C’est ça, la finalité du communisme : libérer l’humanité du travail superflu, celui qui ne sert qu’à enrichir un état et une classe parasites.
Marx a écrit à de nombreuses reprises sur le sujet : le temps libre est la condition sine qua non de l’affranchissement de l’humanité. Ce que vous allez lire, c’est une suite de citations (en anglais, parce qu’il m’est bien plus simple de trouver les sources dans cette langue) qui attestent mon propos et rétablissent la vérité sur le communisme.
N’écoutez pas les Lordon, les Friot, les Bégaudeau. Ce sont des charlatans qui n’ont de marxiste que le nom.
Marx, Grundrisse :
“The saving of labour time [is] equal to an increase of free time, i.e. time for the full development of the individual, which in turn reacts back upon the productive power of labour as itself the greatest productive power. From the standpoint of the direct production process it can be regarded as the production of fixed capital, this fixed capital being man himself. It goes without saying, by the way, that direct labour time itself cannot remain in the abstract antithesis to free time in which it appears from the perspective of bourgeois economy. Labour cannot become play, as Fourier would like, although it remains his great contribution to have expressed the suspension not of distribution, but of the mode of production itself, in a higher form, as the ultimate object. Free time - which is both idle time and time for higher activity - has naturally transformed its possessor into a different subject, and he then enters into the direct production process as this different subject.
Marx, Grundrisse, citant “The Source And The Remedy“:
“‘Truly wealthy a nation, when the working day is 6 rather than 12 hours. Wealth is not command over surplus labour time’ (real wealth), ‘but rather, disposable time outside that needed in direct production, for every individual and the whole society.’”
Marx, Grundrisse :
“The creation of a large quantity of disposable time apart from necessary labour time for society generally and each of its members (i.e. room for the development of the individuals’ full productive forces, hence those of society also), this creation of not-labour time appears in the stage of capital, as of all earlier ones, as not-labour time, free time, for a few. What capital adds is that it increases the surplus labour time of the mass by all the means of art and science, because its wealth consists directly in the appropriation of surplus labour time; since value directly its purpose, not use value. It is thus, despite itself, instrumental in creating the means of social disposable time, in order to reduce labour time for the whole society to a diminishing minimum, and thus to free everyone’s time for their own development.”
Marx, Capital vol. 1, chapitre10:
“If the labourer consumes his disposable time for himself, he robs the capitalist.”
Marx, Capital, vol. 3, chapitre 48:
“…the realm of freedom actually begins only where labour which is determined by necessity and mundane considerations ceases; thus in the very nature of things it lies beyond the sphere of actual material production. Just as the savage must wrestle with Nature to satisfy his wants, to maintain and reproduce life, so must civilised man, and he must do so in all social formations and under all possible modes of production. With his development this realm of physical necessity expands as a result of his wants; but, at the same time, the forces of production which satisfy these wants also increase. Freedom in this field can only consist in socialised man, the associated producers, rationally regulating their interchange with Nature, bringing it under their common control, instead of being ruled by it as by the blind forces of Nature; and achieving this with the least expenditure of energy and under conditions most favourable to, and worthy of, their human nature. But it nonetheless still remains a realm of necessity. Beyond it begins that development of human energy which is an end in itself, the true realm of freedom, which, however, can blossom forth only with this realm of necessity as its basis. The shortening of the working-day is its basic prerequisite.
Marx, Capital, vol. 3, chapter 15:
“Labour-power becomes redundant for it as soon as it is no longer necessary to employ it for 12 to 15 hours daily. A development of productive forces which would diminish the absolute number of labourers, i.e., enable the entire nation to accomplish its total production in a shorter time span, would cause a revolution, because it would put the bulk of the population out of the running. This is another manifestation of the specific barrier of capitalist production, showing also that capitalist production is by no means an absolute form for the development of the productive forces and for the creation of wealth, but rather that at a certain point it comes into collision with this development. This collision appears partly in periodical crises, which arise from the circumstance that now this and now that portion of the labouring population becomes redundant under its old mode of employment. The limit of capitalist production is the excess time of the labourers. The absolute spare time gained by society does not concern it. The development of productivity concerns it only in so far as it increases the surplus labour-time of the working-class, not because it decreases the labour-time for material production in general. It moves thus in a contradiction.
