La REDPILL par Michel FOUCAULT vous êtes READY ?

Turgidson-814
2023-08-24 23:12:37

L'appel à la peur, sans cesse relancée par la littérature policière, par les journaux, par les films maintenant, l'appel à la peur du délinquant, toute la formidable mythologie apparemment glorifiante, mais en fait apeurante, cette énorme mythologie que l'on a bâtie autour du personnage du délinquant, autour du grand criminel, a rendu en quelque sorte naturelle, a naturalisé la présence de la police au milieu de la population. La police, dont il ne faut pas oublier que c'est une invention également récente, et il faut bien dire, puisque je suis français, donc chauvin, que c'est à la France que l'on doit la belle instauration de la police, qui a été imitée par tous les pays du monde, à la fin du XVIIIe siècle et au début du XIXe.

Enfin, ce groupe de délinquants ainsi constitué et ainsi professionnalisé, il est utilisable par le pouvoir, il est utilisable à beaucoup de fins. Il est utilisable pour des tâches de surveillance. C'est parmi ces délinquants qu'on va recruter les indicateurs, les espions, etc. Il est utilisable aussi pour tout un ensemble d'illégalismes profitables à la classe au pouvoir. Les trafics illégaux que la bourgeoisie ne veut pas faire elle-même, eh bien ! elle les fera faire tout naturellement par ses délinquants.

Donc, vous voyez qu'en effet beaucoup de profits économiques, beaucoup de profits politiques, et surtout la canalisation et le codage serré de la délinquance ont trouvé leur instrument dans la constitution d'une délinquance professionnelle. Il s'agissait donc de recruter des délinquants, il s'agissait d'épingler des gens à la profession et au statut de délinquant ; et quel était le moyen pour recruter les délinquants, pour les maintenir dans la délinquance, et pour continuer à les surveiller indéfiniment dans leur activité de délinquants? Eh bien, cet instrument, c'est bien entendu la prison.

La prison, ça a été une fabrique de délinquants ; la fabrication de la délinquance par la prison, ce n'est pas un échec de la prison, c'est sa réussite, puisqu'elle était faite pour ça. La prison permet la récidive, elle assure la constitution d'un groupe de délinquants bien professionnalisé et bien fermé sur lui-même. Par le jeu du casier judiciaire, des mesures de surveillance, par la présence des indicateurs dans le milieu des délinquants, par la connaissance détaillée que la prison permet sur ce milieu.

Vous voyez que cette institution de la prison permet de garder le contrôle sur les illégalismes ; en excluant par ces effets toute réinsertion sociale, elle assure que les délinquants resteront délinquants, et que, d'autre part, ils demeureront, puisqu'ils sont délinquants, sous le contrôle de la police et, si l'on veut, à sa disposition.

La prison, ce n'est donc pas l'instrument que le droit pénal s'est donné pour lutter contre les illégalismes ; la prison, elle a été un instrument pour réaménager le champ des illégalismes, pour redistribuer l'économie des illégalismes, pour produire une certaine forme d'illégalisme professionnel, la délinquance, qui allait d'une part peser sur les illégalismes populaires et les réduire, et, d'autre part, servir d'instrument à l'illégalisme de la classe au pouvoir. La prison n'est donc pas un inhibiteur de délinquance ou d'illégalisme, c'est un redistributeur d'illégalisme. Et il suffirait, pour confirmer cela, de citer un ou deux exemples.

Prenez, par exemple, le rôle de la délinquance au XIXe siècle et jusqu'à ces toutes dernières années, le rôle de la délinquance dans les profits sur la sexualité. La sexualité, c'est finalement un besoin qu'il devrait être en quelque sorte facile de satisfaire sans avoir à payer d'une manière ou d'une autre une redevance à un système quelconque de profit.

