Les seuils recommandés par l'OMS sont pratiques à utiliser, mais ils devraient idéalement varier selon le sexe, l'âge et l'origine ethnique et ces derniers doivent être considérés avec prudence dans le cadre d'un diagnostic individuel.
L'interprétation de l'impact de l'IMC sur le risque de mortalité est donc à nuancer car il ne prend en compte ni le sexe, ni l'âge, ni la répartition des graisses dans le corps (les graisses localisées au niveau de l'abdomen sont celles qui ont le plus d'impact sur la santé et la forme physique de l'individu).