Vous l’aurez compris : le communisme, c’est du temps libre et rien d’autre.
Vous détestez l’état ? Très bien, militez pour travailler moins.
Vous détestez les boomers rentiers qui se croient tout permis, traitent les jeunes de fainéants, votent Macron et s’approprient l’immobilier ? Très bien, militez pour travailler moins.
Vous êtes répugnés par l’idée de vendre votre cul à un patron ingrat pour faire un taf improductif du secteur tertiaire qui vous laissera émasculés et dépressifs ? Très bien, militez pour travailler moins.
Vous en avez marre d’être rackettés par l’état avec des impôts exorbitants qui ne serviront qu’à payer les vacances de députés pédophiles, le salaire de flics meurtriers et des allocations pour des gens qu’on maintient dans un état de dépendance ? Très bien, militez pour travailler moins.
Vous en avez marre de cette culture de masse abrutissante ? Très bien, militez pour travailler moins.
Vous rêvez d’un monde où chacun peut s’épanouir en développant pleinement son potentiel à travers l’exercice libre de différentes activités intellectuelles, artistiques et scientifiques ? Très bien, militez pour travailler moins.
Les plus farouches opposants à cette idée sont les gauchistes eux-mêmes qui n’ont jamais lu Marx et se sont contentés de régurgiter ce que des escrocs disaient de ses écrits.
Ces mêmes gauchistes qui rêvent d’un état plus fort, plus grand, qui nous réduirait un peu plus à l’état d’assistés rackettés.
Du temps libre ? Mais pourquoi faire ?
Si on ne taffe pas on consomme, et ça le capitalisme sait très bien le faire avec nos sociétés de sur-consommation
time for the full development of the individual, which in turn reacts back upon the productive power of labour
El famoso temps supplémentaire utilisé pour le développement personnel
On sait tous qu'au final les gens gaspilleraient se temps libre en consommation et en regardant etflix
Le 01 juillet 2023 à 14:01:24 :
Du temps libre ? Mais pourquoi faire ?https://image.noelshack.com/fichiers/2022/47/5/1669401895-the.png
Si on ne taffe pas on consomme, et ça le capitalisme sait très bien le faire avec nos sociétés de sur-consommationhttps://image.noelshack.com/fichiers/2022/47/5/1669401895-the.png
Du temps libre pour t’épanouir pleinement, développer ton individualité, explorer tes ressources, être intégré au sein d’une communauté etc.
De quelle surconsommation tu parles ? Il y a bien un gaspillage mais les gens, pour la plupart, ne surconsomment pas. Il n’y a pas de société de consommation, il y a juste une classe qui peut librement consommer (la bourgeoisie) et d’autres classes d’individus qui doivent travailler et/ou s’endetter pour quelques plaisirs.
Le 01 juillet 2023 à 14:06:19 :
time for the full development of the individual, which in turn reacts back upon the productive power of labour
El famoso temps supplémentaire utilisé pour le développement personnel
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/18/7/1620572127-jesus-barbe-serein.png
On sait tous qu'au final les gens gaspilleraient se temps libre en consommation et en regardant etflixhttps://image.noelshack.com/fichiers/2018/27/4/1530827992-jesusreup.png
Qu’est-ce qui permettrait à Netflix d’exister dans un monde où le travail superflu (donc celui qui sert à enrichir la bourgeoisie mais surtout l’état bourgeois) n’existe plus ?
Et surtout, en quoi regarder un film ou une série serait-il moins souhaitable que devoir se casser le dos, les épaules et forcer des sourires en tenant la caisse d’un supermarché ?
“Je préfère voir une mère de famille travailler dix heures par jour à servir des cafés à des boomers assis en terrasse durant tout l’été plutôt que de la savoir avec ses enfants, en train de regarder un Miyazaki.”
“On vit déjà dans la société de consommation, on va pas laisser les gens se faire remplacer par des robots pour se libérer des tâches ingrates, non mais ! Je veux continuer à voir des gens souffrir dans la chaleur infernale des cuisines de McDo.”
