Ici on ECRIT un poème DE MEMOIRE

Allez hop je commence, pas de temps à perdre:

J'ai plus de souvenirs que si j'avais mille ans

Un vieux meuble à tiroir encombré de bilans,
De vers, de billets doux, de procès, de romances,
Avec de lourds cheveux roulés dans des quittances
Cache moins de secret que mon triste cerveau.
C'est une pyramide, un immense caveau
Qui contient plus de morts que la fosse commune.
Je suis un cimetière abhorré de la Lune
Où comme des remords se trainent de longs vers
Qui s'acharnent toujours sur les morts les plus chers.
Je suis un vieux boudoir, plein de roses fânées
Où git tout un fouillis de modes surannées
Où les pastels plaintifs et les pâles Bouchers
Seuls respirent l'odeur d'un flacon débouché.

Rien n'égale en longueur les boiteuses journées
Quand, sous les lourds flocons des neigeuses années,
L'ennui, fruit de la morne incuriosité
Prend les proportions de l'immortalité.
Désormais tu n'es plus, ô matière vivante,
Qu'un granit ! entouré d'une vague épouvante
Assoupi dans le fond d'un Sahara brumeux.
Un vieux sphinx, ignoré du monde insoucieux,
Oublié sur la carte, et dont l'humeur farouche
Semble (j'ai oublié) du soleil qui se couche.

comparaison avec le vrai :

J'ai plus de souvenirs que si j'avais mille ans.

Un gros meuble à tiroirs encombré de bilans,
De vers, de billets doux, de procès, de romances,
Avec de lourds cheveux roulés dans des quittances,
Cache moins de secrets que mon triste cerveau.
C'est une pyramide, un immense caveau,
Qui contient plus de morts que la fosse commune.
- Je suis un cimetière abhorré de la lune,
Où comme des remords se traînent de longs vers
Qui s'acharnent toujours sur mes morts les plus chers.
Je suis un vieux boudoir plein de roses fanées,
Où gît tout un fouillis de modes surannées,
Où les pastels plaintifs et les pâles Boucher,
Seuls, respirent l'odeur d'un flacon débouché.

Rien n'égale en longueur les boiteuses journées,
Quand sous les lourds flocons des neigeuses années
L'ennui, fruit de la morne incuriosité,
Prend les proportions de l'immortalité.
- Désormais tu n'es plus, ô matière vivante !
Qu'un granit entouré d'une vague épouvante,
Assoupi dans le fond d'un Saharah brumeux ;
Un vieux sphinx ignoré du monde insoucieux,
Oublié sur la carte, et dont l'humeur farouche
Ne chante qu'aux rayons du soleil qui se couche.

Quelques erreurs, surtout de syntaxe

le zizi dans un verre d'ice tea
les couilles dans un bol de nouilles

Maitre corbeau sur son arbre perché
Tenait en son bec un fromage
Maitre renard par l'odeur alléché
Lui tint à peu près se langage
nanani nanana
Si votre plumage n'a d'égale que votre ramage
nanani nanana
Le phœnix de l'antre de ces bois
Et après jsais plus

Quand le ciel bas et lourd pèse comme un couvercle
Sur l'esprit machin chose en proie aux longs ennuis
Et que bla bla bla embrassant tout le cercle
Il nous verse un pastis plus triste que les nuits

https://image.noelshack.com/fichiers/2017/30/4/1501186981-risimixbestreup.png

Le 08 juin 2023 à 22:13:13 :
Maitre corbeau sur son arbre perché
Tenait en son bec un fromage
Maitre renard par l'odeur alléché
Lui tint à peu près se langage
nanani nanana
Si votre plumage n'a d'égale que votre ramage
nanani nanana
Le phœnix de l'antre de ces bois
Et après jsais plus

à moi :

Maitre corbeau sur un arbre perché
Tenait en son bec un fromage
Maitre renard par l'odeur alléché
Lui tient à peu près ce langage :
Eh oh fdp de corbeau

j'ai oublié la suite aussi

C'est de qui ?