Turgidson-814
2023-08-24 23:14:21

Or, l'organisation méticuleuse, dans toutes les sociétés bourgeoises du XIXe siècle, d'un système de prostitution, a permis de prélever sur le plaisir sexuel des quantités d'argent absolument fabuleuses, et dont on n'a commencé à faire le bilan qu'au cours de ces toutes dernières années. Même actuellement, dans un pays comme la France, où la prostitution a tout de même perdu de son importance relative par rapport à ce qu'elle était au XIXe siècle, la prostitution constitue encore un des plus gros chiffres d'affaires que l'on puisse établir, que l'on puisse mesurer.

Au XIXe siècle, il est certain que, proportionnellement, le profit prélevé sur le plaisir sexuel des gens par le biais de la prostitution a dû être absolument colossal. Or, quels sont les employés, quels sont les préposés au prélèvement et à la surveillance de ces profits sur la sexualité ? Bien entendu, le milieu délinquant : proxénètes, maquereaux, hôteliers, etc. qui, chacun à sa manière, canalisent, vers d'ailleurs des institutions financières parfaitement honorables, canalisent un profit qu'il est inavouable de prélever tous les soirs sur le plaisir des gens.

La délinquance, ça a été, d'une façon très manifeste, un des instruments dont la bourgeoisie s'est servie pour prélever un profit illégal sur une sexualité que l'on avait rendue à cet effet illégale, et par l'intermédiaire de gens qui étaient des délinquants, c'est-à-dire de gens voués professionnellement à l'illégalisme.
On pourrait dire la même chose à propos de l'utilisation des délinquants au XIXe siècle dans la lutte anti-ouvrière et dans la lutte antisyndicale. Les briseurs de grèves, les agents provocateurs, les éléments de noyautage des syndicats, ils ont été traditionnellement, pendant tout le XIXe siècle, recrutés parmi les délinquants et il ne faudrait pas faire une analyse bien profonde d'un phénomène comme la Mafia, par exemple, dans les pays d'Amérique du Nord, pour voir que la délinquance continue à jouer ce rôle économico-politique qu'on lui avait donné au XIXe siècle.

Et si la Mafia se recrute dans des voies, des chemins qui ne sont pas absolument ceux de la délinquance traditionnelle, avant toutefois que la Mafia n'existe, et dans les pays où la Mafia n'existe pas, où va-t-on
trouver cette main-d'œuvre pour ces trafics illégalistes? Eh bien, on va la trouver essentiellement dans la délinquance. Donc, vous voyez, je crois, que la raison pour laquelle la prison a été si importante et pendant si longtemps, la raison pour laquelle, malgré toutes les critiques et toutes les objections qu'on a pu faire à la prison dès le début du XIXe siècle, elle a subsisté si longtemps, la raison, c'est qu'elle avait en réalité une importance, un rôle politique et économique évident.

Turgidson-814
2023-08-24 23:15:28

Alors, maintenant, il reste une question à poser, et je terminerai avec elle, c'est celle-ci : on peut montrer, je crois, comment et pourquoi la prison est utile, comment et pourquoi, en tout cas, elle l'a été. Or, nous voyons maintenant, et ceci venant d'horizons différents, nous voyons que la prison est effectivement en butte à un certain nombre de critiques et que, jusqu'à un certain point au moins, elle est en train d'entrer en régression. De quoi s'agit-il dans ce phénomène? Est-ce que c'est simplement une illusion et qu'en fait les grands mécanismes de la prison vont rester en place, et par conséquent que la délinquance va continuer à fonctionner comme elle a fonctionné jusque là? Ou est-ce que, effectivement, la prison perd de son utilité et de son rôle ?

Je crois qu'un premier fait doit être bien présent à l'esprit. Il est vrai que la prison commence à entrer en régression, non seulement sous l'effet de critiques externes venant de milieux qui peuvent être plus ou moins de gauche ou plus ou moins mus par une philanthropie quelconque; je crois que si la prison entre en régression et si les gouvernements acceptent que la prison entre en régression, c'est qu'au fond le besoin en délinquants a diminué au cours des années dernières. Le pouvoir n'a plus besoin de délinquants comme il pouvait en avoir besoin jusque là. En particulier, on éprouve de moins en moins le besoin urgent d'empêcher tous ces petits illégalismes qui étaient si intolérables à la société du XIXe siècle, tous ces petits illégalismes mineurs comme, par exemple, était le vol.