Le 01 juillet 2023 à 13:52:32 :
C’est ça, la finalité du communisme : libérer l’humanité du travail superflu, celui qui ne sert qu’à enrichir un état et une classe parasites.Marx a écrit à de nombreuses reprises sur le sujet : le temps libre est la condition sine qua non de l’affranchissement de l’humanité. Ce que vous allez lire, c’est une suite de citations (en anglais, parce qu’il m’est bien plus simple de trouver les sources dans cette langue) qui attestent mon propos et rétablissent la vérité sur le communisme.
N’écoutez pas les Lordon, les Friot, les Bégaudeau. Ce sont des charlatans qui n’ont de marxiste que le nom.
Marx, Grundrisse :
“The saving of labour time [is] equal to an increase of free time, i.e. time for the full development of the individual, which in turn reacts back upon the productive power of labour as itself the greatest productive power. From the standpoint of the direct production process it can be regarded as the production of fixed capital, this fixed capital being man himself. It goes without saying, by the way, that direct labour time itself cannot remain in the abstract antithesis to free time in which it appears from the perspective of bourgeois economy. Labour cannot become play, as Fourier would like, although it remains his great contribution to have expressed the suspension not of distribution, but of the mode of production itself, in a higher form, as the ultimate object. Free time - which is both idle time and time for higher activity - has naturally transformed its possessor into a different subject, and he then enters into the direct production process as this different subject.
Marx, Grundrisse, citant “The Source And The Remedy“:
“‘Truly wealthy a nation, when the working day is 6 rather than 12 hours. Wealth is not command over surplus labour time’ (real wealth), ‘but rather, disposable time outside that needed in direct production, for every individual and the whole society.’”
Marx, Grundrisse :
“The creation of a large quantity of disposable time apart from necessary labour time for society generally and each of its members (i.e. room for the development of the individuals’ full productive forces, hence those of society also), this creation of not-labour time appears in the stage of capital, as of all earlier ones, as not-labour time, free time, for a few. What capital adds is that it increases the surplus labour time of the mass by all the means of art and science, because its wealth consists directly in the appropriation of surplus labour time; since value directly its purpose, not use value. It is thus, despite itself, instrumental in creating the means of social disposable time, in order to reduce labour time for the whole society to a diminishing minimum, and thus to free everyone’s time for their own development.”
Marx, Capital vol. 1, chapitre10:
“If the labourer consumes his disposable time for himself, he robs the capitalist.”
Marx, Capital, vol. 3, chapitre 48:
“…the realm of freedom actually begins only where labour which is determined by necessity and mundane considerations ceases; thus in the very nature of things it lies beyond the sphere of actual material production. Just as the savage must wrestle with Nature to satisfy his wants, to maintain and reproduce life, so must civilised man, and he must do so in all social formations and under all possible modes of production. With his development this realm of physical necessity expands as a result of his wants; but, at the same time, the forces of production which satisfy these wants also increase. Freedom in this field can only consist in socialised man, the associated producers, rationally regulating their interchange with Nature, bringing it under their common control, instead of being ruled by it as by the blind forces of Nature; and achieving this with the least expenditure of energy and under conditions most favourable to, and worthy of, their human nature. But it nonetheless still remains a realm of necessity. Beyond it begins that development of human energy which is an end in itself, the true realm of freedom, which, however, can blossom forth only with this realm of necessity as its basis. The shortening of the working-day is its basic prerequisite.
Marx, Capital, vol. 3, chapter 15:
“Labour-power becomes redundant for it as soon as it is no longer necessary to employ it for 12 to 15 hours daily. A development of productive forces which would diminish the absolute number of labourers, i.e., enable the entire nation to accomplish its total production in a shorter time span, would cause a revolution, because it would put the bulk of the population out of the running. This is another manifestation of the specific barrier of capitalist production, showing also that capitalist production is by no means an absolute form for the development of the productive forces and for the creation of wealth, but rather that at a certain point it comes into collision with this development. This collision appears partly in periodical crises, which arise from the circumstance that now this and now that portion of the labouring population becomes redundant under its old mode of employment. The limit of capitalist production is the excess time of the labourers. The absolute spare time gained by society does not concern it. The development of productivity concerns it only in so far as it increases the surplus labour-time of the working-class, not because it decreases the labour-time for material production in general. It moves thus in a contradiction.
