Svpmarredett
2023-11-21 20:57:36
C'est comme si on était figés, mis en pause depuis des années on a rien, on profite de rien.
Pas de copine, pas d'affection, pas de sexe, pas d'amis, pas de sentiment d'appartenance, d'être suffisant, de compter pour quelqu'un. Pas d'argent suffisamment pour faire ce qu'on veut.
Boulot/études et 0 dopamine.
Les jeux ne font rien, les d non plus.
Y'a RIEN, aucun moment libérateur sur lequel compter, pas d'échéance, pas d'espoir, pas de cap, de se dire "ah c'est bon je trime, je souffre mais ça va arriver dans x temps"
A côté les autres sortent, ont des amis, sont aimés, comptent, baisent, voyagent...
Blum45
2023-11-21 21:10:18
La réalité, c'est que tout ce que tu énonces est vain tant que tu n'as pas été capable d'être en paix avec toi même, tu te dois d'être ta première nécessité.
Avoir des amis, c'est nécessaire à l'aération régulière de l'esprit et à la rencontre d'autres personnes qui deviendront eux mêmes tes amis néanmoins, ils ont leur vie à accomplir, ce n'est pas une finalité mais une douceur de l'existence qu'il convient de ne pas idéaliser, ni dépendre et c'est la même chose pour le reste de tes énonciations.
La perspective que tu recherches est celle du déni de toi même à travers l'autre et c'est là toute ton erreur qui te fait vaquer sur une vision nihiliste du vivant.
Tu dois travailler sur les composantes de ta personnalité, si tu ne possèdes pas d'ami, il convient de faire preuve d'introspection et de comprendre pourquoi, sympathiser, reprendre contact avec les gens, initier le rapport social, surprendre, ça fait partie d'une succession d'actions qu'il faut assimiler et entreprendre dans ton rapport à autrui.