Rantanplan1908
2023-09-11 14:45:18
Plusieurs fois je me suis fait recaler par des filles qui me plaisaient pour cause d'avoir joué la transparence sur mes sentiments : J'étais trop "acquis"
Vous savez, ces mêmes filles qui courent après des mecs qui les ignorent et qui ont toujours mieux à faire que de les voir. Vous me direz que c'est des exceptions, mais pas du tout : presque toutes les filles veulent courir après un mec qui leur résiste et dédaignent les gars acquis
Désormais, je joue le même jeu (même si j'aime pas ça) : je fais le mec indisponible, je décline des soirées prétextant avoir d'autres choses de prévues (parfois c'est la vérité, parfois non, peu importe). Je fais le gars indifférent à l'idée d'être en couple ou pas, détaché, qui n'est pas dans le "besoin" (alors qu'en réalité j'aimerais bien avoir une copine, surtout si c'est une fille qui me plaît)
Et franchement ça marche beaucoup mieux, j'ai des occasions, les filles semblent beaucoup plus intéressées par moi et en confiance, j'ai des relances, des propositions qui tombent toutes seules etc
Le problème c'est, comment on fait une fois en couple ?
Pour pas que l'excitation et le "challenge" ne retombe, il faut continuer à jouer au chat et à la souris perpétuellement ? Comment s'investir émotionnellement tout en sachant que ça nous dessert, puisque ce qui intéresse la plupart des filles c'est le défi qu'on représente, et pas ce qu'on est en tant que tel ?
Si ceux qui sont en couple depuis longtemps pouvaient m'éclairer...
ParaRS
2023-09-11 14:52:35
Le 11 septembre 2023 à 14:48:26 :
En avoir plusieurs
Plusieurs, tu finis zinzolax à la longue
Perso, je me la joue réservé, on me prend pour un PD
Les filles n'aiment pas les mecs qui les ignorent, elles aiment les hommes qui cultivent le doute...
TanTanDu
2023-09-11 15:03:42
Le 11 septembre 2023 à 14:45:18 :
Plusieurs fois je me suis fait recaler par des filles qui me plaisaient pour cause d'avoir joué la transparence sur mes sentiments : J'étais trop "acquis"
Vous savez, ces mêmes filles qui courent après des mecs qui les ignorent et qui ont toujours mieux à faire que de les voir. Vous me direz que c'est des exceptions, mais pas du tout : presque toutes les filles veulent courir après un mec qui leur résiste et dédaignent les gars acquis
Désormais, je joue le même jeu (même si j'aime pas ça) : je fais le mec indisponible, je décline des soirées prétextant avoir d'autres choses de prévues (parfois c'est la vérité, parfois non, peu importe). Je fais le gars indifférent à l'idée d'être en couple ou pas, détaché, qui n'est pas dans le "besoin" (alors qu'en réalité j'aimerais bien avoir une copine, surtout si c'est une fille qui me plaît)
Et franchement ça marche beaucoup mieux, j'ai des occasions, les filles semblent beaucoup plus intéressées par moi et en confiance, j'ai des relances, des propositions qui tombent toutes seules etc
Le problème c'est, comment on fait une fois en couple ?
Pour pas que l'excitation et le "challenge" ne retombe, il faut continuer à jouer au chat et à la souris perpétuellement ? Comment s'investir émotionnellement tout en sachant que ça nous dessert, puisque ce qui intéresse la plupart des filles c'est le défi qu'on représente, et pas ce qu'on est en tant que tel ?
Si ceux qui sont en couple depuis longtemps pouvaient m'éclairer...
Tu possèdes pourtant tous les éléments de la réponse.
Quand t'es en couple, tu fonctionnes de la même manière, c'est à dire que tu t'investis mais sans te négliger, tu continues de capitaliser sur toi même, tu continues d'être attirant et de montrer que tu l'es (tu parles à des filles en soirée quand ta copine est là, je peux t'assurer que le soir même elle va te sauter dessus) il faut toujours avoir un comportement irréprochable , entre l'individualiste et l'opportuniste, c'est à dire, maintenir l'alliance du couple par l'effort, l'accompagnement et le soutien tout en ayant pleinement conscience de sa fragilité et de la possibilité d'une interruption subite.
Toutefois, pour atteindre ce mindset, il faut déjà être passé par une relation long terme passionnée sans quoi, on peut souvent se questionner du pourquoi d'un tel pragmatisme et inconsciemment et par déni, faire les erreurs poussant à cette prise de conscience.