Vous l’aurez compris : le communisme, c’est du temps libre et rien d’autre.
Un khey qui a tout compris.
Le 01 juillet 2023 à 14:09:59 JamesAngleton a écrit :
Le 01 juillet 2023 à 14:06:19 :
time for the full development of the individual, which in turn reacts back upon the productive power of labour
El famoso temps supplémentaire utilisé pour le développement personnel
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On sait tous qu'au final les gens gaspilleraient se temps libre en consommation et en regardant etflixhttps://image.noelshack.com/fichiers/2018/27/4/1530827992-jesusreup.png Qu’est-ce qui permettrait à Netflix d’exister dans un monde où le travail superflu (donc celui qui sert à enrichir la bourgeoisie mais surtout l’état bourgeois) n’existe plus ?
Et surtout, en quoi regarder un film ou une série serait-il moins souhaitable que devoir se casser le dos, les épaules et forcer des sourires en tenant la caisse d’un supermarché ?
Je vais etre réducteur mais : tenir des caisses dans un supermarché = participer au fonctionnement du système alimentaire du pays
Regarder un film sur netflix = activité stérile ; pendant 1h30 on n'a rien créé, on n'a aidé personne, on n'a rien appris de concret
Le 01 juillet 2023 à 14:14:57 :
Le 01 juillet 2023 à 13:52:32 :
C’est ça, la finalité du communisme : libérer l’humanité du travail superflu, celui qui ne sert qu’à enrichir un état et une classe parasites.Marx a écrit à de nombreuses reprises sur le sujet : le temps libre est la condition sine qua non de l’affranchissement de l’humanité. Ce que vous allez lire, c’est une suite de citations (en anglais, parce qu’il m’est bien plus simple de trouver les sources dans cette langue) qui attestent mon propos et rétablissent la vérité sur le communisme.
N’écoutez pas les Lordon, les Friot, les Bégaudeau. Ce sont des charlatans qui n’ont de marxiste que le nom.
Marx, Grundrisse :
“The saving of labour time [is] equal to an increase of free time, i.e. time for the full development of the individual, which in turn reacts back upon the productive power of labour as itself the greatest productive power. From the standpoint of the direct production process it can be regarded as the production of fixed capital, this fixed capital being man himself. It goes without saying, by the way, that direct labour time itself cannot remain in the abstract antithesis to free time in which it appears from the perspective of bourgeois economy. Labour cannot become play, as Fourier would like, although it remains his great contribution to have expressed the suspension not of distribution, but of the mode of production itself, in a higher form, as the ultimate object. Free time - which is both idle time and time for higher activity - has naturally transformed its possessor into a different subject, and he then enters into the direct production process as this different subject.
Marx, Grundrisse, citant “The Source And The Remedy“:
“‘Truly wealthy a nation, when the working day is 6 rather than 12 hours. Wealth is not command over surplus labour time’ (real wealth), ‘but rather, disposable time outside that needed in direct production, for every individual and the whole society.’”
Marx, Grundrisse :
“The creation of a large quantity of disposable time apart from necessary labour time for society generally and each of its members (i.e. room for the development of the individuals’ full productive forces, hence those of society also), this creation of not-labour time appears in the stage of capital, as of all earlier ones, as not-labour time, free time, for a few. What capital adds is that it increases the surplus labour time of the mass by all the means of art and science, because its wealth consists directly in the appropriation of surplus labour time; since value directly its purpose, not use value. It is thus, despite itself, instrumental in creating the means of social disposable time, in order to reduce labour time for the whole society to a diminishing minimum, and thus to free everyone’s time for their own development.”
Marx, Capital vol. 1, chapitre10:
“If the labourer consumes his disposable time for himself, he robs the capitalist.”
