Chroniques d'un Uber Ride Cataclysmique : Ma descente aux enfers sur quatre roues

Yo les kheys, vous êtes pas prêts pour ce qui m'est arrivé hier soir en Uber. J'embarque dans la caisse, chauffeur avec des lunettes de soleil à minuit, première alerte. La playlist ? Un mélange de reggaeton et de classiques du disco, ça commence bien. Mais là où ça part en vrille, c'est quand le GPS se met à déconner sévère. Mon chauffeur, sûr de lui, commence à prendre des détours dignes d'une conspiration extraterrestre.

On s'égare dans des rues sombres, il lance des questions existentielles, et je me demande sérieusement si c'est un Uber ou le début d'un film d'horreur.

Alors là, mes kheys, accrochez-vous bien à vos sièges, parce que ça devient de plus en plus dingue. Le chauffeur, avec ses lunettes de soleil nocturnes, commence à me parler d'une théorie du complot impliquant des licornes extraterrestres. On traverse des quartiers où même Google Maps doit se perdre, et je me demande si je vais jamais revoir la lumière du jour.

Pendant ce temps, la playlist passe du reggaeton au thème de Titanic, avec le chauffeur chantonnant faux à tue-tête. C'est là que ça devient vraiment surréaliste : il s'arrête brusquement, sort une planche Ouija du coffre, et me propose de contacter l'esprit de Michael Jackson. Franchement, à ce stade-là, je me dis que je suis coincé dans une parodie d'émission de télé-réalité.

Alors, sur un coup de tête bizarre, je décide de jouer le jeu. On fait la séance Ouija sur le capot de sa caisse en pleine rue, et à ce moment-là, je réalise que cette nuit est gravée à jamais dans les annales de l'absurde. Enfin, après cette expérience digne d'un trip hallucinogène, je descends de la caisse, paie le gars en espèces, et me retrouve sur le trottoir en me demandant : "Qu'est-ce qui vient de se passer ?!"

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