Autrefois, il fallait terroriser les gens devant le moindre vol. Mais maintenant, on sait pratiquer des espèces de contrôles globaux, on cherche à maintenir le vol dans un certain nombre de limites tolérables, on sait calculer ce qu'est le coût de la lutte contre le vol, et ce que coûterait le vol s'il était toléré, on sait donc établir le point optimum entre une surveillance qui empêchera le vol de franchir une certaine limite, et puis une tolérance qui permet au vol de se déployer dans les limites qui sont économiquement, moralement, et aussi politiquement favorables.

La manière dont on contrôle le vol dans les grands magasins, la manière dont on est assuré contre le vol, les mesures qui sont prises contre les chèques sans provision, ce qui se passe à propos des fraudes à la maladie, des fraudes aux assurances sociales, etc. prouvent bien qu'on a parfaitement calculé, aux instances administratives ou étatiques, ce qu'est le coût de l'illégalisme, quelles sont les formes d'illégalisme que l'on peut parfaitement tolérer et quelles sont celles qu'il faut au contraire pourchasser. Par conséquent, l'idée d'une suppression radicale, individuelle, ponctuelle des illégalismes populaires est maintenant une idée que l'on considère comme politiquement dépassée et économiquement absurde. Les petits illégalismes font partie maintenant des risques sociaux acceptables.

Holywater30
2023-08-24 23:15:59

Trop long DDB

PhilippeCataldo
2023-08-24 23:16:23

Foucault de qui veut gagner des milllions?https://image.noelshack.com/fichiers/2018/27/4/1530827992-jesusreup.png

EcneremiL
2023-08-24 23:17:09

Résumax pls

Turgidson-814
2023-08-24 23:17:40

Deuxièmement, je crois que la délinquance, l'existence en tout cas d'un milieu délinquant, a perdu beaucoup de son utilité économique et politique. Prenez, par exemple, ce qui se passe à propos de la sexualité dont je parlais tout à l'heure. Le profit sur la sexualité était prélevé autrefois par la prostitution. Vous savez bien maintenant qu'on a trouvé d'autre moyens, et bien plus efficaces, de prélever des profits sur la sexualité : la vente des produits pour la contraception, les thérapies sexuelles, la sexologie, la psycho-pathologie sexuelle, la psychanalyse, la pornographie, toutes ces institutions sont des manières beaucoup plus efficaces et, il faut bien le dire, beaucoup plus amusantes de prélever de l'argent sur la sexualité que l'ennuyeuse prostitution.

On pourrait dire également ceci : maintenant les grands trafics internationaux, les grands trafics d'armes, de drogue, les grands trafics sur les monnaies, échappent de plus en plus à la compétence d'un milieu de délinquants traditionnels, qui étaient sans doute de braves garçons, mais qui n'étaient sans doute pas capables, formés qu'ils étaient à la prison, de devenir les grands trafiquants internationaux dont on a besoin maintenant. Main-d'œuvre trop artisanale, main-d'œuvre trop maladroite, main-d'œuvre trop marquée aussi.

Ce sont les grands capitalistes eux-mêmes qui se chargent de gérer ces grands illégalismes. Dans cette mesure-là, aussi, on peut dire que la délinquance a perdu et ne cesse de perdre de plus en plus de son efficacité et de son intérêt politico-économique. C'est pourquoi, sans doute, la critique que l'on fait actuellement de cette vieille institution séculaire de la prison, cette critique qui est tout aussi séculaire que la prison, eh bien ! pour la première fois, elle commence à mordre réellement.