Marx, Capital, vol. 3, chapitre 48:
“…the realm of freedom actually begins only where labour which is determined by necessity and mundane considerations ceases; thus in the very nature of things it lies beyond the sphere of actual material production. Just as the savage must wrestle with Nature to satisfy his wants, to maintain and reproduce life, so must civilised man, and he must do so in all social formations and under all possible modes of production. With his development this realm of physical necessity expands as a result of his wants; but, at the same time, the forces of production which satisfy these wants also increase. Freedom in this field can only consist in socialised man, the associated producers, rationally regulating their interchange with Nature, bringing it under their common control, instead of being ruled by it as by the blind forces of Nature; and achieving this with the least expenditure of energy and under conditions most favourable to, and worthy of, their human nature. But it nonetheless still remains a realm of necessity. Beyond it begins that development of human energy which is an end in itself, the true realm of freedom, which, however, can blossom forth only with this realm of necessity as its basis. The shortening of the working-day is its basic prerequisite.
Marx, Capital, vol. 3, chapter 15:
“Labour-power becomes redundant for it as soon as it is no longer necessary to employ it for 12 to 15 hours daily. A development of productive forces which would diminish the absolute number of labourers, i.e., enable the entire nation to accomplish its total production in a shorter time span, would cause a revolution, because it would put the bulk of the population out of the running. This is another manifestation of the specific barrier of capitalist production, showing also that capitalist production is by no means an absolute form for the development of the productive forces and for the creation of wealth, but rather that at a certain point it comes into collision with this development. This collision appears partly in periodical crises, which arise from the circumstance that now this and now that portion of the labouring population becomes redundant under its old mode of employment. The limit of capitalist production is the excess time of the labourers. The absolute spare time gained by society does not concern it. The development of productivity concerns it only in so far as it increases the surplus labour-time of the working-class, not because it decreases the labour-time for material production in general. It moves thus in a contradiction.
Vous l’aurez compris : le communisme, c’est du temps libre et rien d’autre.
Un khey qui a tout compris.
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/43/4/1635454847-elton-john-tison-golem.png
Nous sommes deux, donc.
Le 01 juillet 2023 à 14:16:42 :
Le 01 juillet 2023 à 14:09:59 JamesAngleton a écrit :
Le 01 juillet 2023 à 14:06:19 :
time for the full development of the individual, which in turn reacts back upon the productive power of labour
El famoso temps supplémentaire utilisé pour le développement personnel
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/18/7/1620572127-jesus-barbe-serein.png
On sait tous qu'au final les gens gaspilleraient se temps libre en consommation et en regardant etflixhttps://image.noelshack.com/fichiers/2018/27/4/1530827992-jesusreup.png Qu’est-ce qui permettrait à Netflix d’exister dans un monde où le travail superflu (donc celui qui sert à enrichir la bourgeoisie mais surtout l’état bourgeois) n’existe plus ?
Et surtout, en quoi regarder un film ou une série serait-il moins souhaitable que devoir se casser le dos, les épaules et forcer des sourires en tenant la caisse d’un supermarché ?
Je vais etre réducteur mais : tenir des caisses dans un supermarché = participer au fonctionnement du système alimentaire du pays
https://image.noelshack.com/fichiers/2017/13/1490886827-risibo.png
Regarder un film sur netflix = activité stérile ; pendant 1h30 on n'a rien créé, on n'a aidé personne, on n'a rien appris de concrethttps://image.noelshack.com/fichiers/2018/29/6/1532128784-risitas33.png
Mais n’importe quoi. Les caissières/caissiers ne participent à rien. Ils subissent un taf absolument merdique et dégradant qui devrait déjà être entièrement automatisé. Un caissier ne produit rien, il fait à peine circuler des marchandises de manière superflue puisque sa place n’est pas nécessaire et qu’on peut, grâce au développement technique, s’en passer.
