Je vois les vieux en fin de vie
C'est quoi leur plaisir ?
Je vois les ados, pitié le collège lycée c'est l'enfer
Je vois les salariés lambdas, et je sais pas comment ils trouvent la motivation a être dans la boucle
Ça me ruine
Les énergies sont basses
Les gens sont éteints
C'est vraiment l'enfer
Ça manque de magie, d'étincelles.
Rien ne le fait envie dans cette société de brisax
Tous habillés en bleu marine, noir kaki
Mêmes allures
Mêmes têtes de blasés
Horrible
Pour bien vivre à Paris il faut au minimum 5000 euros par mois, ce que la majorité des gens ne gagnent pas donc pas surprenant.
Pense à tout ce que tu as accompli jusqu'à présent : ça ne te fera pas aller mieux, mais au moins tu auras une vraie raison de déprimer.
Mais le brunch du samedi midi résout tous les problèmes
Paris = ville pour gens chiants, en couple avec des vies monotones.
Le 08 novembre 2023 à 12:57:30 :
Mais le brunch du samedi midi résout tous les problèmesParis = ville pour gens chiants, en couple avec des vies monotones.
J'ai envie de vivre a la campagne
Mais aucun mec veut ça
Les hommes veulent tous la ville
Paris c'est clairement la déprime oui
À chaque fois j'y reviens avec un bon mood en me disant que cette ville n'est pas si mal, à chaque fois je suis choqué de l'ambiance pourrave de cette ville
Tout est gris, bétonné, coupé de la nature, aucune magie dans les rues, rien.
Cette Magalax en surpoids s'étonne d'avoir une vie de merde
Hier tu bouclais sur ton ex qlf de poche qui t'as jeté comme une vieille chaussette
Va consulter
Le 08 novembre 2023 à 12:58:28 :
Le 08 novembre 2023 à 12:57:30 :
Mais le brunch du samedi midi résout tous les problèmesParis = ville pour gens chiants, en couple avec des vies monotones.
J'ai envie de vivre a la campagne
Mais aucun mec veut çaLes hommes veulent tous la ville
https://image.noelshack.com/fichiers/2018/02/7/1515900617-chat-zoom.png
Non y a des mecs qui aime la campagne regarde l'amour est dans le pré
Le 08 novembre 2023 à 12:58:28 :
Le 08 novembre 2023 à 12:57:30 :
Mais le brunch du samedi midi résout tous les problèmesParis = ville pour gens chiants, en couple avec des vies monotones.
J'ai envie de vivre a la campagne
Mais aucun mec veut çaLes hommes veulent tous la ville
https://image.noelshack.com/fichiers/2018/02/7/1515900617-chat-zoom.png
Ils veulent pouvoir mater des culs dans la rue, c'est ça ?
Un bon topax minette :
- Un sujet éclatax dont tout le monde se fout
- Une succession d'incel qui viennent insulter minette sans savoir que c'est un homme
- Des ghostfags bite en main pour une quelconque raison
L'élitent
Rifson après 3 ans d'esclavariat
Le M13 dream de Rifson depuis 3 ans
Témoignage de Rifson : Sincèrement, comment peut on accepter le temps ô combien bref et court d'une vie humaine de pourrir corps et âme dans la banlieu de la sodom des gaules.
Chaque jour maudit que je passe dans le périmètre corrosif de Paris la puante m'enlaidit littéralement. Les ondes négatives et le stress traumatique que je subis quotidiennement est encore plus efficace que le rayonnement radioactif pour altérer le code génétique de mes cellules corporelles.
Cette action oblitératrice réduit mon ADN nucléotidique ATGC en ADN CGT.
Non, sincèrement, il faut être pire qu'un déchet humain, pire qu'une larve, pour se conforter dans le médiocre pseudo-confort de la vie Parisienne, dont on ne profite finalement jamais.
L'histoire des 3 ans de Rifson en IdF :
L'alarme stridente de son téléphone le sortit impitoyablement de sa douce torpeur, son unique refuge. Invariablement, le programme millimétré de l'horloge intégrée profanait l'anéantissement de soi que le sommeil offrait à l'homme brisé.
Dans un réflexe pavlovien, il se réveilla apeuré, comme pris en flagrant délit, criminel oisif. Cette stimulation avait été incorporée à son être à force d'un usage répété et incessant, violant son esprit et sa volonté. Ce que cela annonçait n'était que vide et désintérêt.
Dès qu'il prenait conscience au petit matin, l'homme au réveil luttait, sa conscience à peine émergente, contre la rage folle envers ce que représentait ce rituel d'aliénation douloureuse du temps dans son existence.
L'homme au réveil se lève difficilement de son lit, encore groggy et engourdi par le sommeil. Il se dirige vers la salle de bain pour se rafraîchir le visage et se réveiller complètement. Il se regarde dans le miroir et ne reconnaît plus l'homme qu'il voit. Les cernes sous ses yeux témoignent des nuits sans sommeil qu'il a endurées. Ses épaules sont affaissées, son dos est courbé sous le poids de la fatigue et du stress.