Ces fameuses solutions alternatives à la prison dont je vous parlais tout à l'heure, il ne faut pas s'étonner qu'on les ait inventées maintenant. Ce n'est pas sous les coups de boutoir d'une philanthropie nouvelle, ce n'est pas à la lumière d'une criminologie récente que l'on commence maintenant à accepter parfaitement de démolir les murs des prisons, ou en tout cas de les abaisser de façon notable. Si pour la première fois la prison est entamée, ce n'est pas parce que, pour la première fois, on a reconnu ses inconvénients, mais c'est parce que, pour la
première fois, ses avantages commencent à s'effacer. C'est que maintenant on n'a plus besoin d'usines à fabriquer des délinquants ; mais, en revanche, on a de plus en plus besoin, à mesure même justement que le contrôle par la délinquance professionnalisée perd de son efficacité, de relayer ces contrôles par d'autres, qui sont des contrôles plus subtils, qui sont des contrôles plus fins ; et c'est le contrôle par le savoir, c'est le contrôle par la psychologie, la psycho-pathologie, la psychologie sociale, la psychiatrie, la psychiatrie sociale, la criminologie, etc. Ce sont ces contrôles-là qui vont assurer, bien plus efficacement que cet instrument finalement grossier qu'était le couple prison-délinquance, c'est tout cela, donc, qui va assurer les contrôles sociaux.

Autrement dit, l'utilité économico-politique de la délinquance disparaît. On n'a plus besoin de fabriquer des délinquants, on n'a donc plus besoin d'avoir des prisons, qui sont des machines à illégalismes et des machines à propager et à contrôler les illégalismes. Mais, en revanche, on a besoin d'instruments de contrôle qui vont se substituer au couple prison-délinquance, on a besoin d'un nouveau couple, d'une nouvelle paire, qui ne va plus être la prison et la délinquance, qui va être le contrôle et les anormaux, les contrôles portant sur les individus déviants, c'est cela qui va, avec une tout autre extension, bien sûr, et une tout autre efficacité, assurer le vieux rôle de la prison et de la délinquance.

Eh bien ! de tout ceci, qu'est-ce qu'on peut conclure? Je ne conclurai point par des propositions, puisque, vous voyez, je ne crois pas à la faillite de la prison, je crois à sa réussite, sa réussite totale jusqu'au point que nous connaissons maintenant, celui où on n'a plus besoin de délinquants; et elle n'est pas mise en faillite, elle est simplement mise en liquidation normale puisqu'on n'a plus besoin de ses profits

Lejuriste7
2023-08-24 23:18:17

Branlette intellectuelle + c'est un pédophile + il est responsable du wokisme

LaDechetVita
2023-08-24 23:19:29

OK Jean pierre je vais prendre le coup de fil à un ami
Je vais faire appel à djayzonent mon cousin de Charleville Mézières

Donald2S
2023-08-24 23:21:08

[23:17:09] <EcneremiL>
Résumax pls

L'auteur explore comment la représentation de la peur liée aux délinquants a normalisé la présence policière. Il aborde l'origine de la police en France au XVIIIe siècle et explique comment les délinquants professionnels sont utilisés pour la surveillance et les illégalismes bénéfiques au pouvoir. L'auteur affirme que la prison fabrique des délinquants, créant ainsi un groupe contrôlé par la police. Il soutient que la prison ne combat pas l'illégalisme, mais redistribue son économie, citant la délinquance du XIXe siècle liée à la sexualité en exemple.

Turgidson-814
2023-08-24 23:22:34

Le 24 août 2023 à 23:18:17 :
Branlette intellectuelle + c'est un pédophile + il est responsable du wokisme

C'est un argument intelligent çahttps://image.noelshack.com/fichiers/2019/28/1/1562610534-d-sbirgx4aay7yt.jpg

Jedenshatz
2023-08-24 23:24:42

Le 24 août 2023 à 23:21:08 :

[23:17:09] <EcneremiL>
Résumax pls

L'auteur explore comment la représentation de la peur liée aux délinquants a normalisé la présence policière. Il aborde l'origine de la police en France au XVIIIe siècle et explique comment les délinquants professionnels sont utilisés pour la surveillance et les illégalismes bénéfiques au pouvoir. L'auteur affirme que la prison fabrique des délinquants, créant ainsi un groupe contrôlé par la police. Il soutient que la prison ne combat pas l'illégalisme, mais redistribue son économie, citant la délinquance du XIXe siècle liée à la sexualité en exemple.

