🚨 le massacre de san Fernando au Mexique

massons
2023-11-03 14:12:24

Alors que le bus quitte San Fernando, le conducteur remarque des camions qui bloquent l'autoroute en avant, et des hommes portant des cagoules et armés de fusils d'assaut AR-15. Ces hommes font signe au bus de s'arrêter et le conducteur obtempère. Ils s'approchent, armes pointées vers le véhicule, et s'écrient : « Ouvre la porte cabrón, bouge hijo de puta si tu ne veux pas que je te tire dans la tête ». Le chauffeur, tremblant, ouvre la porte et les assaillants s'engouffrent dans le bus. « Vous êtes tous dans la merde » crie l'un d'entre eux aux passagers. Ces derniers sont terrorisés, certains se mettent à pleurer, pensant qu'il s'agit d'un vol à main armée.

Les assaillants ordonnent au conducteur de redémarrer et le font prendre un chemin de terre pendant une dizaine de kilomètres jusqu'à une plaine, « au milieu de nulle part ». Là sont déjà garés une vingtaine de camions et trois autobus, certains troués de balles, les pneus crevés et les fenêtres brisées. Le conducteur se voit demander d'arrêter le bus, puis les hommes de descendre. Ils sont alignés et les membres du cartels commencent à les trier du plus jeune au plus vieux et du plus fort au plus faible. Ceux qui paraissent être les plus vieux ou les plus faibles sont séparés du groupe, leurs chevilles sont attachées et ils sont emmenés ailleurs. Les hommes restants doivent enlever leur chemise et attendre. Un homme habillé d'un uniforme noir et équipé d'un gilet pare-balles sort d'un des camions et s'approche. Il est appelé Comandante 40 par les autres, plus connu sous son nom : Miguel Treviño Morales. C'est un des chefs des Zetas. Il s'adresse aux hommes alignés et dit avec une voix puissante : « voyons voir cabrones, qui veut vivre ? ». Personne ne répond. Un adolescent s'urine dessus accidentellement sous l'effet du stress, et le Comandante 40 l'abat d'une balle dans la tête. Puis il crie « je vais vous le demander encore une fois, qui veut vivre ? ». Tous les hommes lèvent la main. « Bien, nous allons vous tester pour voir de quoi vous êtes capables. Si vous réussissez vous vivez, sinon vous êtes dans la merde. ». Le Comandante demande ensuite à ses hommes d'amener des battes et des clubs, et chacun des hommes alignés en reçoit une ou un. Ils sont ensuite mis par paires, et Treviño Morales dit alors : « très bien, cassez-vous la gueule ».

Un des passagers s'approche de lui et lui dit en pleurant : « S'il-vous-plaît monsieur, je ne veux pas faire ça. Je vous donnerai tout l'argent que j'ai et ma propre maison, mais s'il-vous-plaît laissez-nous partir ». Treviño Morales le regarde avec fermeté, lui prend son club et lui dit : « ok idiot, pars ». Alors que l'homme s'éloigne, il le frappe violemment derrière la tête avec sa batte, puis s'acharne en lui portant plus de vingt coups jusqu'à ce que sa tête soit complètement détruite. Il se retourne vers les autres victimes et leur déclare : « c'est ce que vous avez à faire, portez vos couilles. Ceux qui ne veulent pas peuvent me le dire et je vous exploserai ». Tous les hommes commencent à se battre. Pendant ce temps, les membres des Zetas toujours présents dans le bus choisissent les femmes qu'ils considèrent comme étant les plus belles et les font descendre du véhicule pour pouvoir les violer. Ils arrachent les enfants à leurs mères, puis abattent les derniers passagers. Les femmes sont emmenées dans un entrepôt où d'autres femmes sont déjà retenues captives. À l'intérieur d'une pièce plongée dans le noir, les femmes sont violées et battues, d'après leurs cris et ceux des enfants plongés dans de l'acide. Un des conducteurs se voit demander de redémarrer et diriger le bus vers l'endroit où les victimes qui avaient été attachées sont allongées au milieu du chemin de terre. « Roule-leur dessus », dit un des tueurs au chauffeur, qui reste immobile. « Roule-leur dessus ou tu les rejoins, cabrón », répète l'homme. Pendant que le chauffeur écrase ses passagers, il a l'impression de rouler sur des dos-d'ânes, à la différence près qu'il peut entendre les cris des victimes. À la fin, il est abattu d'une balle dans la tête, et le bus est incendié. Treviño Morales rassemble ses hommes et leur dit : « nous nous sommes assez amusé pour cette nuit. Amenez les vainqueurs ». Ils amènent devant lui les survivants des combats entre passagers.

