sa maison squattée, ruiné et à la rue, il dort devant son assurance
Sommé de financer quelque 250 000 euros pour remettre en état sa maison squattée, Cyril a décidé à la mi-mai de planter sa tente devant les bureaux de son assurance pour la pousser à l'indemniser. Après un passage en garde à vue, il nous raconte son cauchemar.
"Je ne sais plus quoi faire." Sa maison squattée et dégradée depuis plusieurs années, Cyril, 41 ans, est dans une situation inextricable.
Pour lui, tout commence en 2012, quand il achète une maison avec 4 chambres à Toulon, pour environ 200 000 euros.
Un an plus tard, il la met en location et signe un bail avec une famille. Mais les deux parents finissent par se séparer.
La mère, placée sous curatelle, ne paye plus ses loyers et refuse de quitter les lieux.
Incendies et dégradations
"J'ai voulu récupérer la maison en 2017 car il y avait déjà eu quelques dégradations et 20 000 euros de loyers impayés, nous explique-t-il. Mais je n'ai pas pu et les choses ont empiré. La maison est devenue un point de deal et a été squattée. Il y a eu plusieurs incendies. Aujourd'hui, elle est en ruine."
Pire, Cyril a récemment été mis en demeure d'effectuer près de 250 000 euros de travaux pour remettre en état le logement. Désespéré, en proie à des problèmes de santé et à une perte d'emploi, le quadragénaire se trouve dans l'impossibilité de les financer. Il se tourne vers son assurance et celle de sa locataire qui se renvoient la balle.
Impossible de "faire la distinction entre les dommages créés lors des nombreuses occupations illégales et de possibles dégradations locatives", argumente notamment cette dernière auprès du Parisien.
"J'ai pensé à me flinguer, nous confie Cyril. Si encore j'avais fait une connerie ou joué au casino... mais là je n'y suis pour rien. Je dois encore près de 100 000 euros à la banque sur mon prêt et j'arrive à la fin de mes droits au chômage."
"Les pousser à m'indemniser"
En désespoir de cause, Cyril débarque en région parisienne à la mi-mai et pose sa tente devant son assurance. "Je voulais les forcer à me recevoir, les pousser à enfin m'indemniser comme le prévoit le contrat", justifie-t-il.
Après plusieurs journées passées à l'entrée des bureaux, le Toulonnais est finalement placé en garde à vue. "On m'a dit que l'assurance avait porté plainte contre moi, qu'elle avait peur pour la sécurité de ses employés", explique-t-il.
Je suis convoqué le 21 novembre par le tribunal de Nanterre, poursuit Cyril. D'ici là, j'ai interdiction de m'approcher des bureaux." Mais pas question pour lui d'abandonner. Le quadragénaire dit avoir sollicité le très médiatique avocat Mourad Battikh pour l'aider à se sortir de cette spirale infernale.
La France 
Merité pour ce sale riche
Il faut savoir partager
pk ils le forcent a renover sa propre maison? (enfin la maison qu'il paye pour les dealers )
Le 29 septembre 2023 à 20:04:48 :
Merité pour ce sale riche
Il faut savoir partager
200000€ une maison c'est pas des maisons de riches
Il peut avoir voulu se l'acheter pour y vivre à la retraite
Vous pouvez pas être sérieux dans vos commentaires là 
Le 29 septembre 2023 à 20:08:00 :
Le 29 septembre 2023 à 20:05:48 :
Le 29 septembre 2023 à 20:05:23 :
C’est bien fait pour ceux qui achètent de l’immo pour speculer dessusUne maison ca sert a y HABITER point!!! Pas a la louer largement plus cher que sa valeur
Je fais comment si je peux pas acheter une maison et que personne en loue?
Tu peut pas justement a cause de la spéculation de l’immobilier
Si c’etait jamais arrivé tout le monde aurait une maison, ca couterait que 40-50k max
Ce qui devrait etre le casC’est un besoin vitale, avoir un toit, un territoire c’est le besoin le plus essentiel de tout les etre vivants
C'est normal la spéculation, bizarrement une maison au milieu du 93 entouré de barres d'immeubles avec du deal ne vaut pas le même prix qu'une maison au bord de mer dans un coin tranquille
C'est dingue ça
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