La nouvelle ne manque pas d’ironie, à l’heure où le régime des mollahs est plus que jamais pointé pour sa répression envers les libertés, notamment celles des femmes, vis-à-vis de sa propre population.
La semaine dernière encore, la mort de Armita Garavand, lycéenne blessée dans des circonstances troubles après être montée dans le métro sans son voile, réveillait à Téhéran le spectre de celle de Mahsa Amini, arrêtée pour la même raison et morte le 16 septembre 2022 après trois jours de coma.
L’Iran, qui soutient depuis des années le Hamas, est aussi mis en cause dans la résurgence du conflit israélo-palestinien.