Terrible

massons
2023-11-03 14:21:17

Up

Tiers-monde17
2023-11-03 14:42:45

Comment on peut connaître les impressions du chauffeur de bus s'il a été abattu juste après ? :(

7fbnzeyuhfijoke
2023-11-03 14:45:37

Le 03 novembre 2023 à 14:42:45 :
Comment on peut connaître les impressions du chauffeur de bus s'il a été abattu juste après ? :(

Il a écrit un livre après cette incartade

GodLeftUs
2023-11-03 14:47:59

La vie dans un shit-hole, quel plaisir

massons
2023-11-03 18:28:47

Le 03 novembre 2023 à 14:42:45 :
Comment on peut connaître les impressions du chauffeur de bus s'il a été abattu juste après ? :(

" un des conducteurs "

On suppose qu’il y en avait plusieurs

Scolopandre01
2023-11-03 18:31:10

Et y'a eu deux massacre comme ça dans la même région aya

https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Massacre_de_San_Fernando

chevre_mutante
2023-11-03 18:33:01

Ptin pas ce récithttps://image.noelshack.com/fichiers/2017/06/1486564392-bloggif-589b29a816cac.png

Tentative10k
2023-11-03 18:34:57

Qu'est ce qu'il est arrivé aux survivants des bagarres ?

massons
2023-11-03 18:35:28

Le 03 novembre 2023 à 18:34:57 :
Qu'est ce qu'il est arrivé aux survivants des bagarres ?

Ils ont rejoint le cartel

Poulpoz-35
2023-11-03 18:35:49

Apparemment les Zetas n’existent plus :(
C’est pas hyper clair mais ils étaient terrifiants

Pseud008
2023-11-03 18:36:38

Le 03 novembre 2023 à 14:12:24 :
<spoil> Alors que le bus quitte San Fernando, le conducteur remarque des camions qui bloquent l'autoroute en avant, et des hommes portant des cagoules et armés de fusils d'assaut AR-15. Ces hommes font signe au bus de s'arrêter et le conducteur obtempère. Ils s'approchent, armes pointées vers le véhicule, et s'écrient : « Ouvre la porte cabrón, bouge hijo de puta si tu ne veux pas que je te tire dans la tête ». Le chauffeur, tremblant, ouvre la porte et les assaillants s'engouffrent dans le bus. « Vous êtes tous dans la merde » crie l'un d'entre eux aux passagers. Ces derniers sont terrorisés, certains se mettent à pleurer, pensant qu'il s'agit d'un vol à main armée.