+ Phoenix télépherixe

quan qian ming yue guang
yi shi di shang xiang
ju tou wang ming yue
di tou si gu xiang

EDIT : c'est chuang pas quan, et shang shuang pas xiang

Le 08 juin 2023 à 22:14:54 :

Le 08 juin 2023 à 22:13:13 :
Maitre corbeau sur son arbre perché
Tenait en son bec un fromage
Maitre renard par l'odeur alléché
Lui tint à peu près se langage
nanani nanana
Si votre plumage n'a d'égale que votre ramage
nanani nanana
Le phœnix de l'antre de ces bois
Et après jsais plus

à moi :

Maitre corbeau sur un arbre perché
Tenait en son bec un fromage
Maitre renard par l'odeur alléché
Lui tient à peu près ce langage :
Eh oh fdp de corbeau

j'ai oublié la suite aussi

Ca remonte à loin

Le 08 juin 2023 à 22:14:29 :
Quand le ciel bas et lourd pèse comme un couvercle
Sur l'esprit machin chose en proie aux longs ennuis
Et que bla bla bla embrassant tout le cercle
Il nous verse un pastis plus triste que les nuits

https://image.noelshack.com/fichiers/2017/30/4/1501186981-risimixbestreup.png

difficile celui là

je tente :
Quand le ciel bas et lourd pèse comme un couvercle
Sur l'esprit gémissant en proie aux longs ennuis
Et que de l'horizon embrassant le cercle
Ils nous verse un jour noir plus triste que les nuits.

j'ai oublié après

La cigale ayant chanté tout l'été
Se trouva fort dépourvue
Quand la bise fut venue
La fourmi

Le 08 juin 2023 à 22:15:01 :
C'est de qui ?

+ Phoenix télépherixe

Baudelaire

Le 08 juin 2023 à 22:11:59 :
le zizi dans un verre d'ice tea
les couilles dans un bol de nouilles

kawabunga
c'est le cri
le cri des ninjas :ninja:

Demain dès l'aube,
A l'heure où blanchit la campagne,
Je partirai.
Vois-tu, je sais que tu m'attends...

... et j'ai oublié la suite mais il va fleurir la tombe de sa fille

Demain, dès l'aube, à l'heure où blanchit la campagne,
Je partirai. Vois-tu, je sais que tu m'attends.
J'irai par la forêt, j'irai par la montagne.
Je ne puis demeurer loin de toi plus longtemps.

Je marcherai les yeux fixés sur mes pensées,
Sans rien voir au dehors, sans entendre aucun bruit,
Seul, inconnu, le dos courbé, les mains croisées,
Triste, et le jour pour moi sera comme la nuit.

Je ne regarderai ni l'or du soir qui tombe,
Ni les voiles au loin descendant vers Harfleur,
Et quand j'arriverai, je mettrai sur ta tombe
Un bouquet de houx vert et de bruyère en fleur.

Le 08 juin 2023 à 22:15:57 :
La cigale ayant chanté tout l'été
Se trouva fort dépourvue
Quand la bise fut venue
La fourmi

Elle alla crier famine
Chez la fourmi sa voisine
Hélas la fourmi n'est pas prêteuse
C'est là son moindre défaut
"Que faisiez vous aux temps chauds"
Demanda-t-elle à cette emprunteuse
"Je chantais ne vous déplaises"
Vous chantiez ? J'en suis fort aise
Eh bien Dansez maintenant.

Le 08 juin 2023 à 22:16:57 :
Demain, dès l'aube, à l'heure où blanchit la campagne,
Je partirai. Vois-tu, je sais que tu m'attends.
J'irai par la forêt, j'irai par la montagne.
Je ne puis demeurer loin de toi plus longtemps.

Je marcherai les yeux fixés sur mes pensées,
Sans rien voir au dehors, sans entendre aucun bruit,
Seul, inconnu, le dos courbé, les mains croisées,
Triste, et le jour pour moi sera comme la nuit.

Je ne regarderai ni l'or du soir qui tombe,
Ni les voiles au loin descendant vers Harfleur,
Et quand j'arriverai, je mettrai sur ta tombe
Un bouquet de houx vert et de bruyère en fleur.

GG je l'attendais

Je suce celui qui arrive à citer un poème de Mallarmé

Mon braquemart me bat le ventre
Dans quelque chose il faut que j'entre
Cul, bouche ou con
Mais je ne vois pas ma voisine
Lançant son oeillade assassine
De son balcon

Un peu plus loin ça fait

Les pieds appuyés au chambranle
Lentement, d'abord, je me branle

https://image.noelshack.com/fichiers/2022/37/1/1663014384-ahi-pince-mais.png

Ta vie est ta vie
Ne te laisse pas abattre par une soumission moite
Sois à l'affût, il y a des issues
Il y a de la lumière quelque part
Pas bien forte, peut-être mais elle chasse les ténèbres
Sois à l'affût, les Dieux t'offriront des opportunités
Reconnais les, saisis les
Tu ne peux pas battre la mort mais tu peux la battre dans la vie, parfois
Et plus tu sauras le faire, plus il y aura de lumière
Ta vie est ta vie, sache le tant qu'il est temps
Tu es prodigieux, les Dieux attendent de se délecter de toi

Bukowski