«Nous avons suffisamment d'informations maintenant, cela nous a pris du temps mais nous devons dire la vérité et ce ne sont pas des frappes israéliennes qui ont touché l'hôpital», a indiqué au cours d'un point de presse dans la nuit de mercredi Daniel Hagari, porte-parole de l'armée israélienne.
«Nous allons dans les prochaines heures fournir les preuves de nos affirmations», a-t-il ajouté.
«Au moment du tir, nous ne menions aucune opération aérienne près de l'hôpital et les roquettes qui ont frappé le bâtiment ne correspondent pas aux nôtres», a-t-il précisé, ajoutant que l'armée allait aussi fournir «les conversations en arabe qui indiquent que c'est le Djihad islamique».