Le 01 juillet 2023 à 14:18:50 JamesAngleton a écrit :
Le 01 juillet 2023 à 14:16:42 :
Le 01 juillet 2023 à 14:09:59 https://www.jeuxvideo.com/profil/jamesangleton?mode=infos a écrit :
Le 01 juillet 2023 à 14:06:19 :
time for the full development of the individual, which in turn reacts back upon the productive power of labour
El famoso temps supplémentaire utilisé pour le développement personnel
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/18/7/1620572127-jesus-barbe-serein.png
On sait tous qu'au final les gens gaspilleraient se temps libre en consommation et en regardant etflixhttps://image.noelshack.com/fichiers/2018/27/4/1530827992-jesusreup.png Qu’est-ce qui permettrait à Netflix d’exister dans un monde où le travail superflu (donc celui qui sert à enrichir la bourgeoisie mais surtout l’état bourgeois) n’existe plus ?
Et surtout, en quoi regarder un film ou une série serait-il moins souhaitable que devoir se casser le dos, les épaules et forcer des sourires en tenant la caisse d’un supermarché ?
Je vais etre réducteur mais : tenir des caisses dans un supermarché = participer au fonctionnement du système alimentaire du pays
https://image.noelshack.com/fichiers/2017/13/1490886827-risibo.png
Regarder un film sur netflix = activité stérile ; pendant 1h30 on n'a rien créé, on n'a aidé personne, on n'a rien appris de concrethttps://image.noelshack.com/fichiers/2018/29/6/1532128784-risitas33.png Mais n’importe quoi. Les caissières/caissiers ne participent à rien. Ils subissent un taf absolument merdique et dégradant qui devrait déjà être entièrement automatisé. Un caissier ne produit rien, il fait à peine circuler des marchandises de manière superflue puisque sa place n’est pas nécessaire et qu’on peut, grâce au développement technique, s’en passer.
Le caissier ne produit rien mais il offre un service
D'ailleurs la caisse n'est pas leur unique poste, ils font d'autres taches
Puis, le développement technique ne vient pas tout seul, c'est pas parce que le caissier ne travaille plus du tout ou travaille moins que derreire les mecs en robotiques ne devront pas taffer comme des fous pour pondre de nouvelles solutions technique
Le travail occupe l'homme, sans quoi il se perd en activité stérile
On vous explique à quelle heure les gauchistes que les sociétés sont en compétition entre elles et que celles qui se focalisent sur le "temps libre" et le bonheur finissent sélectionnées par celles qui font travailler leur enfant pour 2e/h ?
G PA LU
C'étais le contraire sous Staline et l'URSS tu peux disposax le bot
Le 01 juillet 2023 à 14:31:28 :
G PA LUC'étais le contraire sous Staline et l'URSS tu peux disposax le bot
Voici un texte de Staline de 1950 dans lequel il préconise la réduction de la journée de travail :
“It would be wrong to think that such a substantial advance in the cultural standard of the members of society can be brought about without substantial changes in the present status of labour. For this, it is necessary, first of all, to shorten the working day at least to six, and subsequently to five hours. This is needed in order that the members of society might have the necessary free time to receive an all-round education. It is necessary, further, to introduce universal compulsory polytechnical education, which is required in order that the members of society might be able freely to choose their occupations and not be tied to some one occupation all their lives. It is likewise necessary that housing conditions should be radically improved, and that real wages of workers and employees should be at least doubled, if not more, both by means of direct increases of wages and salaries, and, more especially, by further systematic reductions of prices for consumer goods.
…
Only after all these preliminary conditions have been satisfied in their entirety will it be possible to pass from the socialist formula, “from each according to his ability, to each according to his work,” to the communist formula, “from each according to his ability, to each according to his needs.”
This will be a radical transition from one form of economy, the economy of socialism, to another, higher form of economy, the economy of communism.”
Par ailleurs, dès les années 60, les Soviet avaient mis en place un programme de réduction de la journée de travail, avorté par la bureaucratie.
Le 01 juillet 2023 à 14:26:14 :
On vous explique à quelle heure les gauchistes que les sociétés sont en compétition entre elles et que celles qui se focalisent sur le "temps libre" et le bonheur finissent sélectionnées par celles qui font travailler leur enfant pour 2e/h ?
