jus-de-smegma3
2024-02-04 03:05:19
c'était en octobre il y a quelques années. avec un groupe d'amis, dont un couple qui venait se se fiancer, nous sortions d'un bar, heureux. on avait passé un excellent moment tous ensemble.
de notre couple de jeunes mariés se dégageait une excellente aura, ils nous faisaient part de leurs projets, mais même en étant célibataire, je n'étais pas envieux, ils me motivaient.
ils me donnaient envie, moi aussi, de trouver une femme avec qui je pourrais voyager, trouver une maison à rénover, faire des enfants le plus tard possible pour profiter de notre vie post-études supérieures
à vrai dire, je les admirais car je m'identifiais complètement à lui, on a fait le même collège et lycée, on a joué aux mêmes jeux vidéos, on avait grandi ensemble sans se soucier de l'avenir et il était désormais là, épanoui.
au moment de rentrer, on était vraiment heureux, on a bien ri, même plus que de raison, aux railleries de notre jeune marié, en forme ce soir. on a bien dansé tous ensemble. la soirée devait rester un excellent souvenir
je suis sur le trottoir, j'ai les mains froides, il pleut, je déverrouille l'antivol de mon vélo, le froid et l'humidité sont désagréables sur mes mains nues. une voiture arrive à une vitesse démesurée, normal à cette heure-ci, sauf que j'entends un cri effroyable.
je n'ai pas entendu de choc directement, mais en relevant les yeux j'ai vu cette voiture le traîner, sur plusieurs mètres, avant qu'il soit ejecté du dessous de la voiture, plus loin.
la quantité du sang qui s'était répandu sur le sol humide était moins atroce que les morceaux de corps qui jonchaient le bitume. j'ai vu sa fiancée ramasser des morceaux de chair, de cerveau, alors que les autres la suppliaient d'arrêter.
j'ai vu ça du coin des yeux, personne ne voulait voir cette scène, cette vérité en face. pourtant, nous avons tous réalisé qu'il était décédé, mutilé épouvantablement par un chauffard. sauf elle.
c'est ce qui m'a le plus marqué. en état de choc, elle pensait sûrement qu'il serait possible de le réanimer, de retrouver celui qu'elle aimait. mais j'étais assez lucide pour comprendre qu'il n'y avait rien à faire
mais j'avais quand même une petite satisfaction en moi car je me suis dit que dans son désespoir elle aurait pu perdre un peu la tête et coucher un peu avec tout le monde pour s'en remettre, dont moi
au fond je fantasmais sur elle, je rêvais de me la taper, j'étais certain qu'elle avait une chatte poilue avec un petit fumet bien prononcé que j'aurais adoré renifler jusqu'à m'en enivrer plus que de raison
elle me faisait penser à une actrice porno que j'adorais et qui a l'air trop gentille, Francesca Neeme, avec sa chatte poilue et son sourire
UkraineINVADER
2024-02-04 03:17:20
Le 04 février 2024 à 03:05:19 :
c'était en octobre il y a quelques années. avec un groupe d'amis, dont un couple qui venait se se fiancer, nous sortions d'un bar, heureux. on avait passé un excellent moment tous ensemble.
de notre couple de jeunes mariés se dégageait une excellente aura, ils nous faisaient part de leurs projets, mais même en étant célibataire, je n'étais pas envieux, ils me motivaient.
ils me donnaient envie, moi aussi, de trouver une femme avec qui je pourrais voyager, trouver une maison à rénover, faire des enfants le plus tard possible pour profiter de notre vie post-études supérieures
à vrai dire, je les admirais car je m'identifiais complètement à lui, on a fait le même collège et lycée, on a joué aux mêmes jeux vidéos, on avait grandi ensemble sans se soucier de l'avenir et il était désormais là, épanoui.
au moment de rentrer, on était vraiment heureux, on a bien ri, même plus que de raison, aux railleries de notre jeune marié, en forme ce soir. on a bien dansé tous ensemble. la soirée devait rester un excellent souvenir
je suis sur le trottoir, j'ai les mains froides, il pleut, je déverrouille l'antivol de mon vélo, le froid et l'humidité sont désagréables sur mes mains nues. une voiture arrive à une vitesse démesurée, normal à cette heure-ci, sauf que j'entends un cri effroyable.
je n'ai pas entendu de choc directement, mais en relevant les yeux j'ai vu cette voiture le traîner, sur plusieurs mètres, avant qu'il soit ejecté du dessous de la voiture, plus loin.
la quantité du sang qui s'était répandu sur le sol humide était moins atroce que les morceaux de corps qui jonchaient le bitume. j'ai vu sa fiancée ramasser des morceaux de chair, de cerveau, alors que les autres la suppliaient d'arrêter.
j'ai vu ça du coin des yeux, personne ne voulait voir cette scène, cette vérité en face. pourtant, nous avons tous réalisé qu'il était décédé, mutilé épouvantablement par un chauffard. sauf elle.
c'est ce qui m'a le plus marqué. en état de choc, elle pensait sûrement qu'il serait possible de le réanimer, de retrouver celui qu'elle aimait. mais j'étais assez lucide pour comprendre qu'il n'y avait rien à faire
mais j'avais quand même une petite satisfaction en moi car je me suis dit que dans son désespoir elle aurait pu perdre un peu la tête et coucher un peu avec tout le monde pour s'en remettre, dont moi
au fond je fantasmais sur elle, je rêvais de me la taper, j'étais certain qu'elle avait une chatte poilue avec un petit fumet bien prononcé que j'aurais adoré renifler jusqu'à m'en enivrer plus que de raison
elle me faisait penser à une actrice porno que j'adorais et qui a l'air trop gentille, Francesca Neeme, avec sa chatte poilue et son sourire
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