Être malheureux fait fuir les autres

C'est fou quand même ce cycle infernale. On est seul donc on est malheureux. On est malheureux donc on fait fuir les autres. Donc on est encore plus seul et ainsi de suite.

La vie cette sale race.

La définition de la bouclehttps://image.noelshack.com/fichiers/2021/12/3/1616619690-ezgif-3-999ea4e41c48.gif

Le 09 février 2024 à 22:08:03 :
La définition de la bouclehttps://image.noelshack.com/fichiers/2021/12/3/1616619690-ezgif-3-999ea4e41c48.gif

Tu es dedans toi aussi?

Up

Le 09 février 2024 à 22:05:29 :
C'est fou quand même ce cycle infernale. On est seul donc on est malheureux. On est malheureux donc on fait fuir les autres. Donc on est encore plus seul et ainsi de suite.

La vie cette sale race.

https://isha.sadhguru.org/global/fr/inner-engineering

Perso à chaque fois que je sors je fume ou je bois donc ça se voit pas que je suis malheureux ce qui fait que je peux me créer un cercle sociale ce qui fait que je suis heureux

Le 09 février 2024 à 22:13:07 :
Perso à chaque fois que je sors je fume ou je bois donc ça se voit pas que je suis malheureux ce qui fait que je peux me créer un cercle sociale ce qui fait que je suis heureux

Donc tu es heureux alors tg

Le 09 février 2024 à 22:13:33 :

Le 09 février 2024 à 22:13:07 :
Perso à chaque fois que je sors je fume ou je bois donc ça se voit pas que je suis malheureux ce qui fait que je peux me créer un cercle sociale ce qui fait que je suis heureux

Donc tu es heureux alors tg

Au prix de mon addiction, c’est un peu comme un pacte avec le diable

C’est logique. A force d’être négatif ça fatigue les autres qui ne voient rien d’autre qu’une personne ne voulant pas s’en sortir.

Le 09 février 2024 à 22:14:53 :
C’est logique. A force d’être négatif ça fatigue les autres qui ne voient rien d’autre qu’une personne ne voulant pas s’en sortir.

C’est très bien expliqué dans un épisode de South Park d’ailleurs

souris à la vie et la vie te sourira, cultive le positif, tu as à manger, tu as à boire.https://image.noelshack.com/fichiers/2024/06/5/1707513372-1696703898-yssa.png

Commes les millions de personnes qui sont sorties de cet enfer, faites vous initier à Shambhavi Mahamudra et Surya Kriya

La sélection est naturellement triste

"Le beau monde bannit de son sein les malheureux, comme un homme de santé vigoureuse expulse de son corps un principe morbifique. Le monde abhorre les douleurs et les infortunes, il les redoute à l’égal des contagions, il n’hésite jamais entre elles et les vices : le vice est un luxe. Quelque majestueux que soit un malheur, la société sait l’amoindrir, le ridiculiser par une épigramme ; elle dessine des caricatures pour jeter à la tête des rois déchus les affronts qu’elle croit avoir reçus d’eux ; semblable aux jeunes Romaines du Cirque, elle ne fait jamais grâce au gladiateur qui tombe ; elle vit d’or et de moquerie ; Mort aux faibles ! est le vœu de cette espèce d’ordre équestre institué chez toutes les nations de la terre, car il s’élève partout des riches, et cette sentence est écrite au fond des cœurs pétris par l’opulence ou nourris par l’aristocratie. Rassemblez-vous des enfants dans un collége ? Cette image en raccourci de la société, mais image d’autant plus vraie qu’elle est plus naïve et plus franche, vous offre toujours de pauvres ilotes, créatures de souffrance et de douleur, incessamment placées entre le mépris et la pitié : l’Évangile leur promet le ciel. Descendez-vous plus bas sur l’échelle des êtres organisés ? Si quelque volatile est endolori parmi ceux d’une basse-cour, les autres le poursuivent à coups de bec, le plument et l’assassinent. Fidèle à cette charte de l’égoïsme, le monde prodigue ses rigueurs aux misères assez hardies pour venir affronter ses fêtes, pour chagriner ses plaisirs. Quiconque souffre de corps ou d’âme, manque d’argent ou de pouvoir, est un Paria. Qu’il reste dans son désert ; s’il en franchit les limites, il trouve partout l’hiver : froideur de regards, froideur de manières, de paroles, de cœur ; heureux, s’il ne récolte pas l’insulte là où pour lui devait éclore une consolation. Mourants, restez sur vos lits désertés. Vieillards, soyez seuls à vos froids foyers. Pauvres filles sans dot, gelez et brûlez dans vos greniers solitaires. Si le monde tolère un malheur, n’est-ce pas pour le façonner à son usage, en tirer profit, le bâter, lui mettre un mors, une housse, le monter, en faire une joie ? Quinteuses demoiselles de compagnie, composez-vous de gais visages ! endurez les vapeurs de votre prétendue bienfaitrice ; portez ses chiens ; rivales de ses griffons anglais, amusez-la, devinez-la, puis taisez-vous ! Et toi, roi des valets sans livrée, parasite effronté, laisse ton caractère à la maison ; digère comme digère ton amphitryon, pleure de ses pleurs, ris de son rire, tiens ses épigrammes pour agréables ; si tu veux en médire, attends sa chute. Ainsi le monde honore-t-il le malheur : il le tue ou le chasse, l’avilit ou le châtre."

Balzac a tout dit.

Le 09 février 2024 à 22:15:17 :

Le 09 février 2024 à 22:14:53 :
C’est logique. A force d’être négatif ça fatigue les autres qui ne voient rien d’autre qu’une personne ne voulant pas s’en sortir.

C’est très bien expliqué dans un épisode de South Park d’ailleurs

Quand Stan devient gothique ? Ça fait longtemps que j’ai pas regardé

Tu te rends comptes de la nature humaine. Méprise les golems et utilise ce mépris pour les manipuler et exploiter leur stupidité pour ton intérêt.