L'homme est il devenu mauvais depuis qu'il n'affronte plus les monstres ?

lakedoucha
2023-07-07 23:51:56

De la nature ?

AntiChwinggum
2023-07-07 23:54:57

L'homme à la base se bat contre les éléments. Or maintenant l'homme se bat contre lui même ? N'y a t il pas suffisamment d'élements dans la nature ?

quezacenbulles
2023-07-08 00:04:10

Quand je vais au super U, je peux te dire que j'en affronte des monstres. Une ribambelles de petits lutins affreux qui promènent leurs hurlements démoniaques dans les rayons. Leur génitrice horrible aux joues pendantes et aux fesses énormes bloque de son caddie maudit le passage vers le rayon lingerie. Je dépasse d'un pas subreptice les contours de ses cuisses épaisses et gercées pour arriver enfin devant la caisse avec mon maigre butin. Et là, c'est la véritable histoire de l'humanité qui se répète nouveau, comme chaque samedi matin. Elle est à sa place. Immobile si ce n'est deux membres lents et mécaniques aux mouvements lourds et répétitifs, ainsi que deux orbites minuscules semblables à deux billes de plomb, qui vous suivent du moment où vous vous approchez jusque dans vos rêves devenus cauchemars pour la fin des temps. La bête. La caissière. Ses poils blonds enserrent un front bronzé traversé de canyons périlleux. Des oreilles d'éléphants attachées par une mèche en bataille aux flancs difformes battent l'air d'un vent putride. C'est l'horreur à l'état de nature. Le troisième menton gras et luisant vous engloutit de sa question malsaine, toujours plus pénétrante. Non, je n'ai pas la carte de fidélité. Et pourtant les montagnes de son cou et les vallées de ses coudes restent une plateforme inévitable pour cette partie du voyage, encore et toujours là. La bête vous salue de son grognement rauque. La masse de son ventre se soulève à nouveau pour envoyer vers l'éternité un autre souffle abject. La rencontre se termine mais elle ne me laisse jamais indemne.

Qium_lemodeste
2023-07-08 00:07:14

Le 08 juillet 2023 à 00:04:10 :
Quand je vais au super U, je peux te dire que j'en affronte des monstres. Une ribambelles de petits lutins affreux qui promènent leurs hurlements démoniaques dans les rayons. Leur génitrice horrible aux joues pendantes et aux fesses énormes bloque de son caddie maudit le passage vers le rayon lingerie. Je dépasse d'un pas subreptice les contours de ses cuisses épaisses et gercées pour arriver enfin devant la caisse avec mon maigre butin. Et là, c'est la véritable histoire de l'humanité qui se répète nouveau, comme chaque samedi matin. Elle est à sa place. Immobile si ce n'est deux membres lents et mécaniques aux mouvements lourds et répétitifs, ainsi que deux orbites minuscules semblables à deux billes de plomb, qui vous suivent du moment où vous vous approchez jusque dans vos rêves devenus cauchemars pour la fin des temps. La bête. La caissière. Ses poils blonds enserrent un front bronzé traversé de canyons périlleux. Des oreilles d'éléphants attachées par une mèche en bataille aux flancs difformes battent l'air d'un vent putride. C'est l'horreur à l'état de nature. Le troisième menton gras et luisant vous engloutit de sa question malsaine, toujours plus pénétrante. Non, je n'ai pas la carte de fidélité. Et pourtant les montagnes de son cou et les vallées de ses coudes restent une plateforme inévitable pour cette partie du voyage, encore et toujours là. La bête vous salue de son grognement rauque. La masse de son ventre se soulève à nouveau pour envoyer vers l'éternité un autre souffle abject. La rencontre se termine mais elle ne me laisse jamais indemne.

https://image.noelshack.com/fichiers/2016/36/1473263957-risitas33.png

quezacenbulles
2023-07-08 00:09:41

Le 08 juillet 2023 à 00:07:14 :

Le 08 juillet 2023 à 00:04:10 :
Quand je vais au super U, je peux te dire que j'en affronte des monstres. Une ribambelles de petits lutins affreux qui promènent leurs hurlements démoniaques dans les rayons. Leur génitrice horrible aux joues pendantes et aux fesses énormes bloque de son caddie maudit le passage vers le rayon lingerie. Je dépasse d'un pas subreptice les contours de ses cuisses épaisses et gercées pour arriver enfin devant la caisse avec mon maigre butin. Et là, c'est la véritable histoire de l'humanité qui se répète nouveau, comme chaque samedi matin. Elle est à sa place. Immobile si ce n'est deux membres lents et mécaniques aux mouvements lourds et répétitifs, ainsi que deux orbites minuscules semblables à deux billes de plomb, qui vous suivent du moment où vous vous approchez jusque dans vos rêves devenus cauchemars pour la fin des temps. La bête. La caissière. Ses poils blonds enserrent un front bronzé traversé de canyons périlleux. Des oreilles d'éléphants attachées par une mèche en bataille aux flancs difformes battent l'air d'un vent putride. C'est l'horreur à l'état de nature. Le troisième menton gras et luisant vous engloutit de sa question malsaine, toujours plus pénétrante. Non, je n'ai pas la carte de fidélité. Et pourtant les montagnes de son cou et les vallées de ses coudes restent une plateforme inévitable pour cette partie du voyage, encore et toujours là. La bête vous salue de son grognement rauque. La masse de son ventre se soulève à nouveau pour envoyer vers l'éternité un autre souffle abject. La rencontre se termine mais elle ne me laisse jamais indemne.

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N'hésite pas à t'abonner. J'en fais des comme ça de temps en temps. Quand l'envie me prend.

2345
2023-07-08 00:13:44

Le 08 juillet 2023 à 00:04:10 :
Quand je vais au super U, je peux te dire que j'en affronte des monstres. Une ribambelles de petits lutins affreux qui promènent leurs hurlements démoniaques dans les rayons. Leur génitrice horrible aux joues pendantes et aux fesses énormes bloque de son caddie maudit le passage vers le rayon lingerie. Je dépasse d'un pas subreptice les contours de ses cuisses épaisses et gercées pour arriver enfin devant la caisse avec mon maigre butin. Et là, c'est la véritable histoire de l'humanité qui se répète nouveau, comme chaque samedi matin. Elle est à sa place. Immobile si ce n'est deux membres lents et mécaniques aux mouvements lourds et répétitifs, ainsi que deux orbites minuscules semblables à deux billes de plomb, qui vous suivent du moment où vous vous approchez jusque dans vos rêves devenus cauchemars pour la fin des temps. La bête. La caissière. Ses poils blonds enserrent un front bronzé traversé de canyons périlleux. Des oreilles d'éléphants attachées par une mèche en bataille aux flancs difformes battent l'air d'un vent putride. C'est l'horreur à l'état de nature. Le troisième menton gras et luisant vous engloutit de sa question malsaine, toujours plus pénétrante. Non, je n'ai pas la carte de fidélité. Et pourtant les montagnes de son cou et les vallées de ses coudes restent une plateforme inévitable pour cette partie du voyage, encore et toujours là. La bête vous salue de son grognement rauque. La masse de son ventre se soulève à nouveau pour envoyer vers l'éternité un autre souffle abject. La rencontre se termine mais elle ne me laisse jamais indemne.

Putain il est énorme ce khey

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