Le réveil sonne strident, perçant l'air empuanti d'une ville putride. Rifson, tel est son nom, se lève, effleuré par la conscience qu'il n'aura aucun répit. Il sait déjà qu'il est en sursis, enchaîné à une routine absurde, emprisonné dans une ville qui n'est plus que l'ombre de ce qu'elle était. Paris est désormais un lieu sinistre, un champ de bataille où les vaincus sont les civils. Les trottoirs, auparavant pavés de rêves et d'espoir, sont maintenant jonchés de détritus et d'excréments. Les rues sont des rivières de sang, de crasse et de sueur. Les commerces sont des boutiques de misère, où les riches s'enrichissent et les pauvres se perdent. Les logements sont des taudis insalubres où la vie n'a plus aucune valeur.
Depuis que qu'il est arrivé dans cette ville, il a plongé dans un abîme de désespoir. Les rues de Paris sont envahies par une foule bruyante et agressive, qui l'a submergé dès son premier jour ici. Les études sont tout aussi insupportables. Il se sent comme un singe en manque de dopamine, qui passe ses journées à se masturber pour échapper à la réalité de ce monde de merde. La dissonance entre son être et ses études sans intérêt est insupportable, et il ne peux s'empêcher de penser que la seule façon de s'en sortir est de se suicider.
Les ondes négatives émanant de cette ville l'étouffent, l'oppressent, le tirent vers le bas. Il est pris dans un égrégore maléfique et avilissant qui l'oblige à devenir un golem, un petit soldat du capital. Il est un pur aliéné mental dont l'existence sert à légitimer le système d'oppression capitaliste.
Ses études sont insensées, elles ne peuvent être menées à bien qu'en étant un pur aliéné mental. sa souffrance n'est que le résultat de la confrontation entre son être entier et ses études bullshit. La vie est trop courte pour être gâchée de cette manière. Et pourtant... Boomers de merdes.
Il souffre énormément de sa vie près de Paris. Depuis qu'il a posé ses pieds dans cette ville, son état mental n'a fait qu'empirer. Il se sent de plus en plus malade, Rifson était en train de perdre la tête.Il n'est pas fragile, mais Paris est comme un virus qui infecte tout ce qui s'approche de lui. Depuis qu'il y était, il a développé des comportements malsains, des addictions et des vices.
Il s'est mis à chercher des explications, et a fini par découvrir l'article de John Calhoun sur le "Squared death". Il pensa que c'est exactement ce dont il souffrait. Mais ce n'est pas suffisant pour expliquer la profondeur de son malaise. Il a commencé à explorer la parapsychologie et a découvert l'existence d'un égrégore massif à Paris. Il y a quelque chose de pervers dans cette ville, quelque chose qui se nourrit de notre énergie et de notre vitalité.
Mais ce n'est pas tout. Paris détruit tout ce qui est bon et noble en lui. Les valeurs qui étaient au cœur de son identité ont été complètement balayées par l'atmosphère toxique de cette ville. Il est devenu une coquille vide, un zombie qui erre dans les rues de Paris en quête de quelque chose qui n'existe plus.
Et même lorsque il parvient à s'échapper de cette ville maudite, il ne peux pas retrouver ma santé mentale. Les effets positifs sont de courte durée et la réalité de Paris le rattrape toujours. Les transports en commun sont une source de stress constante, tout comme l'atmosphère oppressante et la pression sociale pour réussir dans la vie.
Le golem de Banlieue avait perdu tout sens critique et toute volonté de changer sa situation. Il avait vendu son âme à la ville de Paris, laissant son esprit se noyer dans un océan de décadence et de désespoir.
Chaque jour, il descendait les marches de Saint Lazare, devenant de plus en plus aliéné par le rituel satanique qu'il avait adopté. L'odeur d'ammoniac fermenté l'enveloppait, l'enivrant de sa douceur nauséabonde, tandis qu'il était entraîné dans un tourbillon d'émotions négatives.
Le golem avait cessé d'être humain depuis longtemps, et ne voyait plus que la mort comme une issue à sa souffrance. Il criait seul dans sa chambre, se cognait contre les murs, cherchant en vain une échappatoire à sa détresse.
Il avait abandonné toute forme de raison, acceptant son sort de vermine banlieusarde, prisonnier de son propre mode de vie décadent et corrompu. L'égrégore de Paris avait fini par le briser complètement, transformant son corps et son esprit en coquille vide.
Le golem de Banlieue était devenu l'incarnation de la dystopie parisienne, un être perdu dans un monde de misère et de corruption. Il ne restait plus rien de son humanité, juste une créature aliénée qui se traînait chaque jour jusqu'à Saint Lazare pour accomplir son rituel satanique.
Oui, telle est mon histoire. Paris, la ville des lumières, la ville de l'amour, la ville de la culture, la ville de la mode. Tant de clichés pour décrire cette ville qui semble attirer tant de gens. Pourtant, pour moi, Paris est devenue la ville de la mort, la ville de la folie, la ville de la désolation. Depuis que je suis venu ici pour poursuivre mes études, ma vie a pris une tournure sombre et sinistre. J'ai perdu toute joie de vivre, toute énergie, toute passion. Je suis devenu un être vide, brisé, consumé par la douleur.