Et termine en expliquant que l'on a plus besoin de la prison (en tant qu'usine à fabriquer des délinquants, qui sont des machines à propager l'illégalisme et le contrôler) puisqu'on peut aisément remplacer cela par de nouveaux outils de contrôle.

POLPOGBOUM
2023-08-24 23:24:43

CA EXISTE TOUJOURS "QUI VEUT GAGNER DES MILLIONS ? "

Bakisupermanga
2023-08-24 23:26:05

Foucault était un énorme Chad

Il refilait sciemment le sida à des petits jeunes, il devait juger que c'était un honneur pour eux :cool:

Bakisupermanga
2023-08-24 23:27:00

Le 24 août 2023 à 23:18:17 :
Branlette intellectuelle + c'est un pédophile + il est responsable du wokisme

Et toi ? Tu es responsable de quoi ?

TobogganMan
2023-08-24 23:27:04

Le 24 août 2023 à 23:24:43 :
CA EXISTE TOUJOURS "QUI VEUT GAGNER DES MILLIONS ? "

ET POUR BOIRE ?

Lejuriste7
2023-08-24 23:27:42

il signe une pétition, avec Jacques Derrida et Louis Althusser52, parmi beaucoup d'autres, demandant l'abrogation de certains des articles de la loi sur la majorité sexuelle afin de dépénaliser les relations consenties entre adultes et mineurs de moins de quinze ans (l'âge du consentement en France).

:)

Lejuriste7
2023-08-24 23:28:41

En 1977, avec Jean-Paul Sartre, Jacques Derrida et d'autres intellectuels ou militantes féministes (comme Simone de Beauvoir, Françoise d'Eaubonne ou Hélène Cixous), Foucault signe une « lettre ouverte pour la révision de certains textes législatifs régissant les rapports entre majeurs et mineurs » adressée au Parlement français dans laquelle est demandée la décriminalisation des relations sexuelles consenties entre adultes et mineurs de moins de quinze ans, l'âge de la majorité sexuelle en France. La pétition demande aussi la fin des discriminations envers les homosexuels (pour qui la majorité sexuelle est fixée à dix-huit ans), et la précision de la loi sur le détournement de mineurs

:)

Lejuriste7
2023-08-24 23:29:52

Selon le récit de son ami Edmund White, Foucault ne croyait pas initialement à la réalité du sida :
« Comme c'est parfait, Edmund ! Vous autres puritains américains, vous inventez toujours des maladies. Et celle-là ne touche que les noirs, les drogués et les homosexuels : vraiment parfait ! »

:)

Turgidson-814
2023-08-24 23:29:55

Le 24 août 2023 à 23:28:41 :
En 1977, avec Jean-Paul Sartre, Jacques Derrida et d'autres intellectuels ou militantes féministes (comme Simone de Beauvoir, Françoise d'Eaubonne ou Hélène Cixous), Foucault signe une « lettre ouverte pour la révision de certains textes législatifs régissant les rapports entre majeurs et mineurs » adressée au Parlement français dans laquelle est demandée la décriminalisation des relations sexuelles consenties entre adultes et mineurs de moins de quinze ans, l'âge de la majorité sexuelle en France. La pétition demande aussi la fin des discriminations envers les homosexuels (pour qui la majorité sexuelle est fixée à dix-huit ans), et la précision de la loi sur le détournement de mineurs

:)

choqué et déçu

Infos
Gestion du forum

contact@geevey.com

API disponible. Utilisez le paramètre "api" en GET, peu importe le contenu, sur une page du site.

Notes

    Partenaire: JVFlux
    Ce site n'est pas associé à Jeuxvideo.com ou Webedia. Nous utilisons seulement des archives publiques.
    Il est inutile de me spammer par e-mail pour supprimer un topic. Au contraire, en conséquence, je mettrais votre topic dans le bloc ci-dessous.
Non-assumage
    Personne n'a pas assumé de topic pour le moment.