Pouvez-vous CITER un extrait de LIVRE/POESIE de TÊTE ?

PubliusOvidius
2023-11-03 23:22:58

Même si ça n'est qu'une phrase ou un vers.

Voyons ce qui a marqué le forum.

PubliusOvidius
2023-11-03 23:24:01

J'en ai plusieurs personnellement mais j'ai elle que je pense beaucoup de kheys reconnaîtront"Et au moment même où il le sut, il cessa de le savoir."

pdc-22
2023-11-03 23:24:24

Oui

PubliusOvidius
2023-11-03 23:24:46

Le 03 novembre 2023 à 23:24:24 :
Oui

Un exemple ?

ProfesseurMINOS
2023-11-03 23:24:53

Les souvenirs sont cors de chasse, dont meurt le bruit parmi le vent.

Tartine_Pain
2023-11-03 23:26:00

oui après 3 ans de Verlaine

ayant poussé la porte étroite qui chancelle, je me suis promené dans le petit qu'éclairait doucement le soleil du matin

Alcamodiritorno
2023-11-03 23:26:02

Il neigait, on était vaincus par sa tempête

Pour la première fois, l'aigle baissait la tête

Sombre jours, l'empereur revenait lentement

Laissant derrière lui brûler Moscou fumant

dem067
2023-11-03 23:26:14

Le vent se lève, il faut tenter de vivrehttps://image.noelshack.com/fichiers/2022/37/1/1663014384-ahi-pince-mais.png

PubliusOvidius
2023-11-03 23:26:18

Le 03 novembre 2023 à 23:24:53 :
Les souvenirs sont cors de chasse, dont meurt le bruit parmi le vent.

La source de cette jolie phrase ?https://image.noelshack.com/fichiers/2017/13/1490886827-risibo.png

Sacre_Bleu
2023-11-03 23:26:52

Et mon cœur pour tes yeux lentement s'empoisonne.

weak0
2023-11-03 23:27:33

Un corbo sur un arbre perchait

PubliusOvidius
2023-11-03 23:27:53

Le 03 novembre 2023 à 23:26:02 :
Il neigait, on était vaincus par sa tempête

Pour la première fois, l'aigle baissait la tête

Sombre jours, l'empereur revenait lentement

Laissant derrière lui brûler Moscou fumant

Ça me fait repenser au Colonel Chabert : "Notre soleil s'est couché, nous avons tous froid maintenant"

NotFromZambia
2023-11-03 23:27:55

Comme le champ semé en verdure foisonne,
De verdure se hausse en tuyau verdissant
Du tuyau se hérisse en épi florissant
D'épi jaunit en grain, que le chaud assaisonne

Et comme en la saison le rustique moissonne
Les ondoyants cheveux du sillon blondissant
Les met d'ordre en javelle, et du blé jaunissant
Sur le champ dépouillé mille gerbes façonne

Ainsi de peu à peu crût l'empire romain
Tant qu'il fut dépouillé par la barbare main
Qui ne laissa de lui que ces marques antiques

Que chacun va pillant : connue on voit le glaneur
Cheminant pas à pas recueillir les reliques
De ce qui va tombant après le moissonneur.

MALALAVIE94
2023-11-03 23:28:28

Sous le pont Mirabeau coule la Seine
Et nos amours faut il qu'il s'en souvienne ?
La joie venait toujours après la peine

RetenirSperme
2023-11-03 23:29:22

un peu de Ronsard, de Hugo et de Rostand

surtout du La Fontaine

PP2023
2023-11-03 23:29:46

selon que vous serez puissant ou misérable, les jugements de cour vous rendront blanc ou noir

plus j'aime l'humanité en général, moins j'aime les gens en particulier

tout flatteur vit aux dépens de celui qui l'écoute

HookInPussy002
2023-11-03 23:30:09

Maître corbeau sur un arbre perché
Tenait en son bec un fromage

Solipsist
2023-11-03 23:30:17

Elle vient ! je me sens déjà botté de marbre, ganté de plomb
Oh mais puisqu'elle est chemin je l'attendrai debout l'épée à la main
Je crois qu'elle regarde... Qu'elle ose regarder mon nez cette camarde
Que dites vous ? C'est inutile ? Je le sais
Mais on ne se bat pas dans l'espoir du succès non
C'est bien plus beau lorsque c'est inutile

flemme de tout écrire :hap:

Me-me-metisse
2023-11-03 23:30:57

"Parce que c'est toi, parce que c'est moi"
Je ne sais plus de qui. Des poètes gays

Je connais encore par cœur le loup et l'agneau et le corbeau et le renard

PubliusOvidius
2023-11-03 23:30:58

Le 03 novembre 2023 à 23:27:55 :
Comme le champ semé en verdure foisonne,
De verdure se hausse en tuyau verdissant
Du tuyau se hérisse en épi florissant
D'épi jaunit en grain, que le chaud assaisonne

Et comme en la saison le rustique moissonne
Les ondoyants cheveux du sillon blondissant
Les met d'ordre en javelle, et du blé jaunissant
Sur le champ dépouillé mille gerbes façonne

Ainsi de peu à peu crût l'empire romain
Tant qu'il fut dépouillé par la barbare main
Qui ne laissa de lui que ces marques antiques

Que chacun va pillant : connue on voit le glaneur
Cheminant pas à pas recueillir les reliques
De ce qui va tombant après le moissonneur.

En entier nofake ? Remarque, je me souviens encore d'heureux qui comme Ulysse de du Bellay après toutes ces années.

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