On t’explique à quel moment, Demeurin, qu’il n’y a pas vraiment de “compétition” puisque l’économie est régulée par un méta-cartel socialiste et bourgeois ? On t’explique à quel moment, Demeurin, que le communisme est international ? On t’explique à quel moment, Demeurin, que la notion de “bonheur” n’a rien à foutre là ?
Le 01 juillet 2023 à 14:23:12 :
Le 01 juillet 2023 à 14:18:50 JamesAngleton a écrit :
Le 01 juillet 2023 à 14:16:42 :
Le 01 juillet 2023 à 14:09:59 https://www.jeuxvideo.com/profil/jamesangleton?mode=infos a écrit :
Le 01 juillet 2023 à 14:06:19 :
> time for the full development of the individual, which in turn reacts back upon the productive power of labour
El famoso temps supplémentaire utilisé pour le développement personnel
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/18/7/1620572127-jesus-barbe-serein.png
On sait tous qu'au final les gens gaspilleraient se temps libre en consommation et en regardant etflixhttps://image.noelshack.com/fichiers/2018/27/4/1530827992-jesusreup.png Qu’est-ce qui permettrait à Netflix d’exister dans un monde où le travail superflu (donc celui qui sert à enrichir la bourgeoisie mais surtout l’état bourgeois) n’existe plus ?
Et surtout, en quoi regarder un film ou une série serait-il moins souhaitable que devoir se casser le dos, les épaules et forcer des sourires en tenant la caisse d’un supermarché ?
Je vais etre réducteur mais : tenir des caisses dans un supermarché = participer au fonctionnement du système alimentaire du pays
https://image.noelshack.com/fichiers/2017/13/1490886827-risibo.png
Regarder un film sur netflix = activité stérile ; pendant 1h30 on n'a rien créé, on n'a aidé personne, on n'a rien appris de concrethttps://image.noelshack.com/fichiers/2018/29/6/1532128784-risitas33.png Mais n’importe quoi. Les caissières/caissiers ne participent à rien. Ils subissent un taf absolument merdique et dégradant qui devrait déjà être entièrement automatisé. Un caissier ne produit rien, il fait à peine circuler des marchandises de manière superflue puisque sa place n’est pas nécessaire et qu’on peut, grâce au développement technique, s’en passer.
Le caissier ne produit rien mais il offre un service
https://image.noelshack.com/fichiers/2022/47/5/1669401895-the.png
D'ailleurs la caisse n'est pas leur unique poste, ils font d'autres tacheshttps://image.noelshack.com/fichiers/2017/13/1490886827-risibo.png
Puis, le développement technique ne vient pas tout seul, c'est pas parce que le caissier ne travaille plus du tout ou travaille moins que derreire les mecs en robotiques ne devront pas taffer comme des fous pour pondre de nouvelles solutions techniquehttps://image.noelshack.com/fichiers/2022/47/5/1669401895-the.png
Le travail occupe l'homme, sans quoi il se perd en activité stérilehttps://image.noelshack.com/fichiers/2022/47/5/1669401895-the.png
Ah parce qu’être caissier et faire de la mise en rayon, tâches aisément faisables par des robots, c’est pas une activité stérile ? Par contre, jouir de son temps libre pour se cultiver, s’essayer à la philosophie, aux arts, à l’ingénierie, aux sciences dures, c’est stérile ?
Il faut que les mecs en robotique travaillent. Il faut que cette réduction du temps de travail soit portée par des efforts collectifs : des ingénieurs concepteurs en passant par les ouvriers en usine, jusqu’à nous libérer totalement.
Le 01 juillet 2023 à 14:45:26 :
L'op a raison
Oui. Parce que Marx a raison. C’est tout. Je n’invente rien.
On fait comment si on appartient à la classe dominante, qu'on travaille pas plus de 15h par semaine pour un salaire exorbitant, et qu'on n'a ni intérêt ni volonté que les choses changent
Le 01 juillet 2023 à 15:00:58 :
On fait comment si on appartient à la classe dominante, qu'on travaille pas plus de 15h par semaine pour un salaire exorbitant, et qu'on n'a ni intérêt ni volonté que les choses changent
On serre les fesses.