai bien fait de ne pas lire ton pavé éclatax
Normal que tu ne lise pas le pavé l'op, t'es un low