Les assaillants ordonnent au conducteur de redémarrer et le font prendre un chemin de terre pendant une dizaine de kilomètres jusqu'à une plaine, « au milieu de nulle part ». Là sont déjà garés une vingtaine de camions et trois autobus, certains troués de balles, les pneus crevés et les fenêtres brisées. Le conducteur se voit demander d'arrêter le bus, puis les hommes de descendre. Ils sont alignés et les membres du cartels commencent à les trier du plus jeune au plus vieux et du plus fort au plus faible. Ceux qui paraissent être les plus vieux ou les plus faibles sont séparés du groupe, leurs chevilles sont attachées et ils sont emmenés ailleurs. Les hommes restants doivent enlever leur chemise et attendre. Un homme habillé d'un uniforme noir et équipé d'un gilet pare-balles sort d'un des camions et s'approche. Il est appelé Comandante 40 par les autres, plus connu sous son nom : Miguel Treviño Morales. C'est un des chefs des Zetas. Il s'adresse aux hommes alignés et dit avec une voix puissante : « voyons voir cabrones, qui veut vivre ? ». Personne ne répond. Un adolescent s'urine dessus accidentellement sous l'effet du stress, et le Comandante 40 l'abat d'une balle dans la tête. Puis il crie « je vais vous le demander encore une fois, qui veut vivre ? ». Tous les hommes lèvent la main. « Bien, nous allons vous tester pour voir de quoi vous êtes capables. Si vous réussissez vous vivez, sinon vous êtes dans la merde. ». Le Comandante demande ensuite à ses hommes d'amener des battes et des clubs, et chacun des hommes alignés en reçoit une ou un. Ils sont ensuite mis par paires, et Treviño Morales dit alors : « très bien, cassez-vous la gueule ».

Un des passagers s'approche de lui et lui dit en pleurant : « S'il-vous-plaît monsieur, je ne veux pas faire ça. Je vous donnerai tout l'argent que j'ai et ma propre maison, mais s'il-vous-plaît laissez-nous partir ». Treviño Morales le regarde avec fermeté, lui prend son club et lui dit : « ok idiot, pars ». Alors que l'homme s'éloigne, il le frappe violemment derrière la tête avec sa batte, puis s'acharne en lui portant plus de vingt coups jusqu'à ce que sa tête soit complètement détruite. Il se retourne vers les autres victimes et leur déclare : « c'est ce que vous avez à faire, portez vos couilles. Ceux qui ne veulent pas peuvent me le dire et je vous exploserai ». Tous les hommes commencent à se battre. Pendant ce temps, les membres des Zetas toujours présents dans le bus choisissent les femmes qu'ils considèrent comme étant les plus belles et les font descendre du véhicule pour pouvoir les violer. Ils arrachent les enfants à leurs mères, puis abattent les derniers passagers. Les femmes sont emmenées dans un entrepôt où d'autres femmes sont déjà retenues captives. À l'intérieur d'une pièce plongée dans le noir, les femmes sont violées et battues, d'après leurs cris et ceux des enfants plongés dans de l'acide. Un des conducteurs se voit demander de redémarrer et diriger le bus vers l'endroit où les victimes qui avaient été attachées sont allongées au milieu du chemin de terre. « Roule-leur dessus », dit un des tueurs au chauffeur, qui reste immobile. « Roule-leur dessus ou tu les rejoins, cabrón », répète l'homme. Pendant que le chauffeur écrase ses passagers, il a l'impression de rouler sur des dos-d'ânes, à la différence près qu'il peut entendre les cris des victimes. À la fin, il est abattu d'une balle dans la tête, et le bus est incendié. Treviño Morales rassemble ses hommes et leur dit : « nous nous sommes assez amusé pour cette nuit. Amenez les vainqueurs ». Ils amènent devant lui les survivants des combats entre passagers.

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Terrible

https://www.jeuxvideo.com/forums/42-51-58608130-1-0-1-0-topic-du-glauque.htm

Veesuda
2023-11-03 18:37:35

j'ai quitté dès que j'ai lu bus, encore la boucle

BatrickBateman2
2023-11-03 18:38:45

Dire qu'on partage la même planète avec ces sous races démoniaqueshttps://image.noelshack.com/fichiers/2023/44/5/1699033120-1698992401-img-3237.png

Tentative10k
2023-11-03 18:44:14

Le pire c'est quand même les gosses balancés dans l'acide.

NahelChehFdp
2023-11-03 18:49:41

Les otages du Hamas qui sont en vacances à côté :pf:

Zemmoroide5
2023-11-03 18:59:41

pas pire qu'un bébé vivant dans un fourhttps://image.noelshack.com/fichiers/2017/13/1490886827-risibo.png

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