Tout commence dès que je descends les escaliers pour prendre le métro. Le vertige cognitif me saisit, les masses marchent de façon automatique, la mort dans l'âme. Les odeurs de pisse fermentée m'envahissent, la foule me presse, les panneaux publicitaires me crient des messages de consommation effrénée. Tout cela crée en moi un sentiment de dystopie, un sentiment de cancer. La vie en IDF n'a pas d'autre but que de fracasser la santé mentale des hommes.
Pourtant, je ne suis pas un être fragile. Avant de venir ici, j'étais normal, sociable, avec un hippocampe et un cortex préfrontal sans doute dans la moyenne. Mais depuis que je suis à Paris, je me suis transformé en un être paresseux et effrayé, hanté par la mentalité des gens, l'immobilier, la mixité culturelle et l'insécurité.
Je ne peux plus sortir sans être pris de panique, sans me sentir agressé par les clodos, sans subir les micro-agressions répétitives. Je suis un serf dans cette ville féodale, un esclave du système capitaliste qui m'a pris mon âme et mon identité.
Chaque jour, je suis pris dans une routine aliénante : trois heures de transport par jour, un boulot qui ne me procure aucune satisfaction, une pause déjeuner qui ne suffit pas à me ressourcer, un retour chez moi tard le soir. Je suis épuisé, déprimé, en colère. Je crie dans ma chambre, j'ai des accès de rage, je rêve de tout détruire.
Pourtant, je ne peux pas partir, je suis piégé ici. Je suis en proie à une force obscure, une aura perverse qui m'est sensible mais pas intelligible. J'ai exploré toutes les hypothèses, de la psychologie à la parapsychologie en passant par l'axiologie, mais rien ne peut expliquer ce phénomène.
Je suis condamné à vivre dans cette ville de malade, à subir la vie en cage parisienne, à perdre peu à peu toute humanité. Je ne peux que crier ma douleur, ma haine, ma tristesse. La vie n'a plus de sens pour moi, je suis déjà mort.
transports sataniques, Paris et l'IDF.
Le réveil sonne et aliène l'esclavarié dès le petit matin. Il est 5h30 est l'esclavarié se fait de nouveau violer dans son sommeil. Ainsi retiré à son sommeil, l'esclavarié subit son shoot de cortisol. il se reveil fou de rage. Bouillonnant de haine envers l'existence misérable qu'il mène en Fronce.
Il va devoir s’engouffrer de bon matin dans les transports de déportation de veaux fronçais, le métro 13 où il sera serré et stressé, pour être livré bien brisé, bien apathique à son patron, ainsi passera t'il une journée vide de son existence qui lui sucera son energie vitale dans un bureau open space de merde
L'esclavarié se lève et abat sa main sur le 3ème reveil programmé. Il s'assoit sur le rebord de son lie et se recroqueville, retenant ses larmes
Il pense à la vacuité de son existence misérable
Il est au bord de la folie chaque matin, pas un jour il n'a pas pensé au suicide
Finito pour moi
Je ne bande plus
Je viens de faire une cure de tongat kali et de prégnénolone
Le résultat est inexistant
Fatigue, sommeil, et libido volatilisée
Paris se réveille quand les cloches sonnent dans les tours de Notre Dame
Le pêcheur s'empoissonne, le mitron mitronne sous les tours de Notre Dame !
Le bourdon éclatant mille tonnerres
La clochette légère tinte clair
Et l'on dit que c'est l'âme de Paris qui s'enflamme quand sonnent
Les Cloches De Notre Dame !
Le 08 novembre 2023 à 14:58:50 :
Le 08 novembre 2023 à 12:58:28 :
Le 08 novembre 2023 à 12:57:30 :
Mais le brunch du samedi midi résout tous les problèmesParis = ville pour gens chiants, en couple avec des vies monotones.
J'ai envie de vivre a la campagne
Mais aucun mec veut çaLes hommes veulent tous la ville
https://image.noelshack.com/fichiers/2018/02/7/1515900617-chat-zoom.png Ils veulent pouvoir mater des culs dans la rue, c'est ça ?
https://image.noelshack.com/fichiers/2020/52/7/1609073727-34.jpg
Bordel exactement
Le 08 novembre 2023 à 15:31:09 :
Le 08 novembre 2023 à 14:58:50 :
Le 08 novembre 2023 à 12:58:28 :
Le 08 novembre 2023 à 12:57:30 :
Mais le brunch du samedi midi résout tous les problèmesParis = ville pour gens chiants, en couple avec des vies monotones.
J'ai envie de vivre a la campagne
Mais aucun mec veut çaLes hommes veulent tous la ville
https://image.noelshack.com/fichiers/2018/02/7/1515900617-chat-zoom.png Ils veulent pouvoir mater des culs dans la rue, c'est ça ?
https://image.noelshack.com/fichiers/2020/52/7/1609073727-34.jpg Bordel exactement
https://image.noelshack.com/fichiers/2018/02/7/1515900617-chat-zoom.png
AYAAAAA